Les tortures pratiquées par la CIA sont toujours impunies. (Washington) – Les affirmations de l’administration Obama selon lesquelles des obstacles juridiques empêcheraient l’ouverture d’enquêtes criminelles sur les actes de torture commis par l’Agence centrale de renseignement (Central Intelligence Agency, CIA) sont peu convaincantes, et risquent de mener à une situation dans laquelle la torture est considérée comme une option politique, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd’hui.
Des preuves suffisantes existent pour que le procureur général ordonne des enquêtes criminelles visant certains hauts fonctionnaires américains et d’autres personnes impliquées dans les programmes mis en place par la CIA après les attentats du 11-Septembre, pour torture, conspiration de torture, et autres crimes au regard du droit américain. Lire la suite de l’article sur hrw.org. Une nouvelle vidéo révélerait le commerce d'organes de fœtus par le Planning familial américain. Une nouvelle vidéo-choc circule à propos de la vente de fœtus avortés par le planning familial américain (Planned Parenthood).
La première vidéo montrait la directrice des services médicaux de cette association, le Dr Nucatola, expliquant comment elle vendait des parties du corps de ces malheureux petits êtres et sa technique pour recueillir les organes en bon état. Cette fois-ci est relatée une discussion entre un interlocuteur inconnu et Mary Gatter, directrice médicale de Planned Parenthood à Pasadena en Californie. Il s’agit d’une négociation sur le prix des fœtus avec un représentant d’une compagnie de biotechnique. Ce dernier est lui-même un intermédiaire avec des universités ou des laboratoires de recherches. Mme Gatter n’est pas un second couteau dans la mesure où elle préside le Conseil des directeurs médicaux de Planned Parenthood. Apparemment cette personne sait parfaitement qu’elle viole la loi concernant les tissus humains (42U.S.C. 289g-1).
Vente d'organes de fœtus : la vidéo qui embarrasse le Planning familial américain. Zombies et fiers de l’être. Rencontre entre Barack Obama et Raul Castro. Les présidents américain Barack Obama et cubain Raul Castro se sont réunis samedi au Panama pour le premier entretien entre des dirigeants de ces deux pays ennemis de la Guerre froide depuis 1956.
Les présidents américain Barack Obama et cubain Raul Castro ont ouvert samedi un nouveau chapitre des relations entre les États-Unis et Cuba, en entamant le premier échange entre chefs d’Etat de ces pays depuis plus d’un demi-siècle. Les dirigeants ont prononcé des discours qui feront date lors d’un Sommet des Amériques voué à sceller leur rapprochement. Barack Obama a affirmé que le rapprochement entre Washington et La Havane marquait "un tournant" pour les Amériques : "le fait que le président Castro et moi sommes assis ici aujourd’hui représente un événement historique".
Sommet "historique" Ce sommet continental, réunissant 35 chefs d’État, s’était ouvert vendredi sur une poignée de main des deux hommes. Assouplissement de l’embargo. La CIA pense qu’une nation hostile tente de modifier le climat du monde. La stratégie des États-Unis en Amérique du Sud. États-Unis : de la liberté au fascisme. États-Unis : « Le seul moyen de mettre un terme au conflit en Ukraine, c’est de tuer les Russes. Thierry Meyssan sur l'attitude des États-Unis et d'Israël à l'égard de l'Iran.
Faux terrorisme fabriqué par le FBI : qu'en pense Rudy Reichstadt. Obama : «Nous devons forcer la main des pays qui ne font pas ce que nous voulons qu’ils fassent» — RT en Français. Barack Obama a avoué que le «leadership américain» impliquait de «forcer la main» des Etats qui «ne font pas ce que nous voulons qu’ils fassent» et que les Etats-Unis comptaient sur la force militaire et d’autres leviers pour atteindre leurs buts.
Dans une interview sur la chaîne de télévision Vox, qu’Obama a lui-même qualifiée de lieu pour les «types surdoués et boutonneux», le président américain a contesté l’efficacité de la politique étrangère purement «réaliste». Le « foutage de gueule sémantique monumental » de la Maison Blanche. Comment le Pentagone manipule les réseaux sociaux.
Poutine raille la diplomatie des États-Unis. Obama à Israël : "Arrêtez de tuer des scientifiques nucléaires iraniens" L’administration Obama aurait fait pression pour qu’Israël cesse d’assassiner des scientifiques iraniens impliqués dans le programme nucléaire du pays, selon les informations de CBS News.
Menés par le Mossad, de nombreux assassinats et opérations de sabotage ont eu lieu au cours des dernières années visant à ralentir les progrès du programme nucléaire et décourager les scientifiques de rejoindre le projet de fabrication d’une bombe nucléaire. Dimanche, le président iranien Hassan Rouhani a déclaré qu’après des milliers d’heures d’inspection, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AEIA) n’a trouvé aucune preuve de fabrication d’armes nucléaires en Iran. Les responsables israéliens sont convaincus que Téhéran cherche d’obtenir des armes nucléaires et utilise les négociations pour gagner du temps dans l’élaboration d’une bombe atomique. L'humoriste George Carlin sur les Etats-Unis : "Dominer le monde !? Bordel, c'est notre boulot ça !"
