Le CO2 transformé en acide formique pour stocker l'énergie renouvelable. Le CO2 atmosphérique est en grande partie responsable du réchauffement climatique que nous vivons actuellement.
Des chercheurs proposent aujourd'hui de recycler ce CO2 en acide formique dans un réacteur alimenté par de l'électricité renouvelable. Un acide formique qui pourrait, entre autres, alimenter les piles à combustible de nos futures voitures à hydrogène. Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Chimie verte : le CO2, une nouvelle matière première ? Considérations environnementales (et économiques) obligent, l’industrie de la chimie envisage de plus en plus sérieusement de remplacer le pétrole qu’elle emploie en abondance par d’autres matières premières, plus durables.
Tout le monde sait désormais que le dioxyde de carbone, le fameux CO2, est un gaz à effet de serre. . « L'acide formique est un vecteur d'énergie. Pour s'assurer une empreinte carbone minimale, le réacteur mis au point à l'université Rice doit bien sûr fonctionner à partir d'électricité renouvelable. Le graphène comme support de stockage d’hydrogène – Enerzine.
Des couches d’un atome d’épaisseur, constituées de graphène pourraient devenir à l’avenir un matériau prometteur dans la récupération de l’hydrogène, selon une étude récemment publiée par l’Institut National des Standards et des Technologies (NIST) et de l’Université de Pennsylvanie.
En effet, les résultats du rapport suggèrent que des empilements de feuilles de graphène pourraient stocker l’hydrogène d’une manière plus sûre dans l’utilisation des piles à combustible par exemple. Le graphène est devenu un matériau très étudié ces dernières années en raison de ses propriétés conductrices, thermiques et optiques, ce qui pourrait le rendre intéressant dans des applications à base de capteurs ou de semi-conducteurs. Cette machine transforme le gaz naturel en hydrogène. Record dans la fabrication d'hydrogène grâce au solaire à Neuchâtel. Comment stocker l'énergie solaire pour l'utiliser lorsqu'on en a besoin?
C'est une question cruciale pour le développement des énergies renouvelables. Une des solutions envisagées par les chercheurs est de produire de l'hydrogène en soumettant l'eau à un courant électrique. Nissan présente sa pile à combustible au bioéthanol - Automoto. Par Tran HA|Ecrit pour TF1|aujourd'hui à 14:51, mis à jour aujourd'hui à 15:39 Nissan a annoncé travailler sur le développement d’une nouvelle pile à combustible fonctionnant au bioéthanol : une première au sein de l’industrie automobile pour cette Nissan e-Bio, qui utilise une technologie dite "solide-oxyde".
La marque japonaise mène des réflexions sur l’avenir de l’automobile, avec une nouvelle pile à combustible dénommée « Nissan e-Bio » qui fait appel à une technologie dénommée SOFC (Solid-Oxyde Fuel Cell). Une pile à combustible au bioéthanol A partir du bioéthanol stocké dans le réservoir de la voiture, la pile à combustible Nissan e-Bio génère de l’hydrogène par réaction chimique. L’électricité est ensuite produite par électrolyse entre cet hydrogène et l’oxygène de l’air, afin d’alimenter le moteur électrique qui anime la voiture.
Les scooters du futur seront peut-être propulsés par des cartouches d'hydrogène. Aaqius n’est pas une entreprise très connue en France mais elle fait tout de même beaucoup parler d’elle depuis la fin de l’année dernière, et ce pour une raison assez évidente : elle a mis au point un scooter électrique roulant à l’hydrogène.
Pas mal, mais le meilleur reste à venir car le carburant de l’engin est délivré sous la forme de cartouches solides, à l’état de poudre. L’hydrogène a de nombreux avantages, c’est indéniable, mais il a surtout un atout : il rejette uniquement de l’eau au cours de sa combustion et il ne constitue donc pas un danger pour l’environnement, ni même pour les êtres vivants. Aaqius a inventé un scooter capable de rouler à l’hydrogène. Tout n’est cependant pas parfait et le vrai problème, finalement, c’est qu’il est extrêmement difficile à stocker. Des chercheurs inventent un nouveau procédé pour produire de l'hydrogène › Energie. Produire de l'hydrogène à bas coût et en grande quantité pourrait permettre de développer des alternatives énergétiques aux carburants à base de pétrole.
Crédits : EERE. Riversimple Rasa – Une voiture à hydrogène ultra-économe. Au Pays de Galles, la société Riversimple vient de révéler la Rasa, une petite voiture bi-place à hydrogène ultra-économe en énergie.
C’est un peu la version à hydrogène de la XL1. A l’instar de la bi-place du constructeur allemand, la Riversimple Rasa n’a qu’un seul objectif : consommer le moins d’énergie possible en jouant sur différents facteurs comme le poids, la motorisation ou l’aérodynamique. Seulement 580 kilos. Voiture à hydrogène : l'espoir venu d'une enzyme et d'un virus. Pour alimenter les piles à combustible de nos futurs véhicules (ici, un modèle BMW), il faudra produire de l’hydrogène en quantité.
