L'empire des loups. Jean-Christophe Grangé. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Grangé. Jean-Christophe Grangé Jean-Christophe Grangé en 2010. Œuvres principales Biographie[modifier | modifier le code] Puis il devient journaliste indépendant en créant la société L & G. Il est le père de trois enfants, Louis, Mathilde et Ysé. Reportages de presse[modifier | modifier le code] Calcutta, Capitale de l'enfer. Péril en la forêt. La ballade du cormoran. Les enfants de la mafia. Les suffragettes de Dieu. Le trésor caché de Prusse. . (1) Reportages utilisés pour le roman Le Vol des cigognes.(2) Reportage utilisé pour le roman Les Rivières pourpres.(3) Reportages utilisés pour le roman Le Concile de Pierre.(4) Reportages utilisés pour le roman L'Empire des loups.(5) Reportages utilisés pour le roman La Ligne noire. Œuvres[modifier | modifier le code] Filmographie[modifier | modifier le code] En qualité d'auteur de l’œuvre originale[modifier | modifier le code]
Jean-Christophe Grangé. Miserere. Jean-Christophe Grangé, inutile de présenter, c’est une histoire à vous tenir en haleine en permanence avec des rebondissements à tous les chapitres, de la violence et de l’action.
Ce sont les ingrédients de sa recette et « Miserere » n’y déroge pas. « Le Cri était prisonnier des orgues. Il sifflait dans les tuyaux. Résonnait dans toute l'église. Les rivières pourpre. Le Vol des cigognes. J'ai apprécié lire ce livre comme j'ai apprécié lire les critiques très antagonistes reprises sur cette page.
J'ai adoré me plonger dans une histoire se déroulant au début des années 90. Pas de web, pas de téléphone cellulaire, pas de GPS... Dans cette épopée, on nous conte les tribulations d'un aventurier qui se démène à coup de télécopieur, de répondeur interrogé à distance, de balise argos et d'appels que l'on fait suivre au bar de l'hôtel! J'ai aimé me replonger dans cette atmosphère propre à ma pré-adolescence. Je retiendrai également le plaisir que j'ai eu à suivre Louis Antioche à travers ces contrées plus ou moins lointaines, à la rencontre de cultures et de personnes peu communes. Malheureusement, il s'agit là d'une première oeuvre qui ne résiste naturellement pas à certains pièges. Et puis, il y a les erreurs classiques des polars: un GLOCK n'a pas de chien, INTERPOL ne dispose pas de service d'enquêteurs... Le Serment des Limbe. Histoire de ne pas trop encombrer, je reprends ce post pour ma critique de ce livre, qui va reprendre ce qui a déjà été dit : Je suis un peu tenté de dire "Enfin !
" après la lecture de ce serment des limbes. Le Concile de Pierre. J'avais déjà lu Les rivières pourpres du même auteur, et avec Le concile de pierre je m'attendais a une histoire du même style.
Mais Grangé surprend et décide de faire un récit plus orienté vers le fantastique et les pouvoirs paranormaux ! Franchement, pour quelqu'un qui maîtrise si bien le thriller traditionnel (Les rivières pourpres, Le vol des cigognes...), je ne comprends pas trop cette décision de rompre avec ce genre. Résultat : le style de Jean-Christophe Grangé est toujours là, et on a encore envie de connaître la fin pour savoir comment ça se termine, mais le fantastique ne colle pas, j'ai l'impression que Grangé s'est perdu dans un genre qui ne lui va pas du tout. Bref, ça se lit quand même, s'il n'y avait ces trois dernières pages aussi abracadabrantes, ce serait même pas mal. Dommage donc car il y avait moyen de faire mieux avec une idée aussi originale... La Ligne noire. Bonne nouvelle.
Jean-Christophe Grangé se décide enfin à adopter un rythme d’écriture un peu moins nerveux. Il passe les vitesses un peu plus en douceur et le plaisir à le lire n’en est que plus grand. Construction maîtrisée, personnages nettement dessinés, précision géographique et historique (guerre en Irak, SRAS, canicule, … : l’action a lieu en 2003), thèmes de prédilection (problèmes d’identité *, traumatismes originels, violence, …), tout Grangé est là.
Les esprits chagrins et vétilleux pourront reprocher une écriture très visuelle, pré-scénarisée (on peut déceler çà et là quelques indications discrètes, quelques œillades au futur réalisateur (Mathieu Kassovitz, Christophe Gans, parmi les réalisateurs français pourraient en faire une adaptation de qualité) : travellings, plans larges, gros plan, flash-back, flashes, … ou à l’auteur de la bande-son. L'hisoire. La forêt des Mânes. A Paris, Jeanne Korowa, brillante juge d'instruction poursuit un tueur cannibale. Trois plantureuses Vénus atrocement dévorées, trois tableaux sanglants entre rituel et folie. Cette série de meurtres n’a d’intérêt que par l’intrusion de l’auteur dans la vie de son héroïne. Tout comme le meurtrier désosse ses victimes, l’écrivain dissèque et décortique la vie de Jeanne, prisonnière de son quotidien étriqué et d’une vie affective désastreuse.
Entre boulot, Prozac et Lexomil, Jeanne se débat pour ne pas sombrer. Alors, ce tueur effréné, c’est pour Jeanne l’occasion de vivre une aventure qui tout en la menant au Nicaragua, Guatemala et marais argentins, la ramène à considérer le mélimélo de ses pensées. Confrontée à l’abominable, et face à face avec elle-même, elle fait preuve d’un courage qui la surprend comme l’étonne la soudaine découverte du sens de sa vie.