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Mémoire

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UNCLOUD. Dessine-moi les médias : gilets jaunes et mépris médiatique. Par Mat Colloghan, jeudi 20 juin 2019 Le traitement médiatique du mouvement des gilets jaunes s’est traduit par une hostilité et un mépris croissants à mesure que les mobilisations se sont inscrites dans la durée.

Dessine-moi les médias : gilets jaunes et mépris médiatique

On y retrouve les différents mécanismes de dénigrement des mouvements sociaux : rappels à l’ordre, parti-pris gouvernementaux et policiers, dénonciation à sens unique des violences des manifestants [1]... « Je t’aime, moi non plus » Les « gilets jaunes » et les médias de masse. « Journalopes », « presstituées », on ne compte plus les insultes à l’égard des journalistes dans les manifestations du mouvement des « gilets jaunes » depuis le 17 novembre 2018.

« Je t’aime, moi non plus » Les « gilets jaunes » et les médias de masse

Plus le mouvement dure, plus la haine des journalistes semble atteindre un nouveau palier chaque samedi. Désormais, ils sont même pris à partie, voire frappés comme ce fut le cas pour une journaliste de France 3 à Limay dans les Yvelines le 18 décembre ou plus récemment, le 11 janvier, à Pau – en plein direct – pour un journaliste de BFMTV, ainsi que le même jour à Rouen pour un agent de sécurité roué de coups alors qu’il accompagnait des journalistes de LCI. Environnement et sociétés rurales en mutation - Les relations entre environnement et sociétés rurales au niveau local - IRD Éditions. 1Le thème des évolutions croisées entre les populations humaines et les milieux dans lesquels elles vivent, ainsi que le nécessaire rapprochement des notions de conservation des ressources et de développement, font l’objet de nombreux débats.

Environnement et sociétés rurales en mutation - Les relations entre environnement et sociétés rurales au niveau local - IRD Éditions

Dans la première partie de cet ouvrage ont été analysées les approches du thème du point de vue des théories. Sur le terrain, ces problèmes d’approche se posent avec autant d’acuité et se trouvent confrontés aux particularismes sans fin des situations locales étudiées. Les chercheurs ont un défi majeur à résoudre, celui de la définition d’un espace conceptuel d’analyse qui favorise les zones d’interface entre les approches sociales et « naturalistes », et qui permette d’apporter des éléments concrets d’aide à la décision pour la gestion des ressources naturelles et un développement humain. C’est ainsi que la notion de développement durable est devenue très à la mode ces dernières décennies. 20Les ressources ont un fort ancrage avec l’espace.

Est-il plus écolo de vivre en ville ou à la campagne ? (Partie 1) Il y a encore quarante ans, la question ne se serait peut-être pas posée.

Est-il plus écolo de vivre en ville ou à la campagne ? (Partie 1)

Les écolos (du moins d’après l’image qu’on s’en faisait) vivaient plus volontiers « à la campagne ». Globalisations et écologisations des campagnes. Glottophobie : que dit cette discrimination par l'accent de notre société ? Un Français sur deux estime avoir un accent.

Glottophobie : que dit cette discrimination par l'accent de notre société ?

Si vous en faites partie, alors peut-être avez vous fait face un jour à de la "glottophobie" : la discrimination linguistique. Pour y mettre fin, le député "Agir" de l’Hérault, Christophe Euzet, porte une proposition de loi qui vise à intégrer la discrimination par l'accent dans le code pénal et le code du travail, et celle-ci a été adoptée en première lecture par l'Assemblée nationale. INTERVIEW- Être une femme, prendre position… Marie-France Malonga nous a parlé de la télé française. MEDIAS – Marie-France Malonga est une sociologue qui s’occupe, entre autres, de la question des « minorités » dans les médias.

INTERVIEW- Être une femme, prendre position… Marie-France Malonga nous a parlé de la télé française

Nous publions l’interview, qui résulte d’un long entretien qu’elle nous avait accordé en décembre dernier. À l’heure où le mercato des médias a déjà eu lieu et que la question de la variété des visages à la télé occupe les débats mais progresse très doucement, voici l’échange fleuve. Comment avez-vous collaboré avec le CSA ? Je les ai sollicité, suite à un article paru dans la presse dans lequel j’avais appris la naissance du collectif Egalité.

