Boire. Au travers de la scénographie, conçue par Alexis Patras, soutenue par l'identité visuelle de Jochen Gerner, le visiteur est amené à construire sa réflexion autour de cette question fondamentale : " pourquoi est-ce que je bois ?
". Le musée de Bretagne entreprend un projet encore inédit, qui valorise les collections matérielles (archives filmées et sonores, oeuvres d'art et créations contemporaines) et croise les approches historique, sociologique, plastique et cinématographique. Les documents et oeuvres présentées témoignent tous d'un rapport au boire : celui de pratiques quotidiennes, occasionnelles ou festives ; celui d'un regard artistique ou documentaire sur une réalité, constatée, grossie ou fantasmée ; celui d'un questionnement, moral, médical, culturel, qu'il soit individuel ou émanant de la société toute entière. > Le parcours de l'exposition > Autour de l'exposition. Exposition Boire. Programmation. Rennes. [PHOTOS] Les plus belles affiches de l'expo Boire. C’est sur un ton volontairement décalé que le Musée de Bretagne lance ce vendredi sa nouvelle exposition, Boire.
Objectif ? « Toucher les jeunes adultes, qui fréquentent peu les musées » raconte Céline Chanas, la directrice du Musée de Bretagne. Qu’ils soient jeunes ou moins jeunes, les visiteurs en apprendront certainement beaucoup sur ce geste quotidien et partagé par tous, qui résonne de façon particulière en Bretagne où perdurent stéréotypes et représentations du buveur. Boire s’installe à Rennes jusqu’au 30 avril et croisent les approches mêlant films, archives sonores, œuvres d’art et affiches publicitaires. Un bistrot et des rencontres Diverses animations sont proposées par le Musée de Bretagne en complément de l’exposition.
Le public pourra aussi assister à des rencontres. Expo Boire Musée de Bretagne (Champs libres) Expo Boire Musée de Bretagne (Champs libres) – 16 OCTOBRE 2015 AU 30 AVRIL 2016.
Boire est un geste quotidien partagé par tous. Cet acte physiologique, mais aussi culturel, résonne de façon particulière en Bretagne, où perdurent stéréotypes et représentations du buveur. L’exposition interroge ces pratiques en quatre thématiques : la soif, le goût et le plaisir, la convivialité et la recherche d’effets. Au travers de la scénographie, conçue par Alexis Patras, soutenue par l’identité visuelle de Jochen Gerner, le visiteur est donc amené à construire sa réflexion autour de cette question fondamentale : « pourquoi est-ce que je bois ?
». Découvre notre article complet ici « Boire est un acte social accompli dans un contexte social reconnu », selon l’ethnologue britannique Mary Douglas qui ouvre la voie d’une véritable anthropologie du boire dans Constructive drinking : perspectives on drink from anthropology, à la fin des années 1980. A Rennes, l'exposition "Boire" s'attaque au cliché du Breton alcoolique. L'exposition retrace l'histoire de la boisson et son évolution à travers les âges, avec un constat: en Bretagne comme ailleurs, la consommation d'alcool n'a pas toujours été réprouvée.
Vers le milieu du XXe siècle, des publicités mettent en avant les bienfaits de la consommation d'alcool, comme cette affiche encourageant les femmes à boire de la bière afin de mieux allaiter bébé. "La bière est nourrissante", proclame l'affiche. Rennes. L'expo « Boire » vaut le coup - Finistère. L'exposition Boire ouvre au Musée de Bretagne. C'est sur un ton volontairement décalé que le Musée de Bretagne lance aujourd'hui sa nouvelle exposition, Boire.
L'objectif ? « Toucher les jeunes adultes, qui fréquentent peu les musées », raconte Céline Chanas, la directrice du Musée de Bretagne. Qu'ils soient jeunes ou moins jeunes, les visiteurs en apprendront certainement beaucoup sur ce geste quotidien et partagé par tous, qui résonne de façon particulière en Bretagne, où perdurent stéréotypes et représentations du buveur. « On considère le vin comme un aliment » Expo Boire à Rennes. Une histoire des boissons et des buveurs. Avec sa nouvelle exposition, le Musée de Bretagne, à Rennes s'interesse au Boire.
Et c'est sur un ton volontairement décalé qu'elle on a été imaginée. Objectif ? Séduire les jeunes adultes qui ne se rendent pas beaucoup au musée et se sentent plutôt concernés par la question. Pourquoi la réputation d’alcooliques colle à la peau des Bretons. Jérôme Gicquel Twitter Publié le Mis à jour le Les clichés ont parfois la vie dure.
Si la Bretagne affiche par exemple l’un des plus faibles taux de consommateurs réguliers de vin en France, selon la dernière étude de France Agrimer, l’étiquette de pochtrons colle inlassablement aux basques des Bretons. Une réputation qui s’est forgée au XIXe siècle, comme l’illustre l’exposition « Boire » qui s’ouvre ce vendredi au Musée de Bretagne à Rennes. « Le terme d’alcoolisme a été créé au milieu du XIXe siècle par un médecin suédois. Et l’ivresse n’est à cette époque pas l’apanage des hommes mais concerne également les femmes et les enfants. Au XXe siècle, la consommation d’alcool se développe alors un peu partout en France, et notamment en Bretagne.
Mots-clés : Une mère condamnée pour avoir tué sa fille handicapée : "Les jurés n'ont pas de cœur"