Finance -Questions d'actualité. Revue de l'étude de Gabriel Zucman The Missing Wealth of Nations. Are Europe and the US Net Creditors or Net Debtors ? Dans un article précédent j'ai mis en relief des lacunes de précision dans un point de vue de la professeur Hélène Rey publié dans Les Echos, point de vue qui se réfère aux travaux de Gabriel Zucman. Echos 4 avril 2012 Sur la piste de l'évasion fiscale par Hélène Rey, professeur à l'université de Pri InvestigationFin consacre un article à l'étude des travaux de Gabriel Zucman pour en challenger une partie du contenu.
L'étude de Gabriel Zucman comporte plusieurs publications et notamment :- une première version du rapport en date du 11 février une deuxième version du rapport en date du 29 mars 2012 55 I. La source de Gabriel Zucman ? II. III. IV. Research | Gabriel Zucman. European Banking Authority - EBA - CESR/CEBS’s technical advice on the review of commodities business. European Banking Authority - EBA - Home. Chiffres clés.
Sortir de l'euro;uro et puis ? Rudo de Ruijter, Chercheur indépendant, Pays-Bas. Article lu sur Rudo de Ruijter “ La reproduction de cet article est autorisée sous condition de mentionner ce lien vers l’article original : .” L'euro est une monnaie très pratique, mais elle fait des millions de victimes. Cet article explique d’une façon simple pourquoi l’euro ne peut pas marcher et expose les avantages d’un passage vers un système d’argent d’État. Non, la coopération Européenne ne s’arrêtera pas sans l’euro! Et oui, nous serions bien mieux avec de l’argent d’État et de nouveaux circuits de contrôle des flux monétaire (courants d’argent État – Population) !
L’euro a un problème insoluble. Les pays qui sont sévèrement endettés maintenant, s’ils réussissent à s’en sortir à coups de réductions de dépenses d’État, s’endetteront de manière prévisible à nouveau. La suite longue mais facile à lire et passionnante, sur l’un des 2 sites mentionnés en début de billet. Crise systémique globale – USA 2012/2016 : Un pays insolvable et ingouvernable. Je partage avec vous aujourd’hui la vision du “GlobalEurope Anticipation Bulletin”, qui est pour moi de loin une des meilleures sources d’information sur la Crise.Aujourd’hui, une tonalité très pro-Euroland et anti-USA.
Cela change un peu des discours ambiants… Nous verrons en 2012 le résultat des courses… Communiqué public GEAB N°60 (15 décembre 2011) Comme annoncé dans de précédents GEAB, notre équipe présente dans ce GEAB N°60 ses anticipations sur l’évolution des Etats-Unis pour la période 2012-2016. Ce pays, épicentre de la crise systémique globale et pilier du système international depuis 1945, va traverser une période particulièrement tragique de son histoire au cours de ces cinq années. Parallèlement, comme à chaque mois de Décembre, nous évaluons nos anticipations pour l’année écoulée. Dans ce communiqué public nous avons choisi de présenter un extrait de notre anticipation sur l’évolution des Etats-Unis pour la période 2012-2016. 1. 2. 3.
Notes: (14) Source : Euronews, 14/12/2011. Base monétaire americaine. Petit rappel : la base monétaire (M0), que les économistes nomment également « monnaie banque centrale », désigne la monnaie qui a été créée directement par la banque centrale. Elle comprend les espèces (pièces et billets) plus les soldes des comptes des banques dans les livres de la banque centrale, appelés « réserves ».
Cette monnaie est appelée monnaie de base car elle constitue le fondement de la création monétaire : la réglementation impose en effet que les banques de second rang ne puissent accorder des crédits qu’en fonction de leur détention de monnaie de base. Ainsi, au final, la monnaie scripturale créée par les banques de second rang sera un multiple de la quantité de monnaie de base.
Comme la valeur du multiplicateur est assez souvent stable, on peut en partie contrôler l’ensemble de la masse monétaire en contrôlant la quantité de monnaie de base. Observons l’évolution récente de la base monétaire américaine : On constate bien le caractère hors norme depuis 1985. Global Financial Crisis. Author and Page information The global financial crisis, brewing for a while, really started to show its effects in the middle of 2007 and into 2008. Around the world stock markets have fallen, large financial institutions have collapsed or been bought out, and governments in even the wealthiest nations have had to come up with rescue packages to bail out their financial systems. On the one hand many people are concerned that those responsible for the financial problems are the ones being bailed out, while on the other hand, a global financial meltdown will affect the livelihoods of almost everyone in an increasingly inter-connected world. The problem could have been avoided, if ideologues supporting the current economics models weren’t so vocal, influential and inconsiderate of others’ viewpoints and concerns.