Je travaillais depuis quelques mois sur la question des minorités dans les médias, j’avais amorcé un travail de recherche sur la question, réalisé un mémoire. Avant dans les entreprises de médias, il était courant de demander aux journalistes aux noms à consonance étrangère qu’ils en changent ! Bruno Jean, Les territoires ruraux dans la modernité avancée et la recomposition des systèmes ruraux. INJEP. Texte intégral Avant les années 1990, les jeunes ruraux étaient moins étudiés par les sciences sociales que les jeunes urbains car associés à une vision traditionnelle de la ruralité (Coquard, 2015) selon laquelle il n’y aurait que des paysans en milieu rural.

INJEP

Depuis, les études sur les jeunes ruraux connaissent un regain d’intérêt et offrent une vision plus juste de leur situation qui n’est pas essentiellement différente de celle des jeunes urbains. Les spécificités des jeunes ruraux sont liées au fait qu’ils sont plus souvent issus de milieux socio-économiques populaires et qu’ils font moins d’études que les jeunes urbains. Cette fiche dresse un portrait statistique de ces jeunes ruraux à l’aide de données sociodémographiques issues du recensement de la population de 2015, en comparaison avec leurs homologues urbains.

INJEP. Le monde rural, difficultés pour les uns, qualité de vie pour les ruraux. Le monde rural évoque d'abord les difficultés socio-économiques chez l'ensemble des Français, alors que les ruraux eux-mêmes l'associent en priorité à la qualité de vie, selon une enquête de l'Ifop diffusée mardi.

Le monde rural, difficultés pour les uns, qualité de vie pour les ruraux

Si, pour 46% des Français interrogés, la ruralité est d'abord synonyme de «difficultés socio-économiques et de nuisances», elle évoque au contraire bien-être et «qualité de vie» pour 62% des ruraux. Une différence de perception mise en lumière par cette étude réalisée pour l'association Familles Rurales en partenariat avec Franceinfo. Le monde rural, vu comme un territoire délaissé mais idéal de vie pour de nombreux Français, selon un sondage. Une enquête IFOP pour l’association Familles rurales, présentée mardi 9 octobre, illustre les différences de perception du monde rural selon qu’il est vu par l’ensemble des Français ou par les habitants des campagnes. « Difficultés » versus « qualité de vie » Ainsi, pour 46 % des Français interrogés, la ruralité est d’abord synonyme de « difficultés socio-économiques et de nuisances », quand elle évoque au contraire bien-être et « qualité de vie » pour 62 % des ruraux.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Avec le tiers-lieu, « des jeunes gens font revivre Lavaveix-les-Mines » «La jeunesse rurale est souvent pensée par défaut sous l'angle des manques» C’est une population souvent placée dans l’angle mort politique et médiatique : les jeunes ruraux.

«La jeunesse rurale est souvent pensée par défaut sous l'angle des manques»

Bourdieu parlait des «classes objet» : plus parlées qu’elles ne parlent. Le chef de la mission «Enquêtes, données et études statistiques» de l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (Injep), Geoffrey Lefebvre, appuie ce constat d’une «population qui n’est pas le cœur de cible des politiques publiques». A ce sujet, l’Injep a publié en juin une enquête qui dresse le portrait statistique de ces jeunes. Basée sur les données du recensement, l’étude met en lumière les spécificités de cette population qui représente tout de même 27% des 17-29 ans vivant en France. Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines - Academia.edu. Présentation Comment explorer les représentations de l’agriculture, alors que la profession subit de nombreuses crises profondes ?

Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines - Academia.edu

Les relations entre médias et agriculture ont fait l’objet de multiples travaux en sciences sociales depuis les années 1960. Or, cette thématique semble avoir été progressivement délaissée depuis le début des années 1990. Ce numéro propose de relancer un chantier de recherche qui relie la sociologie des médias à celle des mobilisations. Une telle approche revisite de manière dynamique, à travers une analyse des luttes et des enjeux, la sociologie de la profession agricole et de l’agriculture. Ce dossier, réalisé par des chercheurs de diverses disciplines des sciences sociales (ethnologie, sociologie, science politique) traite d’abord de la question du magistère de la parole (qui parle au nom des agriculteurs ?)

Sommaire Ivan Chupin, Pierre Mayance, L'agriculture en représentation(s) Luttes médiatiques, luttes syndicales - Page 9 à 24. Les étudiants en journalisme à propos des agriculteurs - Enquête. Enquête réalisée en ligne du 13 janvier au 16 février 2017. Échantillon de 145 étudiants en journalisme. Les écoles/établissements participants à cette enquête sont les suivantes : CUEJ, EJCAM, ESJ Paris, IEJ Strasbourg, IFP, IJBA, ISCPA Lyon, ISCPA Paris, ISFJ, IUT Lannion, IUT Nice-Cannes, IUT Tours, Licence Pro journalisme à l’université de Clermont-Ferrand.