"Compte japonais" de Jacques Chirac : perquisition chez son avocat. Benoît Collombat : “On a franchi un cap dans l'affaire JPK” Tahiti, JPK disparaît du programme télé. Bakchich l’avait pourtant annoncé dès samedi.
Malheureusement, les habitants de Tahiti ne verront pas le documentaire : « JPK, l’homme qui faisait trembler Tahiti » diffusé ce lundi soir en France métropolitaine par Canal +. Ils devront se contenter, sur Canal + Polynésie, du film « La proposition ». Un joyeux nanard avec Sandra Bullock. Le divertissement, plutôt que l’information. JPK, l’homme qui fait trembler Tahiti et Canal+ ? Compte Japonais de Chirac, JPK, Flosse, Villepin. Reporter disparu à Tahiti : pourquoi je crois au meurtre. Me des Arcis en janvier à Paris (Audrey Cerdan/Rue89) « JPK » était son ami, mais pendant des années, il n’a pas voulu croire à son assassinat.
Du moins publiquement. Le 19 juin dernier, lorsque le juge lui pose la question, il répond encore : « Jusqu’à présent, j’étais persuadé qu’il s’agissait d’un suicide. » Mais « après avoir consulté le dossier », l’avocat Jean-Dominique des Arcis a radicalement changé d’avis sur le sort de Jean-Philippe Couraud, journaliste disparu en 1997. Il se dit aujourd’hui convaicu qu’il a été tué. Lors d’un récent passage à Paris, cet avocat installé à Tahiti s’est confié à Rue89. Conseil d’ami : « Ne t’approche pas de Chirac, sinon tu es mort » A 64 ans, Jean-Dominique des Arcis prétend avoir beaucoup de « trous de mémoire ».
La thèse du suicide de JPK n’est pas sans arguments : juste avant sa disparition, JPK était déprimé, sa femme le trompait. Seconde piste à laquelle s’intéresse l’enquête : le crime passionnel. La pression monte. Compte japonais de Chirac : du nouveau côté Tahiti. Jean-Pascal Couraud, journaliste retrouvé mort à Tahiti (DR).
Le comité de soutien pour la réouverture de l’enquête et la recherche de la vérité sur la disparition de Jean-Pascal Couraud, alias « JPK » , « suicidé » en 1997, a décidé de rendre public le nom de l’avocat qui, le premier, a évoqué un lien possible entre cette sombre affaire avec le « compte japonais de Chirac » . Il s’agit de Maître Jean-Dominique des Arcis. Voici ce que nous écrivions en juillet dernier : Philippe Couraud, frère de JPK, raconte à Rue89 qu’il a, en février, recueilli les confessions de l’avocat ami de son frère en février dernier. C’était un avocat engagé contre Flosse, qui continue d’exercer à Tahiti. « Pendant dix ans, cet avocat avait pourtant conforté la thèse du suicide de Jean-Pascal.
Philippe Couraud et ses amis viennent de donner des détails de cet épisode sur leur site. Vous pouvez télécharger ici en pdf la la lettre à Huy et Pons (certains noms ont été remplacés par des initiales). Historique des communiqués. 1er juillet 2013 Bonjour à tous, Le 25 juin 2013, le juge Jean-François REDONNET a considéré que suffisamment d’indices concordants existaient désormais à l’encontre de Tino MARA et Tutu MANATE pour prononcer leur mise en examen pour meurtre, enlèvement et séquestration en bande organisée sur la personne de Jean-Pascal COURAUD.
Ces 2 personnes ont été placées sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter la Polynésie. Quinze ans après une première plainte pour enlèvement et séquestration intervenue juste après la disparition, huit ans après les premières déclarations d’un agent du GIP qui évoquait le meurtre commis par ses 2 collègues de travail, la justice donne enfin le premier signe tangible que les accusations reprises et portées par la famille de Jean-Pascal COURAUD sont fondées sur des éléments tout à fait sérieux et significatifs, issus du volumineux dossier d’enquête. Moorea, 19 janvier 2009 Comité de soutien JPK Le temps nous paraît certes bien long. Dix ans après la mort de « JPK », les langues se délient. Dans une enquête diffusée par France Inter, l’ancien avocat du journaliste Jean-Pascal Couraud, disparu à Tahiti, témoigne.
Stèle à la mémoire du journaliste Jean-Pascal Couraud (aimable autorisation d’avaiki nius agency). JPK. Trois initiales qui flottent comme un fantôme sur la Polynésie française. Ce dimanche, cela fait dix ans que Jean-Pascal Couraud -dit JPK- a disparu, parti sans laisser d’adresse. Ce journaliste, ancien rédacteur en chef des Nouvelles de Tahiti enquêtait sur les affaires de l’ancien président polynésien Gaston Flosse ; sa famille a la conviction qu’il a été assassiné. Plus précisément largué en pleine mer avec des parpaings aux pieds. Un journaliste de l’AFP agressé à son domicile Cette hypothèse de l’assassinat, défendue par la famille Couraud, est longtemps restée lettre morte au Tribunal de grande instance de Papeete où le suicide avait la préférence des juges.
Jusqu’à ce que certaines langues se délient. Les confidences tardives de l’ancien avocat de JPK. Gaston Flosse perd tous ses mandats en Polynésie. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Gaston Flosse a été démis, vendredi 5 septembre, de ses fonctions de président de la Polynésie française et de représentant à l'Assemblée locale, en vertu d'un arrêté du haut-commissaire de la République, Lionel Beffre.
Cette décision fait suite au refus de François Hollande d'accorder la grâce présidentielle concernant sa condamnation dans une affaire d'emplois fictifs. « L'Assemblée de la Polynésie française devra élire, dans les quinze jours, le nouveau président de la Polynésie française », précise le haut-commissariat dans un communiqué. Gaston Flosse conserve la possibilité de déposer un référé suspension devant le Conseil d'Etat.
Malgré tout, selon le haut-commissariat, l'inéligibilité du président polynésien est immédiate. Le vice-président Nuihau Laurey assurera les affaires courantes jusqu'à l'élection d'un nouveau président par l'Assemblée de la Polynésie française. Disparition de « JPK » à Tahiti : la thèse de l’homicide renforcée. Jean-Pascal Couraud. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Couraud. Jean-Pascal Couraud (né à Poitiers en 1960), surnommé JPK, est un journaliste français, qui a disparu à Tahiti dans la nuit du 15 au . Biographie[modifier | modifier le code] Jean-Pascal Couraud arrive avec sa famille en Polynésie française à l'âge de cinq ans. Il réalise ses études supérieures en métropole à l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence avant d'entamer en 1984 sa carrière de journaliste dans le journal Les Nouvelles de Tahiti dont il devient rédacteur en chef en 1986. Il a eu deux enfants de deux femmes différentes[1]. Disparition[modifier | modifier le code] Selon Vetea Guilloux, un ancien membre du Groupe d'Intervention Polynésien (GIP)[3], Jean-Pascal Couraud se rend en voiture à Taunoa où habite alors Boris Léontieff et où lui est fixé un rendez-vous. Enquête[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]