J’ai adopté un chat dans un refuge : l’histoire de Sacha. J’ai adopté un chat dans un refuge : l’histoire de Sacha Il y a quelques mois, j’ai accompagné une amie dans plusieurs refuges car elle cherchait à adopter un chien.
En est né cet article sur les refuges et l’abandon des animaux qui vous a énormément plu … 6 jours après cet article, j’ai finalement adopté ma petite Sacha. Je vous l’ai raconté sur les réseaux sociaux et notamment sur Instagram … Mais jamais ici ! Il était donc temps que je remédie à ça et que je vous relate cette jolie histoire dans les moindres détails … Et puis il faut dire que vous aussi, vous aimez beaucoup réagir et raconter l’adoption de votre ou vos animaux … Je me suis dit que cet article était une bonne excuse pour qu’on papote de nouveau sur le sujet ! Je me suis rendue à la SPA de Dôle il y a près d’un an, pour accompagner ma meilleure amie qui souhaitait adopter un chien (un Sharpey nommé Figaro).
Le lendemain, on est donc retourné à la SPA et ma petite bouille était toujours là. Les droits des animaux et la domestication des nonhumains. Un des aspects de ma théorie des droits des animaux, telle qu’articulée dans Introduction to Animal Rights: Your Child or the Dog?
Et à d’autres endroits, qui trouble le plus certains défenseurs des animaux est l’obligation, si l’on accepte la position en faveur des droits des animaux, de cesser de donner naissance à des animaux domestiques. J’applique cela non seulement aux animaux que nous utilisons pour l’alimentation, l’expérimentation, les vêtements, etc., mais aussi à nos animaux de compagnie.
Je peux certes comprendre que, si vous adhérez à l’approche welfariste, qui consiste à essayer de mieux réglementer l’utilisation des animaux et selon laquelle l’utilisation des nonhumains est moralement acceptable du moment qu’ils sont traités « humainement », vous rejetiez mon argument. La logique est simple. Le véganisme est-il contre les animaux domestiques ? Nous avions lu avec intérêt le livre de Jocelyne Porcher « Une vie de cochons » (écrit avec Tribondeau) : « Tous ces bâtiments de porcheries, on dirait que c’est construit pour se protéger de la nature, pour faire comme si elle n’existait pas, comme s’il n’y avait pas d’air, pas de plantes, pas de soleil.
Mais dans les bâtiments, les gens se battent tout le temps contre les microbes. Il y a un grand panneau « Interdiction d’entrer – défense sanitaire », mais cela n’arrête pas les microbes… » Elle a côtoyé la souffrance – celle des animaux comme celle des hommes – qui règne dans les élevages industriels. Mais pour Jocelyne Porcher, « arrêter de manger de la viande serait la pire des choses qui pourrait nous arriver dans notre relation aux animaux »*.
« Animaux de compagnie » : les problèmes inhérents à la domestication. Les refuges et l'abandon des animaux. Animaux de compagnie : la stérilisation contre l'abandon ! C’est un débat animé, faut-il stériliser ses animaux de compagnie ?
N’est-ce pas un peu barbare de faire opérer un chien, un chat et de l’empêcher de procréer ? La réponse défendue par de nombreuses associations est : non ! La stérilisation permet de désengorger les refuges et d’éviter bien des soucis de santé à vos compagnons à quatre pattes. Rédigé par Yvette, le 26 Jun 2016, à 17 h 18 min Contrairement aux idées reçues, nos animaux de compagnie n’ont nul besoin d’exercer une activité sexuelle pour se développer ou s’épanouir. En dehors de ce contexte, les chiens et chats ne ressentent aucun intérêt reproducteur. Chatons : la stérilisation empêche la surpopulation d’animaux © Shutterstock Par exemple, un chien mâle castré risque moins de développer un cancer des testicules ou de la prostate. La lutte contre l’abandonLe saviez-vous ? Les kystes aux ovaires et les infections urinaires ;les tumeurs mammaires ;le pyromètre (infection de l’utérus) ;le diabète.
Un régime vegan pour chiens et chats. NUTRITION.
De nombreuses personnes se refusent à consommer de la viande (végétariens) et certaines rejettent également tout ce qui découle de "l'exploitation animale" (vegan) ce qui, outre l'alimentation, induit le refus de porter certains vêtements (laine, cuir) et d'utiliser les produits testés sur les animaux. Afin de respecter au mieux leurs convictions, quelques propriétaires de chiens et de chats n'hésitent pas à administrer le même régime alimentaire à leur compagnon à quatre pattes. Est-ce vraiment une bonne idée ? Sciences et Avenir a demandé son avis au Docteur Géraldine Blanchard, spécialiste en nutrition clinique vétérinaire. Sciences et Avenir : Actuellement, il existe un développement des gammes d’aliments vegans et végétariens destinées aux chiens et aux chats, que pensez-vous de ces produits ?
Docteur Géraldine Blanchard : Cela répond peut être à une demande d'une certaine frange de clients potentiels, c'est à la mode. Pourquoi il ne faut jamais acheter d'animaux en animaleries. Pourquoi il ne faut jamais acheter d'animaux en animaleries Parce que les animaux invendus sont assassinés Un animal non vendu sera "soldé", puis sinon assassiné.
Tout comme les stocks de nourriture invendus sont détruits, les animaux en surplus sont tués. Acheter un animal en animalerie c'est accepter ce principe de la loi du marché. Parce que les animaux sont malades physiquement Plus un animal est jeune plus il est mignon et donc vendable. Le sevrage des lapins, durant deux mois, va à l'opposé de la productivité capitaliste et la mort d'un lapin vendu n'a aucune valeur pour les animaleries, et permet même d'éviter les frais de vétérinaires.