Easiest ways to emasculate a dude. This is ... truly a thing.
It's been my direct experience that men who stress the hardest about what you articulated are either terrified of their self-perceived ineptitude to be able to offer anything else, and/or completely uninterested in offering anything else. The most powerful thing a man can offer me in relationship is “emotional support”. The ones who, when I say that in response to the ever-present “But I don’t have anything to offer yoooouuu!!!” Wail – of which, especially when the man and I in question are making comparatively equivalent amounts, I am heartily sick – look puzzled but at least make an attempt to stay in the conversation? I’m like “Okay, it may be some work, but this is a man I might be able to work with” – because I realize they too are subject to ridiculous pressures from other members of their own gender WRT “What It Means To Be A Man” messages.
However. Men Feel Bad Around Smart, Successful Women. By Lisa Wade, PhD, Dec 26, 2013, at 01:51 pm We’re celebrating the end of the year with our most popular posts from 2013, plus a few of our favorites tossed in.
Enjoy! You know all those badass ladies out there that are inexplicably single? Well, maybe it’s not so inexplicable. In a study contending for most-depressing-research-of-the-year, psychologists Kate Ratliff and Shigehiro Oishi tested how a romantic partner’s success or failure affects the self-esteem of people in heterosexual relationships.
Epic Rap Battle of Manliness. Nostalgiques des “vrais” hommes? Récemment, je suis tombée sur un commentaire d’une amie Facebook, au sujet des “vrais hommes”.
Une espèce en voie de disparition, disait-elle. Les hommes, les vrais, sont “ceux qui décident et ne se laissent pas faire par leurs blondes”. En bas de cette affirmation, le lien vers un article du Figaro intitulé “Où sont passés les hommes?”. Son auteure, Sophie Roquelle, pleure la fin imminente du mâle dominant qui régnait en maître sur nos sociétés occidentales. Tough Guise: Violence, Media & the Crisis in Masculinity. La fin des hommes ? La montée en puissance des femmes aurait-elle finalement signé la fin du pouvoir masculin ?
C’est la thèse provocatrice développée récemment par la journaliste américaine Hanna Rosin dans son ouvrage The End of Men. De même, les récentes actions spectaculaires des pères divorcés en colère ont donné l’image d’une masculinité aux abois. La domination masculine serait-elle en train de s’effacer ? Déconstruire la crise de la masculinité. Sans alimenter les discours antiféministes qui voient une crise de la masculinité provoquée par des femmes conquérantes et castratrices, on peut toutefois prendre au sérieux les difficultés et les souffrances des hommes dans un monde où le travail, central dans la construction de l’identité masculine, change, se précarise et n’est plus tant vécu comme une valeur mais comme une faveur.
C’est ce que propose ici Pascale Molinier dans une analyse de l’expérience subjective du travail où se transforment les modalités viriles de la coopération et de la solidarité professionnelles. Il est dans l’air du temps de dire que les hommes vont mal. Il est de bon ton de s’en inquiéter. Crise de la masculinité retour vers le futur. L'homme est-il l'avenir du féminisme ? « Mieux vaut baiser de belles filles qu’être pédé », dit en gros Berlusconi.
Voilà un exemple de ce pour quoi 100 000 femmes ont manifesté dimanche en Italie : dénoncer le machisme ambiant et la condition des femmes. On voit dans cette citation que l’homme n’est pas seulement exhorté à être : il est aussi encouragé à ne pas être (un pédé en l’occurrence). C’est en substance ce que dit Cyril Barde, jeune chercheur de l’ENS Lyon qui a travaillé sur la masculinité dans la littérature du XIXe siècle. Un propos qui va à la fois à l’encontre de ceux (comme Eric Zemmour) qui pensent que l’émancipation des femmes a dévirilisé les hommes et de celles (certaines féministes) qui pensent que la crise de la masculinité est un concept inventé contre le féminisme. Rue69 : Vous pensez qu’il y a une crise de la masculinité ? Cyril Barde : Dans un sens, oui. Pères divorcés, chômage et précarité masculine, violences et replis virilistes dans certains quartiers...