Pastel.archives-ouvertes.fr/docs/00/92/29/54/PDF/ThA_se_JP_Llored_version_remise_aux_Ecoles_Doctorales. Doxa.u-pec.fr/theses/th2010PEST0013.pdf. Epistémologie_scientifique. Le Portail de l'Épistémologie. Arrêt de travail et formation : Droit Social. A l'occasion d'un arrêt de travail - suite à une maladie ou un accident professionnel ou non - la tentation peut être grande pour le salarié d'entreprendre une formation alors qu'il n'en a pas forcément l'occasion lorsqu'il travaille.
Est-il possible de suivre une formation au titre du plan de formation, du DIF ou du CIF pendant un arrêt de travail pour maladie ? Si oui, quelle est la nature du temps de formation mobilisé (temps de travail ou temps personnel) et le régime de rémunération du salarié en formation ? Pour tenter d'apporter des éléments d'éclairage, il convient d'aller piocher dans le Code du travail s'agissant des droits et obligations attachés au statut salarié en matière de formation professionnelle continue et dans le Code de la sécurité sociale s'agissant des conditions d'octroi à l'assuré social d'indemnités journalières.
I - Possibilité de se former pendant un arrêt de travail Un arrêt de travail constitue, par définition, une prescription de repos. Trois hypothèses pour un Big Bang, par Aurélien Barrau. Aurélien Barrau est astrophysicien à Grenoble.
Pédagogue réputé, il a une manière inimitable d’instiller un mélange d’esprit critique, de science et de poésie. Il a essayé de nous faire croire qu’il était relativiste sur le plan philosophique, mais il ne l’est que pour stimuler et questionner des dogmes. La preuve, il fourbit du matériel critique ce mois de février 2012 dans Le Monde Diplomatique, en politisant la question des origines de l’univers, critiquant la nasse libérale dans laquelle la technoscience actuelle engonce la recherche de la connaissance. Et bel effet kiss cool ! Aurélien m’explique que le titre, le sous-titre et premier paragraphe tape-à-l’oeil sur le Boson de Higgs / particule de Dieu [1]… ne sont pas de lui ! Pour les plus impatients, voici un extrait [2] pris sur France Inter le 3 février dernier, lors de l’émission Là-bas si j’y suis consacrée au Monde Diplomatique.
Télécharger – Écouter : Richard Monvoisin [3] Courriel à la rédaction, le 12 février 2012. Bonjour, Le Portail de l'Épistémologie. JACOB Pierre - INSTITUT JEAN NICOD. La question du réalisme scientifique : un problème épistémologique central. 1Je traite le problème du réalisme en commençant par le poser historiquement dans l’horizon du tournant du XIXe au XXe siècle, du point de vue de son observation par Werner Heisenberg et de sa solution par Gaston Bachelard dont l’épistémologie surplombe les premières et grandes révolutions qui furent celles du XXe siècle.
Ensuite, j’étudie comment Bachelard a procédé à une éducation du nouvel esprit scientifique qu’il ouvre à l’inférence de la Réalité cachée. Après quoi je reviens, pour ainsi dire, au point de départ en envisageant le réalisme et l’anti-réalisme d’une manière générale, pour dissiper ce que j’appelle le faux dualisme observable/inobservable et me poser délibérément contre le « réalisme immédiat » de la perception ordinaire. Je termine en examinant un paradoxe de la mécanique quantique et sa solution. I. Position historique du problème II. 1 Le nouvel esprit scientifique, Paris, PUF, 1946 (1934), p. 2. Kant, les sciences et l'épistémologie [Angèle Kremer Marietti] Karl Popper. Popper, Tolérance et responsabilité, 3. Les liens dans le texte permettent d'afficher des commentaires explicatifs au passage de la souris, ou d'accéder, en cliquant, à des documents complémentaires.
L'idée d'une vérité objective et l'idée d'une recherche de la vérité sont ici d'une importance décisive. L'homme qui le premier présenta une théorie de la vérité reliant l'idée de la vérité objective à celle de la faillibilité humaine principielle était le présocratique Xénophane. Il est né probablement en l'an 571 avant J.
-C. dans l'Ionie en Asie mineure. Il fut le premier grec à penser l'écrit, le premier moraliste, le premier à penser la connaissance et le premier à penser le monothéisme. Xénophane fut le fondateur d'une tradition, d'une forme de pensée à laquelle souscrivirent entre autres Socrate, Montaigne, Erasme et Voltaire. Parmi les Sceptiques, au sens grec du mot, il y avait certainement un grand nombre qui doutait et peut-être également des hommes méfiants. Un seul Dieu, le plus grand chez les dieux et les hommes.