La Fondation Orange lance la 3e édition du Prix Orange du Livre en Afrique. Après deux éditions réussies, la Fondation Orange, a choisi de renouveler en 2021, avec le soutien de l’Institut Français, le Prix Orange du Livre en Afrique.
La Fondation Orange, dont Elizabeth Tchoungui vient de prendre la vice-présidence, est engagée dans 18 pays africains et a pour ambition d’accompagner ces pays dans leur développement, notamment sur le plan culturel. La reconnaissance des talents littéraires africains Le Prix Orange du Livre en Afrique répond à la volonté de la Fondation Orange d’œuvrer pour la promotion des talents littéraires africains et de l’édition locale africaine. Ce prix récompensera en 2021 un roman ou un recueil de nouvelles écrit en langue française par un écrivain africain et publié par une maison d’édition basée sur le continent africain. Les finalistes du prix Orange du livre en Afrique 2021...
Le prix Orange du Livre en Afrique a révélé, lundi 22 mars, la liste des six finalistes de l’édition 2021.
Le ou la lauréat/e sera désigné(e) fin juin à Tunis. La récompense littéraire est dotée de 10000 euros. L’an dernier, l'écrivain et artiste marocain Youssouf Amine Elalamy l'a emporté pour C'est beau, la guerre, coédité par Au Diable Vauvert et la maison marocaine Le Fennec. Organisé par la Fondation Orange en partenariat avec l’Institut Français, le prix Orange du Livre en Afrique récompense depuis 2019 un roman écrit en langue française par un écrivain africain et publié par un éditeur basé sur le continent africain.
Pour cette 3e édition, 74 romans ont été envoyés, issus de 16 pays différents. Présentation des finalistes... Le roman tunisien 'Le secret des Barcides' finaliste du Prix Orange du Livre en Afrique 2021... Les 6 livres finalistes de la troisième édition du Prix Orange du Livre en Afrique ont été dévoilés par les comités de lecture africain.
Le roman tunisien ‘Le secret des Barcides’ de Samy Mokaddem (éditions Pop Libris) figure parmi les finalistes du Prix Orange du Livre en Afrique 2021. Pour la 3ème année consécutive, un roman tunisien figure parmi les 6 finalistes du prix Orange du Livre en Afrique lancé par la Fondation Orange en 2019. Ce prix récompense un roman écrit en langue française par un écrivain africain et publié par une maison d’édition basée sur le continent africain.
Yamen Manai avec son roman “L’amas ardent”, Editions Elyzad, était finaliste de la première édition du Prix Orange du Livre en Afrique 2019. Un tunisien parmi les six finalistes du Prix Orange du Livre en Afrique 2021 !... Lancé en 2019 avec le soutien de l’Institut français, le Prix Orange du Livre en Afrique récompense un roman écrit en français par un écrivain africain, publié par une maison d’édition africaine.
Les livres finalistes choisis par des lecteurs africains 5 comités de lecture se sont mobilisés au Cameroun, en Côte d’Ivoire, en Guinée, au Mali et en Tunisie pour sélectionner les meilleurs livres parmi les 74 ouvrages présentés par 44 éditeurs issus de 16 pays d’Afrique. Constitués de lecteurs passionnés, ces comités rassemblent des professionnels – critiques littéraires, universitaires, libraires… - mais aussi des grands lecteurs salariés du groupe Orange dans ces pays. Ils ont délibéré pour désigner les six romans finalistes du Prix Orange du Livre en Afrique 2021 : Sami MOKADDEM est né en 1982. Loubna Serraj, lauréate du Prix Orange du Livre en Afrique 2021... Le jury présidé par Véronique Tadjo du 3e Prix Orange du Livre en Afrique a distingué Loubna Serraj pour son roman Pourvu qu’il soit de bonne humeur, publié au Maroc en février 2020 aux éditions La Croisée des chemins.
Il a été coédité en France aux éditions Au diable vauvert en mars 2021. Editrice et chroniqueuse radio, l'écrivaine tient également un blog littéraire, social et politique. Pourvu qu’il soit de bonne humeur, premier roman polyphonique, évoque les violences conjugales comme toile de fond et explore la quête de liberté de deux femmes que tout sépare mais que tout relie… à leur corps défendant. Véronique Tadjo et les membres du jury expliquent: "L’auteure s’empare avec assurance et sensibilité d’un sujet hélas encore d’actualité : la violence conjugale.
Loubna Serraj est la lauréate du 3e Prix Orange du Livre en Afrique pour son roman "Pourvu qu’il soit de bonne humeur"... Le 29 juin a été dévoilé le livre lauréat du Prix Orange du Livre en Afrique 2021.
Le choix du jury s’est porté sur Pourvu qu’il soit de bonne humeur, de la marocaine Loubna Serraj, publié aux éditions La Croisée des chemins à Casablanca. Présidé par Véronique Tadjo, le jury a souligné la force de ce premier roman. « Cet ouvrage nous invite au voyage dans le passé à travers deux personnages, deux époques et deux couples, pour mieux nous faire cerner le présent. Loubna Serraj interpelle sa société et, partant, tous les pays où les femmes souffrent encore dans leur chair. C’est à une véritable (re)prise de la parole que les lecteurs sont conviés. Un tour de force pour ce premier roman. » Loubna Serraj, lauréate du 3e Prix Orange du Livre en Afrique... ( ORANGE TUNISIE ) - Le Prix Orange du Livre en Afrique récompense Loubna Serraj pour son roman Pourvu qu’il soit de bonne humeur, publié au Maroc aux éditions La Croisée des chemins Dans le cadre de ses engagements en Afrique et de son ancrage sur le Continent, la Fondation Orange a lancé, en octobre 2018, le Prix Orange du Livre en Afrique.
Ce Prix, en partenariat avec l’Institut Français, répond à la volonté d’œuvrer pour la promotion des talents littéraires africains et de l’édition locale africaine. Pour cette 3e édition, 74 romans ont été proposés par 44 maisons d’édition issues de 16 pays. Une première sélection des titres a été faite par 5 comités de lecture au Cameroun, en Côte d’Ivoire, en Guinée, au Mali et en Tunisie. Interview de l'auteure... Pourvu qu'il soit de bonne humeur - Loubna Serraj... Des maladresses, beaucoup, dans ce premier roman, une couverture peu attractive et en même temps, des perles dans cette vase noire pour qui chercheLe sujet est intense: celui de la violence faite aux femmes, et plus précisément de la violence conjugale.
Celle des années 40 - au Maroc et celle qui existe encore en 2020 au Maroc et ailleurs. J'écarterai le Maroc pour revenir sur les fondamentaux qui font de ce livre maladroit un roman attachant et surprenant par moments.Il aborde plusieurs voies, plusieurs voix, beaucoup de questions, certaines resteront sans réponse.