L’image – Openfield. "Villes Mondes" (France Culture). Portraits urbains polyphoniques et radiophonie littéraire. Cette communication a été prononcée dans le cadre du colloque intitulé Portraits de pays.
Textes, images, sons qui s’est tenu au Centre Culturel International de Cerisy du 3 au 10 juillet 2019, sous la direction de Sophie LÉCOLE SOLNYCHKINE, David MARTENS et Jean-Pierre MONTIER. Dépeindre un lieu, quoi de plus courant ? La pratique est si ancienne que sa familiarité a pour une large part occulté l'existence d'un genre à part entière, le portrait de territoire, dédié à la (re)présentation de lieux tels que des villes, des régions et des pays. Ce genre n'a cessé d'évoluer au cours d'une histoire qui l'a vu se décliner sous différentes formes médiatiques : du livre aux sites web en passant par la photographie, le cinéma et la télévision, la radio ou encore dans le cadre d'expositions... David Martens, professeur de littérature française moderne et contemporaine à l’Université de Louvain (KU Leuven), où il assure la direction du programme « La Fabrique du patrimoine littéraire.
Écouter 41 min. Alain Corbin, Pour une histoire du sensible - Ép. 3/4 - Déambulations historiques. Comment écrire l’histoire de choses et de gens qui n’ont pas laissé de traces ?
Dans cette démarche, quelle place occupent l’imagination et le vécu de l’historien ? Balade sonore avec l’historien Alain Corbin dans les différents univers sonores, visuels, tactiles, olfactifs qu’il a visité. La vue, l’odorat, le goût, l’ouïe, le toucher : comment nos ancêtres utilisaient-ils leurs cinq sens et comment ces cinq sens leur permettaient de percevoir le monde ? L’historien du sensible est aux aguets quand commence un voyage qui nous conduit à travers un territoire du vide et un désir de rivage, antre le miasme et la jonquille… un voyage au son des cloches de la terre, où nous croisons des filles de noces et les traces d’un inconnu ! Comment nos ancêtres voyaient-ils la mer ou la campagne ? L'herbe, c'est la renaissance. Archives : DÉBATS MANÈGES 2012 - Autour du paysage comme variation artistique - IV: PAYSAGE SONORE. DÉBATS MANÈGES 2012 - Autour du paysage comme variation artistique - III PAYSAGE URBAIN.
DÉBATS MANÈGES 2012 - Autour du paysage comme variation artistique - I PAYSAGE ET PHOTOGRAPHIE. Sandra Ancelot : Paysage désasemblé. Paysage désassemblé - deuxième partieConférence-performance de Sandra Ancelot - Plasticienne, enseignante ENSAPVS Biographie de Sandra Ancelot L’artiste propose des installations intéractives, où le regardeur est sollicité dans l’oeuvre et se voit déplacé.
C’est aussi une façon de se fondre dans l’œuvre, « être avec », dans une dynamique parfois non dénuée d’humour. Elle considère l’art comme une expérience, une matière vivante qui comme tout écosystème est en constante transformation. Sandra cherche à explorer de nouvelles formes d’entendement et de perceptions en générant des projets qui conjuguent plusieurs formes d’expressions et de réflexions comme avec la proposition d’une « conférence Illustrée », une traduction immédiate de la parole en un geste, dans le cadre "d’Ulysses, Itinéraire d’art contemporain conçu par le FRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, Marseille 2013, capital culture". Viaticalpes - Viaticalpes UNIL. Peindre le paysage 1/4.
Peindre le paysage 4/4. Où se trouve le paysage ? Où se trouve le paysage ?
L’occasion est donnée de poser cette question grâce à un beau livre paru aux éditions Anamosa, Arpenter le paysage, poètes, géographes et montagnards, de Martin de la Soudière. Poétique du paysage. Paysage, village, bocage, alpage, rivage, et même visage, tous ces mots en age portent une charge émotionnelle particulière.
Ils expriment des sensations médiatisées par des valeurs ou des souvenirs. C’est la remarque inaugurale que fait Martin de la Soudière dans le livre qui vient de paraître chez Anamosa sous le titre Arpenter le paysage. Paysage sonore 4/4. DÉBATS MANÈGES 2012 - Autour du paysage comme variation artistique - II PAYSAGE VÉGÉTAL. Leçon de paysage. Paysage (1/5): La pensée-paysage.
Premier temps d'une semaine entièrement consacrée au paysage.
Michel Collot, professeur de littérature française, théoricien et poète, signait en 2011 La pensée-paysage (Actes Sud). Ce motif est au coeur de ses recherches et de son travail d'écriture, dans ses essais, ses poèmes et les colloques qu'il a dirigés. Nous commencerions par l’horizon. Nous commencerions par discuter de ce que le paysage, et l’horizon en lui, peuvent articuler du sujet, de la pensée, de la sensation, de l’émotion, de la perception. Bien sûr il s’agirait de commencer par le regard, et poser sur l’environnement des yeux d’humain. Notre invité, Michel Collot, théoricien et poète, enseigne la littérature française. Mais puisque nous sommes lundi, débutons un nouveau déballage de bibliothèque. L’image Polaroïd du jour, c’est l’apparition d’un carré noir dans un tableau de Nicolas de Staël. Vers 16h50 vient le Poème du jour. Programmation musicale.