Les biocatalyseurs imaginés par une équipe de l’université de l’Indiana (États-Unis) pourraient aider à rendre cette production plus simple, meilleur marché et plus verte. © Communications UQTR, Flickr, CC by-nc-nd 2.0 Voiture à hydrogène : l'espoir venu d'une enzyme et d'un virus - 2 Photos Une enzyme modifiée et protégée par la capside d’un virus bactérien, c’est le biomatériau que des chercheurs américains de l’université de l’Indiana (États-Unis) ont imaginé pour optimiser la production d’hydrogène par électrolyse de l’eau.
Selon l’étude qu’ils viennent de publier dans la revue Nature Chemistry, cette nouvelle forme de catalyseur serait 150 fois plus efficace que la forme classique. Des travaux qui pourraient se révéler d’une importance majeure dans le cadre de la production économique de carburants propres et bons marchés pour les véhicules du futur. Smart escooter, une autre vision de la mobilité urbaine zéro émission. Ce n'est que pure logique.
Smart est le leader de la mobilité urbaine puisque son modèle est le plus court du marché, et quoi de plus sensé que d'étendre ce leadership avec un engin encore plus urbain : un scooter ? Le scooter Suzuki à hydrogène pour très bientôt. 2015-12-30 — On a failli attendre.
C'est en 2010, que Suzuki avait présenté son premier scooter électrique avec une pile à combustible à hydrogène. Il était censé venir en Europe en 2011, mais le projet resta à l'étude. La presse japonaise le fait ressortir en indiquant qu'un scooter Suzuki à hydrogène serait homologué au Japon le mois prochain, avec la mise en service d'une série pilote dans la foulée. On suppose que l'arrivée de la Toyota Mirai est pour beaucoup dans cette accélération soudaine. Suzuki ne voulait pas se lancer seul sur la route de l'hydrogène, mais derrière Toyota, et avec Honda qui n'est pas loin non plus, tout change. Rubrique(s) et mot(s)-clé : deux-roues ; Suzuki. Des cartouches d'hydrogène pour faire rouler scooters et voitures. Sandrine Bajos | 09 Nov. 2015, 11h38 | MAJ : 09 Nov. 2015, 11h42 De l'hydrogène pour remplacer l'essence Baptisé Stor-H, cette solution remplace le carburant par une pile à hydrogène contenue dans une cartouche.
La mise en fonctionnement du véhicule enclenche une réaction chimique qui décompose l'hydrogène contenu dans la cartouche en électricité et en eau. « Plus besoin d'essence ou de diesel pour faire rouler sa voiture ou son scooter et en plus, c'est zéro émission de CO2 », se félicite Jean-Baptiste Dementhon, vice-président d'Aaqius, en charge de la technologie. Révolutionner le secteur de l'automobile. Des cartouches d'hydrogène pour faire rouler scooters et voitures. Bientôt des voitures à hydrogène pour tous ? / Fabrice Catérini Le physicien Philippe Sautet, de l'ENS de Lyon L'avancée scientifique, fruit d'une collaboration entre des chimistes du laboratoire de chimie de l’ENS de Lyon (CNRS/ENS de Lyon/université Claude-Bernard Lyon 1), de l’université de Leiden (Pays-Bas), de l’université technique de Munich et de l’université de la Ruhr à Bochum (Allemagne), vient d'être publiée dans la célèbre revue Science.
Il s'agit d'une étape déterminante dans la démocratisation des véhicules à hydrogène, des pots catalytiques plus efficaces et des usines moins polluantes. Vers la fin des voitures polluantes ? Déplacements alternatifs. Alpha, le premier vélo électrique à hydrogène. « Il s'agit d'une première mondiale », s'est félicité Pierre Forté, 38 ans, président directeur général de Pragma Industries, la société conceptrice basée à Bidart, championne en matière de génération électrique à base de piles à hydrogène. La principale innovation d'Alpha, qui dissimule sa pile dans un cadre un peu plus épais que la moyenne, est sa capacité de se recharger en moins de cinq minutes auprès d'une station de production d'hydrogène dédiée. « Alors qu'un vélo électrique se recharge en trois ou quatre heures », a insisté M.
Forté devant journalistes et élus. Une feuille artificielle productrice d’hydrogène bat un record d’efficacité. Des chercheurs australiens de l’université de Monash, à Melbourne, ont battu le record d’efficacité de la production d’hydrogène à partir d’eau grâce à la lumière du soleil. Leur feuille artificielle réalise une véritable photosynthèse qui permet, à l’aide de l’énergie solaire, de séparer les atomes composant la molécule d’eau pour générer de l’hydrogène. L’amélioration progressive de cette technologie annonce des progrès dans la production d’un gaz hydrogène abordable, qui pourrait à l’avenir servir de carburant et même de moyen de stockage de l’électricité. Produire de l’hydrogène en s’inspirant des feuilles des arbres Le principe de la feuille artificielle a été découvert par des chercheurs du MIT, menés par Daniel Nocera. Il s’agit d’un exemple de biomimétisme, c’est-à-dire le fait que les scientifiques puisent leur inspiration dans la nature pour imaginer de nouvelles techniques et de nouveaux dispositifs.
