Konbini. First Impressions, un film en réalité virtuelle produit par le quotidien britannique, permet de percevoir le monde comme un enfant en (très) bas âge.
Comment perçoit-on le monde lorsque l'on vient à peine d'y élire domicile ? À quoi ressemblent les couleurs, les sons, les odeurs et les textures lorsque l'on en a jamais connus d'autres ? Comment reconnaît-on ceux qui nous entourent, comment les différencie-t-on des autres êtres humains sans avoir conscience des liens de parenté qui nous unissent ? La question de la perception chez le nouveau-né est une interrogation fascinante, qui revient à explorer le Big Bang de la conscience, l'explosion primordiale du soi qui forme le socle de la personnalité à venir.
Derrière le résultat visuel, il y a néanmoins pas mal de science pure : pour concevoir First Impressions, la journaliste du Guardian Nicola Davis s'est rendue au "baby lab" de l'université du Sussex, en Angleterre, pour comprendre comment les bébés perçoivent leur environnement. Why Google and Facebook are angling for a slice of the brand advertising pie.
Objectif Chine : quels leviers marketing actionner ? Deuxième volet de notre décryptage post China Connect 2017 (« Crack The Code ») : le premier évènement français dédié au numérique, au marketing, au mobile et aux tendances de consommation chinoises.
Si nous avions déjà délivré quelques clés de compréhension du marché et des consommateurs chinois actuels, nous nous attacherons aujourd’hui à décoder certaines des stratégies marketing les plus incontournables du moment. Plus que partout ailleurs, la Chine se développe sur un terreau propice à la consommation de masse et à la recommandation sociale, deux phénomènes accélérés par la croissance sans précédent du mobile, dont l’adoption croît deux fois plus vite que celle d’Internet à ses débuts. Avec 55% d’internautes sur mobile, « le taux de pénétration chinois des médias sociaux équivaut à celui des Etats-Unis alors même que le taux de pénétration d’Internet est plus faible en Chine. », affirme Christian Veysseyre, Social Media Manager chez Danone. Mais ont-elles réellement le choix ? Qui sont les nouveaux influenceurs du web 2.0 ? Dans les années 50, les sociologues Katz et Lazarsfeld définissaient déjà les « leaders d’opinion » comme ceux détenant un pouvoir d’influence.
Dans le « two-step-flow of communication » (traduit par la « communication à deux étages »), Katz affirmait que nous pouvions tous être des influenceurs dans un domaine : celui dans lequel les autres nous accordent du crédit (la cuisine, la mode, la politique, etc). Aujourd’hui internet a transformé les influenceurs en les exportant de leur groupe de pairs au monde entier. S’exprimant sur leurs sujets de prédilection, ils collectent les fans et followers et deviennent de véritables références dans leur domaine. Les marques développent, devant une telle opportunité, une stratégie social media d’influence. Mais qui sont ces nouveaux influenceurs du web ? Qui sont-ils ? Ce sont des individus, pas des professionnels du marketing, des personnes inconnues qui ont utilisé le web et les réseaux sociaux pour devenir des célébrités. How Uber Took Over Portland: Release the Lobbyists! Charlie Hales, the mayor of Portland, Ore., was running a zoning hearing last December when he missed a call on his cell from David Plouffe, the campaign mastermind behind Barack Obama’s ascent.
Although Hales had never met him, Plouffe left a voice mail that had an air of charming familiarity, reminiscing about the 2008 rally when 75,000 Obama supporters thronged Portland’s waterfront. “Sure love your city,” Plouffe gushed. “I’m now working for Uber and would love to talk.” Hales, like many mayors in America, could probably guess why Plouffe was trying to reach him. Uber’s made a name for itself by barging into cities and forcing politicians to respond. The next day, City Hall heard from a local reporter that Uber cars would hit the streets that very evening.
Xiaomi, Alibaba et consorts se mettent à la FinTech, les GAFA n’ont qu’à bien se tenir. Alibaba avec Alipay et Yu’e Bao, Baidu avec Baifa puis Tencent avec Licaitong… Les géants chinois de l’Internet s’étaient déjà majoritairement mis aux services financiers en ligne.
Sauf Xiaomi. Voilà qui est rattrapé: le fabricant de smartphones a lancé le 11 mai un nouveau fonds de placement monétaire baptisé Huoqibao, au sein de l’application « Xiaomi Finance ». Cette banque en ligne proposera un taux de rémunération des dépôts supérieur à celui des banques traditionnelles puis des prêts personnels et du courtage en valeurs. Ce nouveau service s’appuie sur l’expertise du spécialiste de la gestion de fortune en Chine E Fund Management, qui le monitore. La firme fondée en 2010 par Lei Jun donnait déjà la possibilité de se créer un portefeuille numérique, mais accusait un peu de retard sur la question des finances en ligne. Investissement sur les moyens de paiement « L’Occident n’est pas leur priorité. Une stratégie similaire à celle des Américains Crédit photo: Xiaomi.