Les bidonvilles dans l'espace urbain. Qu'est-ce qu'un "bidonville" ?
Musique : Claude Nougaro - Bidonville. 07-Conferences-seminaires. La persistance du logement locatif informel dans les villes d'Afrique du Sud. En Afrique du Sud, le contexte historique d’émergence du logement locatif informel explique que, loin d’être négligé, ce dernier soit devenu un objet presque mythique.
En tentant d’encaserner Noirs et Métis dans un parc public exigu, les gouvernements d’apartheid ont organisé la pénurie de logements, incité les mallogés à se diriger vers le secteur locatif informel et favorisé la prolifération de baraques de tôle ondulée dans les fonds de cour des townships, à l’arrière des maisons municipales [1] Ce parc public, construit essentiellement sous l’apartheid... [1] . Chroniques / Logement informel, bidonvilles et fractures économiques : Cape Town post-apartheid. Posted by urbanites on Mardi, septembre 10, 2013 · 1 Comment Alexandre Tavin Dans un contexte d’urbanisation sans précédent à travers le monde, l’habitat précaire informel constitue un défi majeur dans les pays en développement.
UN-Habitat estime qu’aujourd’hui, près d’un milliard de personnes vivent dans des bidonvilles, chiffre qui devrait doubler d’ici 2030. L’Afrique du Sud pourrait sortir du lot : sa constitution a été louée pour son postcolonialisme, promettant une maison pour tous, notamment à travers des politiques progressives de logement sociaux. Cependant l’Afrique du Sud doit faire face à des flux exceptionnels de migrations vers les villes depuis la fin de l’apartheid et connait un déficit de logements de près de 2,5 millions d’unités. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Michael Rakowitz. Bill S.’s paraSITE shelter.
He requested as many windows as possible, because “homeless people don’t have privacy issues, but they do have security issues. We want to see potential attackers, we want to be visible to the public.” Six windows are placed at eye level for when Bill is seated and six smaller windows for when Bill is reclining. George L.’s paraSITE shelter. Made on a budget of $5.00 from trash bags, ZipLoc bags, and clear waterproof packing tape.
The windows are made of Ziploc sandwich bags and serve as pockets to display personal items and signage for the public. Bill S., Freddie F., and George L. with Freddie’s paraSITE shelter. Joe H. using his paraSITE shelter in February 2000. Michael M. using his paraSITE shelter on 26th Street and 9th Avenue in New York. We designed his shelter to be closer to the ground, more like a sleeping bag or some kind of body extension. Halfway through construction, I received a call from Artie ordering me to stop building. Giancarlo Mazzanti. Edition standard Edition Internationale Edition Ecoles Cahier Spécial.
Architecture durable : Alejandro Aravena (diaporama) Papier, ciseaux, colle, crayons de couleurs...
Quand les habitants de la ville d'Iquique ont vu arriver les équipes d'Alejandro Aravena, on imagine leur étonnement. Et encore plus lorsqu'il leur a été signifié qu'ils auraient à réfléchir à leur future habitation ! Eux, une population pauvre d'un bidonville au cœur du désert chilien, invités à réaliser des petites maquettes de papier, réagir aux propositions qui leur sont faites... Carin Smuts : du durable abordable dans les Townships. Qui dit "habitat durable" dit forcément panneaux solaires, éco-matériaux ou encore toitures végétalisées… Forcément ?
Eh bien non. Avec Carin Smuts, le concept réside moins dans les moyens que dans l’objectif. Chez elle, en Afrique du Sud, il s’agit de recréer du lien social en construisant des bâtiments collectifs au cœur des bidonvilles. Sans technologies dernier cri mais toujours dans le respect de l’environnement. Du durable autrement En bâtissant des lieux de vie à fonction sociale et multiculturelle, Carin Smuts contribue à préserver la paix dans les bidonvilles. Parcours Carin Smuts naît à Pretoria (Afrique du Sud) en 1960. Déclics Très vite, le responsable de l’école d’Architecture de l’UCT lui confie de grands projets. Actions et modalités. Teddy Cruz (San Diego, Etats-Unis) : Learning from Tijuana. Teddy Cruz partage avec d'autres lauréats du Global Award le postulat encore aujourd’hui peu accepté (il faut dire qu’il dérange) que ce siècle devra faire avec ces quartiers.
The Mad Housers - The Mad Housers. Présentation - Urbanistes sans frontières. ASF France : Architectes sans frontières. Meilleurs voeux 2014.
L’urbanisme d’urgence. L’histoire de l’humanité est jalonnée de migrations, des migrations provoquées par une multitude de causes économiques, géopolitiques ou encore environnementales.
Pour qualifier ces populations en migration, on parle alors de réfugiés et parfois de déplacés internes. Il existe une différence entre les deux termes: les réfugiés sont ceux qui ont fuit leurs pays d’origine pour un autre, bénéficiant de par ce statut d’une protection et d’une assistance particulière ; les déplacés internes sont les populations qui ont fuit leur lieux de résidence mais sont restés à l’intérieur des frontières de leurs pays, ils ne bénéficient d’aucune protection et sont d’autant plus vulnérables.
On comptait donc 26 millions de déplacés internes en 2007 (5 à 6 millions de déplacés internes au Soudan, 3 millions en Colombie, 2,7 millions en Irak par exemple) et 16 millions de réfugiés selon l’UNHCR (l’Agence des Nations Unies pour les Réfugiés). Quelques chiffres…