Working At Goodyear. Les drapeaux et symboles celtes, gwenn ha du, drapeau breton. [DOSSIER] Les marques régionales gagnent du terrain. » Le modèle identitaire Coca Cola déstabilisé par des initiatives localesInfoguerre. Mon prénom sur une bouteille de Coca-Cola. Pourquoi ça marche ? Quand « Léa » ou « Mathieu » sont apparus sur les bouteilles de Coca, cette campagne de pub m’indifférait.
Jusqu’au jour où on m’a envoyé une photo avec mon prénom. Tant que les cannettes troquaient leur logo « Coca-Cola » par le gentillet « un ami », l’opération ne m’intriguait que de loin. Quand « Marie », « Mathieu » et « Léa » sont apparus – toujours dans la célèbre typo de la marque –, j’ai trouvé ça limité. Les mêmes prénoms revenaient. Une photo prise pendant un pot à Rue89 et envoyée à un certain Alexandre (Blandine Grosjean) Jusqu’à vendredi dernier.
Je ne bois que rarement du Cola, je ne porte pas la marque dans mon cœur. Le pire, c’est qu’autour de moi, le même phénomène se reproduit. Quand Coca n’est pas un ami L’idée des bouteilles personnalisées vient d’Australie. Le score ne peut être négligé sur un marché en perte de vitesse. Le plus gros investissement en France Du coup, Coca a décidé d’essaimer le concept australien dans 32 pays entre le 1er mai et la fin de l’été 2013. Quand coca cola fait du marketing breton - Floriano sur LePost.fr (23:01) Publié parFloriano post non vérifié par la rédaction 01/08/2010 à 16h15 - mis à jour le 05/03/2011 à 23h01 | vues | réactions.
Analyse de publicité : campagne de pub Coca-Cola Bretagne. Le Breton est un drôle de client.
Il consomme plus « citoyen » que la moyenne en privilégiant avant tout les produits bretons. De plus, il garde un fond « d’anti-américanisme primaire » et profite pleinement du « Breizh Cola ». Afin de reconquérir le cœur des buveurs de Coca-Cola et gagner par la même occasion de nouveaux clients, la direction de Coca-Cola en Bretagne a obtenu de la firme d’Atlanta le droit de faire une entorse à la charte graphique. Ceci leur permet ainsi de produire une publicité Coca-Cola aux couleurs de la Bretagne. Cependant, ce ne fut pas une tache facile, leur fallu plusieurs années de tractations auprès de la direction d’Atlanta. C’est la première fois que le géant Américain renonce à sa charte graphique adaptée à chaque pays pour toucher un marché régional !
Depuis le début de l’été Coca-Cola affiche donc sa nouvelle identité dans les supermarchés, les crêperies, les cafés… et compte investir les panneaux d’affichage des villes bretonnes. Bretagne - Coca-Cola. Première mondiale : une affiche spécial Bretagne. Breizh Cola. Histoire du produit En 1990, au cœur de la Bretagne, dans un château de la duchesse Anne, la Brasserie Lancelot dirigée par Bernard Lancelot, a créé le Breizh Cola.
L’idée du fondateur du groupe breton, était de concurrencer les grands groupes tels que Heineken et Kronenbourg avec des petites brasseries typiquement bretonnes. Son premier succès fût la Cervoise, bière ancêtre du fameux breuvage tradition gaulois. Le Breizh Cola, quant à lui, a été créé en 2002 par Stéphane Kerdodé, stagiaire dans les brasseries Lancelot et Eric Ollive, responsable de production de l’entreprise et ingénieur en biochimie. A cette époque, la production de limonades était en vogue, ce qui les a poussés à diversifier de leurs offres, d’où la naissance du Breizh Cola, une boisson identitaire qui sera servie uniquement dans le grand Ouest.
Dates clés : 2001 : Stéphane Kerdodé et Eric Ollive projettent le lancement d’une boisson bretonne. Face aux sodas du terroir, Coca-Cola c'est pas ça. Direction Paname.
Pour son dixième anniversaire, Breizh Cola part à l'assaut des supermarchés parisiens. Fruit de la collaboration entre Stéphane Kerdodé et Eric Ollive, cadres de la brasserie Lancelot, le Cola du Phare Ouest a réussi, en une décennie, à s'imposer sur son marché. Elaboré à partir d'arômes du fruit des arbres de Cola, puis mélangés à de l'eau enrichie en CO2, avec quelques acidifiants, ainsi qu'un zeste de caféine et de caramel, ce "cola breton" peut en effet se targuer d'avoir réussi à conquérir 15% du marché des colas dans les cinq départements de l'ouest de la France, juste derrière... l'américain Coca-Cola.
Ces colas régionaux qui veulent vous détourner du Coca d'Atlanta. Lls n'ont pas l'antériorité du célèbre soda américain inventé en 1886, mais ils peuvent compter sur la fibre patriotique de certains consommateurs.
Bios, avec ou sans caféine, plus ou moins sucrés, de l'Alsace à la Bretagne en passant par les Bouches-du-Rhône, depuis une dizaine d'années, les colas régionaux s'attaquent au quasi-monopole exercé par Coca-Cola et Pepsi. Véritables produits marketing au services des terroirs français, ces colas régionaux font vivre de petites entreprises locales.
Certains sont même affiliés aux commerce équitable soutenant la culture du sucre dans des pays d'Amérique Latine comme le Beuk Cola, détenu par la coopérative bretonne Kan Ar Bed dont le sucre provient du Paraguay. Crée en 2002, le Breizh Cola fait figure de précurseur. En dix ans, il s'est imposé comme le meilleur des acteurs locaux avec 15 % de parts de marché dans le grand Ouest français, quinze millions de bouteilles vendues et 10 millions d'euros de chiffre d'affaires. Quand Breizh Cola nargue Coca-Cola. Quand Breizh Cola nargue Coca-Cola.