Jean-Marie Lhôte, Le symbolisme des jeux. 1Jean-Marie Lhôte est à la fois le doyen et l’un des plus éminents historiens indépendants du jeu.
Auteur d’une remarquée et très recherchée Histoire des jeux de société, on oublie qu’il fut d’abord un spécialiste de la symbolique du tarot. Paru en 1976, Le symbolisme des jeux a été réédité en 2010 avec quelques ajouts mineurs qui tiennent plus d’une évaluation rétrospective du texte originel que d’une véritable mise à jour. L’originalité de cet ouvrage est d’aborder les jeux pour leur signification et les croyances qu’ils véhiculent plutôt que pour leur importance historique. Après avoir séparé les jeux lunaires des solaires, selon qu’ils tiennent de Dionysos ou d’Apollon, il note que, « selon la classification fondamentale de Roger Caillois, on placera sous le signe de Dionysos les jeux de simulacre et de vertige, sous le signe d’Apollon, les jeux de compétition et de chance. Physiques ou intellectuels, l’essentiel est qu’ils obéissent à des règles précises.
Jane McGonigal : le jeu peut rendre le monde meilleur. Vivre: la psychologie du bonheur de Mihaly Csikszentmihalyi (psychologie positive, expérience optimale, flow) Acheter en ligne: Vivre: La psychologie du bonheur de Mihaly Csikszentmihalyi Format broché: Format de poche: La théorie de l’«expérience optimale» Vivre : la psychologie du bonheur de Mihaly Csikszentmihalyi s'inscrit dans le mouvement de la «psychologie positive».
Pour Csikszentmihalyi, le bonheur se définit par l'«expérience optimale». Il présente dans ce livre, les principes généraux du développement de l’expérience optimale et les conditions du bonheur dans le contexte de la vie quotidienne. Conditions de l’expérience optimale Mihaly Csikszentmihalyi donne les conditions de l'«expérience optimale».
Approche scientifique expérimentale du bonheur Dans la préface de Vivre : la psychologie du bonheur, David Servan-Schreiber, neuropsychiatre et auteur du best seller Guérir le stress, l'anxiété et la dépression : Sans médicaments ni psychanalyse souligne l'apport particulier de Mihaly face aux questions du bien-être, du bonheur et à ce qui donne un sens à l'existence. JOUER : JOUIR du temps perdu - Alain Guy, psychanalyste. Dans cet article, Alain Guy plaide pour le “laisser jouer” comme moyen d'échapper à la société du contrôle permanent et comme moyen de retrouver le rapport au plaisir.
Il nous rappelle également la fonction symbolique du jeu. Mon propos est organisé autour d’une idée simple et complexe à la fois dans la mesure où il se présente comme une position politique au sens grec du terme, l’organisation de la vie du citoyen dans la cité. Plus notre société scientifique et technologique se développe, plus il est indispensable que nos enfants puissent «savoir jouer». Nous passons d’une société scientifique d’enfermement et de discipline à une société de gestionnaire, une société économique de contrôle.
M. Savoir jouer cherche donc à redonner aux enfants, aux adolescents et aux adultes le goût du jeu. Positionnons rapidement quelques aspects du problème. Les oppositions entre le travail, l’amusement et le jeu constituent un des drames du XXème siècle. Le jeu : don gratuit, futile, inutile Entame • F. Jouer/Apprendre. Gilles Brougère (résumé) 1Jouer et apprendre ?
Jouer ou apprendre ? Sous un titre délibérément ouvert, Gilles Brougère, professeur de sciences de l’éducation à l’université Paris 13 et auteur de plusieurs ouvrages sur le jeu et le jouet, reprend à nouveaux frais la question des rapports du jeu et de l’apprentissage et lui consacre une étude nourrie aux meilleures sources de la recherche internationale. Pour montrer d’abord combien cette question doit être sortie des affirmations d’évidence et des discours autorisés qui ont contribué à constituer en vulgate pédagogique la relation prétendue « naturelle » et « fonctionnelle » du jouer et de l’apprendre. 2À ce modèle fonctionnaliste, Gilles Brougère oppose la nécessité d’une recherche qui, découplant dans un premier temps les termes de jeu et de développement, de jeu et d’éducation, rende compte de la réalité de l’activité ludique en s’interrogeant frontalement sur ce que l’on fait quand on joue.