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Les comportements addictifs liés à l’usage du numérique.

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Vous trouverez ci-dessous différentes ressources sélectionnées sur le thème indiqué en titre dans le cadre d'une activité de recherche d'informations afférente au cours C2i dispensé en L1 psychologie.

Bonne lecture.

Concept d'addictions sans drogues. Revue détaillée - Addiction à l'internet. Cas clinique - Usage problématique/abusif nouvelles technologies. Enquête - Loisirs devant écran des jeunes. Ces dernières années ont été marquées par le développement significatif de nouveaux médias, à l’image d’internet ou de la téléphonie par exemple. La diffusion de ces nouvelles technologies a permis à des millions de personnes de découvrir et de se familiariser avec l’outil informatique, internet ou à la téléphonie. Cependant, au-delà des enjeux économiques et sociaux que soulève cette révolution des médias, notamment l’augmentation du taux d’équipement des foyers et par là même la démocratisation de l’accès à ces outils, d’autres changements plus profonds se sont opérés, révélant ainsi un nouveau rapport aux médias.

C’est d’autant plus le cas pour les adolescents d’aujourd’hui, nés dans un contexte marqué par « un paysage médiatique extrêmement diversifié » (Hersent, 2003). Cet état de fait nous amène à réfléchir sur l’influence que ces médias ont, ou peuvent avoir sur les jeunes. 451 questionnaires ont été récupérés, dont 444 remplis et exploitables. Synthèse - Usages problématiques Internet et Jeux vidéo. " Peut-on parler d'addiction aux jeux vidéo ? ". L’Addiction Etymologie Le terme « addiction » vient du latin « ad-dicere », signifiant «dit à». A l’origine le mot « addiction » était employé pour désigner les esclaves qui étaient « dits à » leur maîtres… Par la suite, le vieux français utilisait le mot « addictus » qui voulait dire « contrainte par corps ». Nous retrouvons cette idée d’esclavagisme, et surtout cette notion d’appartenance du corps. Sens en Psychanalyse En psychanalyse, le mot « addiction » a été employé dans le but d’expliquer des fonctionnements particuliers de sujets dépendants à une substance ou à un objet se situant en dehors du corps, que l’on nomme « objet externe ».

Le terme de dépendance ou d’habitude ne suffisait pas à décrire le besoin de répétition de ces comportements et la satisfaction provoquée par cette répétition n’était pas prise en compte dans la seule notion de dépendance. Or l’ « addiction » est un symptôme qui montre, au devant de la scène, la problématique inconsciente, cachée et refoulée du sujet. Recension des connaissances - Dépendance cybersexuelle. Etat des connaissances - Cyberdépendance. Synthèse - Mesures gouvernementales Françaises. " Et si les grands allaient à l'école ? " Le jeu vidéo, un coupable idéal – le Plus. Article initialement publié par Vanessa Lalo dans leplusnouvelobs le 07/07/11 Violence à l’école ou lors d’une soirée arrosée, les jeux vidéo et Internet restent souvent l’unique réponse aux dérapages.

Récemment, Nadine Morano a pointé la dangerosité des jeux vidéo pour tenter de comprendre comment une collégienne de 13 ans a pu décéder, à la suite de blessures graves, pour une simple querelle amoureuse. Alain Delon a également pris l’exemple des jeux vidéo, d’Internet et du virtuel pour expliquer comment une arme à feu détenue chez lui a pu être utilisée par des amis de son fils lors d’une soirée arrosée. Les jeux vidéo rendent-ils donc violent ? Pourquoi interprète-t-on les faits d’actualité sous la forme d’une culpabilité venant d’un unique objet ? « C’est pas moi, c’est l’Autre » Une réponse, maintenant, tout de suite, le coupable idéal est donc l’Autre. . « C’est pas ma faute » Et si « les grands » allaient à l’école ? Vanessa Lalo. « de futurs consommateurs compulsifs soumis à toutes les formes d’emprise » ? Mise à jour : Les députés ont voté la suppression de la publicité dans les programmes pour enfants de France Télévisions, contre l'avis du gouvernement et du groupe PS.

MEDIAS - Même si quelques parents ont résisté, par principe ou par nécessité, à la pression médiatique des fêtes de fin d'année, tous ont pu mesurer l'impact fabuleux des campagnes publicitaires sur nos enfants. Toutes conspirent pour faire de nos enfants des consommateurs lobotomisés et de leurs parents des adultes culpabilisés dès qu'ils refusent de céder à la moindre demande. C'est que la conspiration est terriblement efficace: elle instrumentalise l'égocentrisme enfantin -une phase normale du développement- et maintient nos enfants dans l'infantile du caprice quand il faudrait, au contraire, les aider à s'en délivrer pour accéder à la pensée. Ce mouvement s'impose d'autant plus qu'il joue sur la marchandisation des relations affectives: l'amour se mesure -quand il ne s'achète pas! Cyberdépendance. Travail collaboratif. Forums et dispositifs d'écoute en ligne. Risque de "Robotdépendance" !

Lorsqu'une technologie commence à se diffuser largement, leurs concepteurs affirment toujours qu'elle ne pouvait pas être pensée différemment... et leurs utilisateurs finissent toujours par le croire ! Pourtant, en technologie, tous les choix de départ sont possibles, mais chacun réduit les suivants. Autant dire qu'il faut bien choisir les premiers. Or c'est exactement le point où nous en sommes avec les robots. Alors, comment vont-ils être programmés ? Pour bien faire comprendre l'importance de cette question, nous pouvons nous appuyer sur deux technologies que tout le monde connaît : la télévision et Internet. La télévision est une machine formidable qui nous donne accès à un grand nombre de programmes destinés à nous instruire ou à nous faire plaisir.

Internet peut aussi être pensé de la sorte, mais sa spécificité est surtout de nous permettre d'entrer en contact avec des gens intéressés par les mêmes choses que nous. "Robot TV" Commençons par le modèle de la télévision. "Robot Web"