This article provides an overview of the crisis with links for further, more detailed, coverage at the end. A crisis so severe, the world financial system is affected Back to top . Joel Halpern Historique crise financière & solutions. Dangers de l'immat. Ci-dessous, ma chronique dans L'Expansion d'avril 2009. Supposons que Keynes soit parmi nous et qu'il examine l'économie contemporaine. Que verrait-il, que dirait-il ? Il verrait une économie aussi déséquilibrée que celle des années 1930, des erreurs d'anticipation, l'inadéquation des comportements des consommateurs et des entreprises.
Mais il se les expliquerait autrement. Le déséquilibre actuel n'est pas provoqué, comme il l'était alors, par la persistance dans une économie industrialisée de comportements, de valeurs, d'un pessimisme hérités d'une économie dominée par l'agriculture. L'erreur qui domine aujourd'hui, qui bloque l'économie, c'est l'adhésion à des valeurs, des comportements, des lois d'anticipation qui correspondaient au système productif industrialisé mais ne correspondent pas au système productif informatisé et automatisé. Ces derniers sont devenus des assemblages de biens et de services élaborés par des entreprises travaillant en partenariat. Mille Madoffs (suite) J'ai reçu d'un de mes amis le message suivant, daté du 28 avril : "De passage tout à l’heure dans le quartier de la Bourse, j’ai vu qu’il se tenait au palais Brongniart un colloque financier.
Des costume-cravate anglo-saxons entraient et sortaient, certains allant boire un café ou une bière au « Vaudeville ». "Ayant mes entrées au palais Brongniart je suis allé voir ce qu’il s’y passait. C’était "EuroHedge Summit 2009", congrès des hedge funds européens. A l’intérieur, des stands pour la banque privée suisse, Jersey, l’île de Man, les fiduciaires luxembourgeoises et j’en passe... Il est regrettable que les journalistes n'aient pas été invités ni même autorisés : j'imagine l'article que l'EuroHedge Summit aurait inspiré à Libération... "Conclusion : ce sont les banques qui ont créé les paradis fiscaux et ces paradis fiscaux procurent aux banques des fonds et des commissions, pour une bonne part de leur résultat. Pendant la crise, la folie continue !
Finances Publiques. Mécanisme création crédits & dettes d'État au franc d'État. Marchés financiers. Marché financiers - Régulation. Monnaies Virtuelles. Les revenus en France. 23 août 2013 - Avec un salaire mensuel net de 4 000 euros en moyenne, les cadres supérieurs gagnent près de 2,5 fois plus que les employés et les ouvriers. Les cadres supérieurs, avec un salaire mensuel net moyen de 3 963 euros en équivalent temps plein, touchent deux fois plus que la moyenne des salariés et près de 2,5 fois plus que les employés ou les ouvriers, selon les données 2010 de l’Insee.
Chaque mois, un cadre supérieur dispose de 2 500 euros de plus à dépenser qu’un salarié des catégories populaires. Les écarts sont encore plus importants chez les hommes parce que les cadres supérieurs masculins touchent des salaires beaucoup plus élevés en moyenne : 4 300 euros contre 3 300 euros pour les femmes. Ces données concernant les fiches de paie ne représentent pas avec précision les niveaux de vie. D’un côté, les cadres paient davantage d’impôts directs que les ouvriers. Ceux qui touchent le plus et ceux qui touchent le moins Des écarts « justes » ? Ces écarts sont-ils « justes » ? La TVA sociale anti-délocalisation anti-chomage non inflationniste qui va faire payer les méchants étrangers. La TVA sociale fait la une de l’actualité. Jean Arthuis défend l’idée depuis de nombreuses années, Nicolas Sarkozy et François Fillon la reprennent à leur compte et semblent vouloir avancer sur le dossier après 2008.
D’où ce petit billet, pour avancer dans la compréhension du problème. Le mécanisme dit de TVA sociale consiste à basculer une partie du financement de la Sécurité sociale des entreprises vers les ménages, via une baisse des cotisations patronales et une hausse simultanée de la taxe sur la valeur ajoutée. Du point de vue des finances publiques, ça ne change rien, il s’agit de financer d’une nouvelle façon la protection sociale.
Croire que cela permettra de couvrir automatiquement les nouvelles dépenses du gouvernement est donc erroné, ou alors ce sera au détriment du financement de la sécurité sociale. Bref, ce n’est pas une TVA sociale, c’est une TVA anti-délocalisations,comme nous le dit notre premier ministre. Quelques remarques sur les effets attendus. Qui va perdre ? XBRLModel-based Digital Business/Financial Reporting - Helping business users make use of XBRL for business information exchange.