Nos enfants sur Facebook! On entend souvent dire que les parents ne devraient pas essayer d'être amis avec leurs enfants...
Mais ceux qui prodiguent ce conseil tiennent-ils compte de l'évolution du terme « ami »? Facebook met-il nos ados en danger ? Dis moi si tu as un profil, je te dirai si tu esAujourd’hui, Facebook est partout !
Trois ados sur quatre entre 15-16 ans ont un profil et plus étonnant, près de 10% des 8-10 ans en possèdent également un (1), alors même que l’inscription est interdite aux moins de 13 ans… Au vu de ses chiffres, il parait assez clair que côté ados, ne pas avoir de “profil” relève de l’exception, voire de “la honte !”. “Il y a quelques années, les ados se tournaient en masse vers les blogs, aujourd’hui, c’est vers Facebook, et demain ce sera vers autre chose” affirme Xavier Pommereau, psychiatre. “Effet de mode oblige, tous veulent s’inscrire et avoir leur profil.
Parents, rassurez-vous : c’est normal, et même souhaitable ! N’oublions pas que Facebook est avant tout une formidable opportunité pour eux en terme de communication et d’échange.” Des ados pas toujours conscients de la portée de leurs publications… A quoi sert un réseau social pour votre ado ? Et si on arrêtait de diaboliser Facebook ? Pourquoi Facebook est dangereux... - Willyfr sur LePost.fr (16:55) Web.
Un test pour mesurer sa dépendance à Facebook. Êtes-vous accro à Facebook?
Pour vous permettre de répondre à cette question, des chercheurs en toxicomanie de l'Université de Bergen, en Norvège, ont élaboré une échelle de la dépendance au réseau social. Le test est basé sur six critères marqués sur une échelle allant de «très rarement» à «très souvent», en passant par «rarement», «parfois», et «souvent» : 1. Vous passez beaucoup de temps à réfléchir à propos de Facebook ou vous planifier une utilisation de Facebook2.
L’usage des médias sociaux chez les jeunes : les deux côtés de la médaille. Utiliser les médias sociaux représente l’une des activités les plus courantes chez les jeunes d’aujourd’hui. Un récent sondage mené aux États-Unis démontre que 51 % des adolescents se connectent à leur réseau social favori au moins une fois par jour et que 22 % des jeunes le font plus de 10 fois quotidiennement (Common Sense Media, 2009). Les sites comme Facebook, YouTube ou Twitter, qui se sont développés à grande vitesse au cours des dernières années, s’avèrent hautement populaires auprès des jeunes, notamment parce qu’ils leur offrent l’opportunité de se divertir, mais également de communiquer entre eux (O’Keeffe et Clarke-Pearson, 2011). La cyberdépendance chez les jeunes. La cyberdépendance implique « une connexion Internet », précise Didier Acier, psychologue chercheur à Institut universitaire sur les dépendances du Centre Dollard-Cormier à Montréal.
Naviguer sur le Web, mais aussi jouer à des jeux vidéo en ligne, utiliser son Blackberry ou son téléphone cellulaire avec connexion Internet peut engendrer la cyberdépendance. La cyberdépendance, un phénomène nouveau Le premier cas de cyberdépendance a été recensé il y a une dizaine d’années. Il s’agit donc d’un phénomène relativement nouveau et peu d’études scientifiquement valables ont été conduites sur le sujet.
De plus, la majorité des études existantes contiennent « beaucoup de biais méthodologiques », prévient M. Acier. Toutefois, M. Selon un sondage réalisé par l’Institut universitaire sur les dépendances, en 2008, une centaine de cas de cyberdépendance, sur un total annuel de 40 000 demandes, ont été recensés dans les centres de réadaptation en dépendance du Québec. En complément : La « dépression Facebook » chez jeunes. Facebook, MySpace et Twitter font partie intégrante du quotidien d’une grande partie des adolescents.
Que ces derniers soient à la maison, à l’école, au parc ou en voiture, ils peuvent facilement s’y connecter via leur cellulaire, leur iPod Touch ou leur ordinateur portable. Toutefois, ces sites pourraient nuire à leur santé. Dans son dernier rapport intitulé «The Impact of Social Media on Children, Adolescents and Families», l’American Academy of Pediatrics (APP) signale que l’usage des médias sociaux par les adolescents pourrait avoir des effets négatifs sur leur santé, parmi lesquels on signale un phénomène récent : la « dépression Facebook ». Qu’est-ce que la « dépression Facebook »? La « dépression Facebook », qui toucherait principalement les adolescents et pré-adolescents, serait associée à une utilisation intensive des médias sociaux et se manifesterait par des symptômes classiques liés à la dépression[1]. Les médias sociaux : source d’information et de soutien social. L'addiction à Facebook, la nouvelle dépendance du siècle. La dépendance à Internet et en particulier aux différents réseaux sociaux comme Facebook, touche de plus en plus de monde.
Les adolescents sont les premiers consommateurs des nouvelles technologies et sont considérés comme étant la population à plus exposée pour souffrir de cette nouvelle dépendance. Il est vrai que lorsqu’on parle de dépendance, on entendant par là consommation d’un produit entraînant une dépendance physique. Ici rien de tout cela, cependant des scientifiques ont pu remarquer que lorsqu’on se connecte de manière excessive des changements de comportements pouvaient apparaître et devenir handicapants pour la personne. C’est en cela qu’Internet et les réseaux entraînent une réelle dépendance.