Géopolitique. La géopolitique est une discipline à l‘intersection de la géographie, des sciences politiques et des sciences militaires, qui traite des relations entre pouvoir et territoire, dans une perspective polémo-géographique et dans des contextes où l’étude porte sur des affrontements antagonistes , réels ou potentiels.
Avec une approche des problèmes essentiellement fondée sur la dialectique, elle s’attache à l’analyse de la répartition des ressources et à leur effet sur les relations entre entités politiques. Rosière (2003) la définit assez justement comme une discipline spécialisée dans « l’étude de l’espace considéré comme un enjeu ». Le terme « géopolitique » est apparu au début d’un 20ème siècle (Kjellen, 1905) tourmenté par des conflits d’une ampleur inégalée, mais aussi touché par la généralisation de la forme démocratique et marqué par la mise en place d’un nouvel équilibre politique et économique mondial. Toutefois, ce positionnement n’a pas toujours eu précisément ces contours. Le "smart power", nouvelle matrice de la diplomatie américaine. Le "smart power", nouvelle matrice de la diplomatie américaine [vendredi 13 février 2009 - 09:00] La fondation Robert-Schuman publie une note de huit pages, circonstanciée et très éclairante, rédigée par le journaliste de l’AFP Jacques Charmelot, relative à la nouvelle doctrine de la diplomatie américaine : le smart power.
Le smart power est présenté par l’administration Obama comme le mariage productif entre les notions, bien connues mais peu opérantes isolément, de hard power (pouvoir de coercition par la force ou la menace, incarné par le Pentagone) et de soft power (capacité d’attraction par la persuasion, portée par Hollywood et Harvard). Le résultat de cette addition est ce mélange d’habileté et d’expérience que l’on nomme désormais smart power (pouvoir de l’intelligence). La note de J. À lire également sur nonfiction.fr : - Smart power, dans les "25 idées d'Obama", par Pauline Peretz - Soft power, dans les "25 idées d'Obama", par Joseph Nye À lire également : Carte des opérations extérieures de la France.
Opération Barkhane. Regroupés depuis le mois de février 2014 au sein d’un cadre institutionnel baptisé du nom de « G5 Sahel », ces pays ont décidé d’apporter une réponse régionale et coordonnée aux défis sécuritaires, ainsi qu’aux menaces que font peser sur eux les groupes armés terroristes (GAT).
Dans ce cadre, ils ont manifesté leur volonté de conduire leur action aux côtés de la France considérée comme « un partenaire stratégique ayant toujours soutenu les pays du Sahel dans leurs actions de lutte contre le terrorisme ». Si Barkhane s’inscrit dans une nouvelle approche stratégique, elle se caractérise aussi par une logique de fusion et de partage des moyens qui, jusqu’alors étaient dévolus à des opérations distinctes (l’opération Serval au Mali, déclenchée en 2013 et l’opération Epervier au Tchad, déclenchée en 1986).
L’opération Barkhane est commandée par un officier général depuis un poste de commandement unique stationné à N’Djamena, au Tchad (poste de commandement interarmées de théâtre ou PCIAT). Principaux secteurs d'activité en France. Une récolte de maïs à Épône, près de Paris.
Malgré le maintien à un haut niveau de l'agriculture et de l'industrie, l'économie française est aujourd'hui principalement une économie de services. Le secteur tertiaire s'autonomise peu à peu et devient le principal moteur de la croissance économique du pays[1]. Agriculture et agroalimentaire[modifier | modifier le code] Industrie[modifier | modifier le code] Énergie[modifier | modifier le code] Commerce et artisanat[modifier | modifier le code] Depuis les années 1970, le secteur du commerce a été bouleversé par l'irruption de la grande distribution, qui représente les deux tiers des dépenses alimentaires des Français en 2008[j 1]. Malgré la concurrence des entreprises industrielles, l'artisanat de son côté est parvenu à conserver une place importante dans l'économie française[j 1].
Tourisme[modifier | modifier le code] La tour Eiffel à Paris, un des monuments payants les plus visités au monde. Le Louvre conserve sa place de musée le plus visité au monde. Indétrônable, le Louvre reste le musée le plus fréquenté au monde en 2014 et La Joconde garde toute sa renommée.
"Plus de 9 millions de personnes l'ont admirée l'an dernier, soit 100 000 de plus qu'en 2013", précise la journaliste de France 2. Deux tiers sont des touristes étrangers : Américains, Chinois, Italiens, Britanniques et Brésiliens. Plus de la moitié des visiteurs ont moins de trente ans Et si le musée sait séduire les jeunes, il est aussi important de rappeler qu'il a connu un moment fort en 2014 : la réouverture des salles consacrées aux objets d'art du XVIIIe siècle. L'un d'entre eux a tout particulièrement attiré l'attention des amateurs : la Table de la Paix sertie de pierres précieuses. Usine Lagardère, site d'assemblage final et d'essais de l'AIRBUS A380 à Toulouse Blagnac.