Pourquoi Obama est devenu le président des drones. « Ce n’est pas lié au fait d’essayer de ne pas conduire des gens à Guantánamo»: en ce 6 juin 2013, la syntaxe chantournée d’Eric Holder devant la sous-commission du Sénat trahit l’immense embarras du ministre de la Justice des États-Unis, qui s’efforce de défendre le programme d’assassinats ciblés du président Obama.
Il n’est pas le seul des porte-parole de l’administration à peiner lorsqu’il faut répondre aux questions sur la politique américaine de largage de drones sur le monde. 1. La hantise des agents de la CIA L’une des principales thèses du livre que Mark Mazzetti consacre au sujet est la suivante: la CIA et le Pentagone ont décidé de traquer et tuer les ennemis présumés pour éviter les méthodes extrajudiciaires de capture et d’interrogatoire adoptées par le prédécesseur d’Obama à la Maison-Blanche. L’auteur réitère l’accusation à de multiples reprises, avec un sens de l’euphémisme qui n’appartient qu’à lui: Ou : 2. John Brennan (Sipa) 3. Hollande s'est littéralement fait humilié par Obama mais aucun média n'ose en parler! Expérience : Un blanc et un noir essaient de voler une voiture.
Soumis par zitouni MetaTV le jeu, 20/02/2014 - 14:42 États-Unis, deux acolytes décident de faire un test grandeur nature: comparer la réaction des gens face au vol d'une voiture selon qui en est l'auteur.
Lorsque c'est le blanc qui s'y colle, cela ne semble pas intéresser grand monde, les passants ne s'arrêtent même pas pour la plupart et la police passe à côté du véhicule sans sourciller. Lorsque le noir s'y colle, il se fait stopper par la police deux minutes plus tard qui arrive tazer à la main. Source(s) : Simple Misfits Icône de liens externes. Torture made in USA. Au printemps 2004, les photos de sévices infligés aux prisonniers irakiens dans la prison d’Abou Ghraib font le tour du monde.
Des commissions d’enquête parlementaires conduites entre 2004 et 2008 établiront que, dès le lendemain des attentats du 11-Septembre, le vice-président Dick Cheney a piloté un programme secret destiné à « légaliser » la torture. Au printemps 2004, les photos de sévices infligés aux prisonniers irakiens dans la prison d’Abou Ghraib par des gardiens américains, qui posent en souriant auprès de leurs victimes, font le tour du monde. 6 domaines dans lesquels les Etats-Unis ont un palmarès égal à celui d. Obama se prononce contre l'autodétermination. Barack Obama a déclaré à plusieurs reprises, à tort et sottement, qu’il est « contraire au droit international » pour la Crimée de se prononcer sur son autodétermination [1].
L’autodétermination, tel qu’elle est utilisée par Washington, est un terme de propagande qui sert son empire, mais qui n’est pas admissible. Le 6 mars 2014, Obama a téléphoné à Poutine pour lui dire à nouveau que seul Washington a le droit d’intervenir en Ukraine. Et M. Hollande rencontra M. Obama pour la première fois. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Corine Lesnes et Thomas Wieder (envoyés spéciaux à Washington(Etats-Unis)) La première fois qu'il est venu aux Etats-Unis, c'était en 1974, à l'âge de 20 ans, dans le cadre d'un voyage d'étude consacré aux fast-foods… Même dans ses rêves les plus fous, François Hollande n'avait sans doute jamais imaginé qu'un président des Etats-Unis lui rappellerait un jour cet épisode de sa jeunesse.
C'est pourtant ce qui s'est passé, vendredi 18 mai, à la Maison Blanche. Il était un peu plus de midi. Cela faisait plus d'une heure que Barack Obama et François Hollande devisaient dans le bureau Ovale. Une quinzaine de journalistes avaient été admis pour assister à la fin de l'entretien. Ce vendredi, à Washington, l'évidence gastronomique avait valeur de convergence diplomatique. US Navy laserAttack ready in 2014. The US Navy said it is preparing to roll out a sea-based laser weapon capable of disabling small enemy vessels and shooting down surveillance drones. The laser system will be deployed in 2014, two years ahead of schedule, aboard the USS Ponce, an amphibious transport ship retrofitted as a waterborne staging base, the Navy said Monday. Chief of Naval Research Admiral Matthew Klunder said the cost of one blast of "directed energy" could be less than $1.
"Compare that to the hundreds of thousands of dollars it costs to fire a missile, and you can begin to see the merits of this capability," he said in a US Navy statement.