François Hollande séduit par le vélo à hydrogène - Les Echos. L’hydrogène, cet hallucinogène. Par Michel Gay hydrogène-fdecomite (CC BY 2.0) Depuis plusieurs décennies des études et des articles nous font régulièrement miroiter que l’hydrogène (H2) pourrait être un moyen de stocker l’énergie, notamment, le surplus d’électricité produit par des énergies intermittentes comme les éoliennes et les panneaux photovoltaïques. Il serait alors injecté dans le réseau actuel de gaz naturel ou retransformé en électricité dans une pile à combustible (PAC), par exemple. Il pourrait aussi remplacer l’essence et le diesel dans nos véhicules.
La Tribune. Biarritz : Pragma Industries, la pile à hydrogène qui révolutionne le vélo électrique. Ancée en juillet 2004 par Pierre Forté, ex- ingénieur dans l'aéronautique à Dassault, cette start-up a mis au point fin 2012 la première machine au monde à bobiner des piles à combustible, qui réduit considérablement les coûts de production et ouvre ainsi la voie à une industrialisation. Des piles, qui stockent trois fois plus d'énergie qu'une batterie lithium-ion, et sont compactes. Pour y parvenir, elle a investi plus de 2 millions d'euros, avec l'aide d'Oséo Capital PME, des sociétés de capital-risque Sebadour et Herrikoa et de la Région Aquitaine. Les Forces spéciales françaises, premier client. De l'hydrogène liquide dans l'acide formique. De l'hydrogène liquide dans l'acide formique. L’hydrogène : l’énergie de l’avenir. La forme gazeuse de l’hydrogène (H) est en réalité le dihydrogène (H2), mais il reste communément appelé hydrogène.
Quasiment absent de l’atmosphère terrestre, ce gaz doit être produit par l’Homme. Il est extrait par des procédés industriels d’éléments naturels, notamment le méthane (CH4) et l’eau (H2O). Laissez un commentaire : Votre commentaire (min. 40 caractères) Biocarburant : de l’hydrogène bon marché produit à partir de maïs. Une solution révolutionnaire à l’après-pétrole est déjà là. La solution de l’après-pétrole est déjà là Produire directement du carburant liquide avec du soleil et du CO2, c’est le défi relevé par une société américaine en partenariat avec Audi. Les spectres conjugués de la fin du pétrole et du réchauffement climatique hantent l’industrie automobile. Voilà pourquoi depuis des décennies les scientifiques cherchent à perfectionner le procédé naturel de photosynthèse afin de créer une source de carburant renouvelable. C’est dans ce domaine que la société américaine de biotechnologie Joule Unlimited, qui a récemment débuté un partenariat avec Audi, a développé une technique de production particulièrement prometteuse : une bactérie génétiquement modifiée qui produit directement du carburant liquide lorsqu’elle est exposée à la lumière en présence de CO2.
Une solution révolutionnaire à l’après-pétrole est déjà là. Catalyse de la production d'hydrogène. Quant NanoFlowcell: la voiture à redox (oxydo-reduction) ! Une innovation intéressante dans le milieu de la propulsion électrique : la pile à combustible alimentée par un fluide électrolytique "vidangeable"... Reste à voir: prix réel de la solution d'électrolyte, bilan global...et dans tous les cas cela mettra des années avant de trouver des pompes à électrolyte ! Et on est encore très loin (facteur 20) de la densité énergétique du pétrole...Mais ce facteur peut être, en pratique, divisé par un bon 3.5 compte tenu des rendements "réservoir-roue" bien plus élevés (80 à 90%) d'un véhicule électrique que d'un thermique (20 à 25%) Présentation par Pierre Langlois : Batterie redox vanadium.
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. §Généralités[modifier | modifier le code] Une batterie redox vanadium (ou batterie à oxydoréduction au vanadium), est un type de batterie rechargeable à flux qui utilise le vanadium dans différents états d'oxydation pour stocker l'énergie potentielle chimique. Un brevet allemand de batterie à flux au chlorure de titane avait déjà été enregistré et accepté en 1954, mais la plupart des développements ont été réalisés par les chercheurs de la NASA dans les années 70.
L'utilisation du vanadium avait déjà été suggérée, mais la première démonstration réelle et le développement commercial de toutes les batteries vanadium à flux travaillant avec une solution d'acide sulfurique ont été réalisés par Maria Skyllas-Kazacos et collaborateurs à l'université de Nouvelle-Galles du Sud en Australie. VW, Audi et même Porsche vont lancer des véhicules à hydrogène.