La mise en cause d’Angela Merkel par Sahra Wagenknecht. Transcription du discours de Sahra Wagenknecht On a l’impression qu’il y a quelque chose, Mme Merkel, que vous pensez être encore plus important que les intérêts des entreprises allemandes, ce sont les intérêts du gouvernement américain et des entreprises américaines.
Dans votre discours à Sydney, Mme Merkel, vous vous êtes terriblement indignée par le fait que 25 ans après la chute du Mur de Berlin, il continue d’exister une ancienne façon de penser selon des sphères d’influence qui piétinent le droit international. » Qui aurait cru cela possible ? « , avez-vous dit ! Cela soulève plusieurs questions : Mme Merkel, dans quel monde vivez-vous ? Bien sûr, ce n’était pas du tout à propos de sphères d’influence ! En ce qui concerne l’Europe, Brzezinski plaide pour un élargissement décisif de l’Otan vers l’est : d’abord en Europe centrale, puis dans le Sud, puis dans les pays baltes et enfin en Ukraine.
Merkel-Poutine, cette fois, le torchon brûle. Poutine a peut-être perdu son dernier allié dans le camp occidental : "Après les horreurs des deux guerres mondiales et la fin de la guerre froide, considérer que l'est de l'Europe reste le terrain de jeu de la Russie met en danger l'équilibre de la paix sur notre continent.
" C'est ainsi qu'Angela Merkel a commencé l'allocution qu'elle avait accepté de faire, après le sommet du G20, devant le Lowy Institute for International Policy de Sidney. Elle a même été plus directe dans sa mise en garde contre un risque de dérapage global dont la Russie serait la responsable : "La crise en Ukraine, a-t-elle dit, n'est pas une affaire régionale. Elle nous concerne tous. " Et de prédire que, si la situation ne s'arrangeait pas, une confrontation durable avec Moscou serait inévitable. 35 conversations téléphoniques, 6 heures de tête-à-tête Le changement de pied de l'Allemagne est spectaculaire. La fable du modèle allemand. Pourtant, si l’on veut bien croire Hans Stark, professeur à la Sorbonne, et secrétaire général du CERFA, (Comité d’Etude des Relations Franco-Allemandes), il s’agit seulement d’une belle manipulation médiatique, car la situation ne serait pas si idyllique chez nos voisins germains.
C’est sur l’antenne de France Culture, le 20 septembre 2013, à 6h45, dans l’émission « les enjeux internationaux » que l’on pouvait écouter les réflexions pertinentes de cet expert en politique germanique. lien Expliquant que la chancelière ne voulait pas faire campagne, estimant que son bilan suffisait à la faire réélire les doigts dans le nez, le secrétaire du CERFA s’est appliqué à démontrer que la situation n’était pas si bonne qu’on voulait bien nous le faire croire et a brossé un tableau plus objectif que celui que l’on nous propose habituellement. En effet, tout n’est pas si rose outre-Rhin. Un bénévole de centre social dénonce « de la main d’œuvre presque gratuite et corvéable selon les besoins ». Une victoire bien embarrassante pour Angela Merkel. La situation est peut-être un peu plus complexe que ne le laisse transparaître les Unes de la presse ce lundi matin pour Angela Merkel.
Car derrière les épithètes triomphalistes, la chancelière doit désormais constituer une majorité. Et c'est une tâche difficile. Défaite de la coalition au pouvoir. Le bilan (en réalité) très mitigé du gouvernement Merkel II. Mercredi, le gouvernement Merkel II, celui issu de la coalition conservatrice-libérale victorieuse lors des élections fédérales de 2009, a tenu son dernier conseil de cabinet avant le scrutin de ce dimanche.
Le moment de tirer un bilan de quatre ans d'action pour cette alliance que, en 2009, la chancelière Angela Merkel appelait de ses vœux. Un bilan qui, vu de l'étranger, peut paraître radieux, mais qui est en réalité très mitigé. L'adieu aux baisses d'impôts.
Elections : le camp d’Angela Merkel gagné par la nervosité. Allemagne : Angela Merkel dans l'oeil du Prism. Merkel prend les Allemands pour des imbéciles. Markus Schreiber/AP/SIPA Du même auteur Devant un parterre de 600 délégués et députés conservateurs, et avant d’ouvrir les cadeaux électoraux, la Chancelière fédérale s’est tout d’abord laissée aller à un petit aparté plein de bon sens à destination de ses voisins européens en difficulté.
Ces derniers feraient bien de cesser d’attendre « d’où viendra le prochain programme d’aide financière » pour mieux « se concentrer sur le rétablissement de leur compétitivité », a-t-elle expliqué doctement. Une fois cette mise au point faite, Mme Merkel a sorti sa corne d’abondance et dispensé ses promesses de bienfaits à destination des électeurs allemands. Quand Helmut Schmidt tacle Angela Merkel. A plus de 94 ans, l'ancien chancelier allemand social-démocrate Helmut Schmidt n'a rien perdu de son goût pour les médias et pour la provocation.
Dans une interview accordée au quotidien économique Handelsblatt ce lundi, celui qui a dirigé le gouvernement allemand de 1974 à 1982, ne ménage pas celle qui occupe aujourd'hui le poste de chancelière. Angela Meckel ? « En voilà une qui ne s'y connaît guère en matière de finances publiques et qui pourtant dispose d'elles. » Pas de leadership allemand « avant des siècles » La remarque est cinglante et s'accompagne d'une vision très critique de la politique allemande en Europe. Le passé communiste d'Angela Merkel. Incroyable mais vrai. Du temps de la République démocratique d' Allemagne , Angela Merkel aurait été responsable de "l'agitation et la propagande" (agitprop) au sein des Jeunesses communistes, selon un livre récemment paru en Allemagne.