background preloader

Tech Industry

Facebook Twitter

Classement e-business : les 100 premiers "pure players" du Web en France. LeWeb 2011 – Startups. Après un tour d’horizon général de LeWeb et une vue d’ensemble de la “semaine du numérique” dans laquelle il s’intégrait, nous allons passer aux startups.

LeWeb 2011 – Startups

LeWeb est depuis ses débuts une conférence qui les valorise bien et permet d’en découvrir d’un coup un grand nombre. Il y en avait à profusion dans cette édition. Où trouvait-on les startups à LeWeb ? Les startups visibles à LeWeb étaient présentes dans plusieurs cadres : 16 startups qui pitchaient dans le cadre de la compétition habituelle de LeWeb et avaient un petit stand dans l’un des halls des Docks. 5 startups qui pitchaient dans le Challenge Capsule To LeWeb, à l’issue d’un concours organisé en novembre 2011 par Intel et le spécialiste du tracking d’applications mobiles BeMyApp. Une demi-douzaine de startups présentant une démonstration de leur application en plénière, la plupart européennes : AppsFire, TaskRabbit, Runkeeper, flaregames, Wooga et Les Editions Volumiques. Le domaine d’activité des startups de LeWeb.

SiliconFilter Covers LeWeb11. SAP-SuccessFactors: 9 reasons why this is a smart acquisition. Software giant SAP acquired internet software company SuccessFactors on Saturday for $3.4 billion , in what most accounts praised as a commendable move to embrace the so-called “cloud.” The “cloud” is a buzz-word that refers to the new way applications are being delivered: over the Internet. Some analysts said the price SAP is paying for SuccessFactors was “nuts .”

It’s a whopping 49 percent premium over SuccessFactors’ market value. SuccessFactors sells software that helps manage employee performance. This doesn’t exactly exude sex appeal. But looked at more closely, the SuccessFactors deal is more than just another purchase by a hungry software giant trying to transform itself. If SAP pulls this acquisition off properly, it could deal solid blows against Oracle, its main competitor, and IBM, another competitor. Here are nine main reasons this looks like a deft move: La fin de l’ordinateur individuel est programmée. Nous sommes en 2011, cela fait donc 30 ans que l’ordinateur individuel a été mis sur le marché (source : Wikipedia). 30 ans que nous utilisons la combinaison unité centrale / écran / clavier / souris. 30 ans de croissance quasi ininterrompu pour les constructeurs et éditeurs de logiciels qui ont bénéficié du phénomène de comoditisation de l’offre (une baisse des prix obtenue par économie d’échelle en vendant des produits quasiment identiques aux entreprises et particuliers).

La fin de l’ordinateur individuel est programmée

Plusieurs signaux du marché sont néanmoins en train de participer au déclin de l’ordinateur individuel tel que nous l’avons connu : l’arrivée à maturité de l’internet et des offres de cloud computing, la montée en puissance des terminaux mobiles et des usages en mobilité. Avec les annonces de ces dernières semaines, il semble clair que Microsoft, Google et Apple sont en ordre de bataille pour faire basculer l’informatique dans le 21ème siècle. Pourquoi iOS est plus disruptif que vous ne le pensez. Voilà maintenant 4 ans qu’Apple a lancé son iPhone sur le marché.

Pourquoi iOS est plus disruptif que vous ne le pensez

Quatre années intenses qui ont complètement bouleversé le secteur de la téléphonie mobile, mais pas seulement ! Avec le lancement de l’iPad l’année dernière, Apple à initié un mouvement plus profond de transformation des usages qui vont modeler notre façon de consommer les contenus et services en ligne.

Salué pour sa stabilité et sa simplicité de prise en main, le système d’exploitation D’apple est en fait bien plus disruptif qu’il n’y parait, car iOS rend obsolète les éléments d’interface et modalités d’interaction que nous avons côtoyés ces dernières décennies (lire à ce sujet : Quelle interface pour le système d’exploitation de demain ?). La fin de la souris Avec iOs, Apple a su populariser les interfaces tactiles signant ainsi la fin de la souris.

La question que l’on se pose maintenant est la suivante : comment bénéficier des apports des interfaces tactiles avec les ordinateurs traditionnels ? What's Really Next for Apple in Television. Nick Bilton/The New York Times “I’ve finally cracked it!”

What's Really Next for Apple in Television

Steven P. Jobs, co-founder of Apple, told his biographer, Walter Isaacson. Although Mr. Jobs was referring to Apple’s plans to build a full-fledged television, he was not actually referring to the TV set, which is how the comment has been widely interpreted. Apple engineers and designers, spurred by Mr. Alternative remote ideas floated by Apple included a wireless keyboard and mouse, or using an iPod, iPhone or iPad as a remote. Enter Siri. It’s the stuff of science fiction. Mac OS s'impose de force dans les entreprises. Si Windows reste ultra majoritaire dans les entreprises, Mac OS commence à sérieusement s'y installer.

Mac OS s'impose de force dans les entreprises

C'est ce que démontre une étude de Forrester Research qui affirme que 22% des 590 décideurs informatiques interrogés constatent une arrivée étonnante des ordinateurs d'Apple dans leurs entreprises. Etonnante parce qu'un grand nombre de salariés amènent leurs propres machines au bureau. Pour 3% des entreprises, plus de 20% de leurs salariés sont passé au Mac l'année passée. Pour 20% d'entre-elles, l'augmentation a été de 5 à 20%. Si les salariés imposent de force leurs machines personnelles, c'est probablement pour éviter de jongler entre plusieurs OS différents. Historiquement les entreprises, elles, voyaient les machines d'Apple trop chères et souvent non compatibles avec les logiciels et les périphériques utilisés.