Arctique. En marge de la conférence Arctic Frontiers, les ressources halieutiques dans le Grand Nord. Planète Arctique | Un site utilisant Les blogs Le Monde.fr. 2nde - Les mondes arctiques. Qui gouverne l’Arctique aujourd’hui? : VSLM | Vues sur le monde. Pourquoi l’Arctique n’est pas un bien public mondial L’Arctique est ainsi géré par la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM), contrairement à l’Antarctique, régi depuis 1959 par le traité de Washington interdisant toute exploitation, hormis à but scientifique.
Un accord international de ce type permet de considérer l’Antarctique comme un « bien que le marché ne peut techniquement pas produire et qui nécessite une coopération internationale ». Le principe d’un tel traité a été rejeté par les États riverains en 2008, conséquence des questions de souveraineté beaucoup plus vivaces qu’en Antarctique. La complexe superposition des gouvernances Les populations indigènes mettent également en œuvre des structures de coopération. Finalement, il n’y a pas de structure de gouvernances globale en Arctique, mais plusieurs structures qui interviennent à plusieurs niveaux. Les défis de la gestion arctique Références Graz Jean-Christophe, La gouvernance de la mondialisation, Repères. Arctique : océan, glaces et paysages - Recherches Arctiques.
Arctique-climat-et-enjeux-strategiques. Il s’agit d’un livre plié de 32 pages composé d’un côté par une grande carte murale thématique de 68 x 100 cm, qui peut facilement être utilisée en classe, complétée au verso par 16 pages comportant des contributions des meilleurs spécialistes du sujet. À l’approche de la COP 21, deux ouvrages de cette collection s’intéressent plus particulièrement aux défis environnementaux de l’Arctique et de l’Amazonie. Le premier titre, Arctique. Climat et enjeux stratégiques, est dirigé par Guillaume Fourmont, avec des contributions de Jean-Louis Étienne, Frédéric Lasserre (université Laval du Québec), Éric Canobbio (université Paris VIII), Marie-Noëlle Houssais (CNRS)… Amazonie.
Préserver et exploiter (oct. 2015) puis Himalaya. Peuples menacés, richesses convoitées (fév. 2016) devraient suivre bientôt. Un outil qui peut être très utile pour les enseignants, les centres de documentation et les bibliothèques. Actualité à exploiter avec : Actualité en lien avec : Dans la ville que la mine avale. Par Hugues HONORÉ Le centre des visiteurs de la mine de fer souterraine de Kirunavaara, la plus grande du monde (AFP / Hugues Honoré) KIRUNA (Suède), 1er avril 2015 – Dix-huit mille habitants, plus d’un siècle d'extraction minière dans le nord du pays et une réputation pas franchement joyeuse: c'est la description de la ville où j'ai grandi en France. C'est aussi celle de Kiruna, en Laponie suédoise. Parti en reportage dans le Grand Nord, entre forêt boréale, espaces vierges parcourus par les troupeaux de rennes et hiver interminable, je vais vite me rendre compte que l'endroit n'a pas grand-chose à voir avec les derniers puits de charbon de «mon» bassin minier que j’ai connus enfant.
Kiruna, à 145 km au nord du cercle polaire, héberge la plus grande mine de fer souterraine du monde, qui assure 90% de la production européenne. On y extrait du minerai à 1.175 mètres de profondeur, bientôt à 1.365 mètres. L'église de Kiruna, ici en 2009. WiFi et 3G à 540 mètres sous la surface - Ah là là... TACO%20Mondes%20arctiques%202nde%20P%20Galan.pdf. Arctique. Arctique : vers une interdiction du transport de pétrole. GROENLAND : Atouts et faiblesses d’un nouvel acteur économique stratégique | méridianes géo.
Rapport de M. André GATTOLIN, fait au nom de la commission des affaires européennes Sous l’effet puissant du réchauffement climatique, la zone arctique subit une véritable mutation. Au coeur de cette zone, le Groenland se transforme à vue d’oeil. Et si ces changements peuvent ouvrir pour lui des voies nouvelles pour faciliter son développement, les transformations brutales de l’environnement et leurs conséquences qui précipitent le Groenland dans la mondialisation malmènent une société groenlandaise en quête de repères. C’est dans les régions polaires que l’impact du changement climatique est le plus grand. Le Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estime que dans l’hémisphère nord, la période 1983-2012 a probablement représenté les 30 ans les plus chauds des 1 400 dernières années.
Plus inquiétant, on constate que la tendance s’accentue depuis 2002. . - l’accès aux riches ressources minières des sols du grand nord est facilité et rappelle la ruée vers l’or ; 1. 2. Arctique: la Russie remet sur pieds ses aérodromes et sa défense antiaérienne | Presse russe. Le ministère de la Défense renforce le contrôle de la frontière aérienne russe en Arctique, écrit le quotidien Izvestia. D'ici un an l'Agence fédérale de construction spéciale (Spetsstroï) finira la construction des sites de défense antiaérienne et les centres de contrôle de l'aviation militaire russes sur la côte de l'océan Arctique. La réhabilitation de l'infrastructure aérienne coûtera 6 milliards de roubles, soit près de 130 millions d'euros. Les experts expliquent le renforcement du contrôle de l'espace aérien dans la région par la situation géopolitique et l'exploration du plateau arctique.
Spetsstroï a confirmé la construction de cinq centres stationnaire radar et de contrôle sur l'île Sredni de l'archipel de la Terre du Nord, sur la Terre d'Alexandra, une grande île de l'ouest de l'archipel François-Joseph, au cap Schmidt sur l'île Wrangel à Tchoukotka et dans le village de Rogatchevo sur l'île Ioujny de la Nouvelle-Zemble. Océan Arctique : des frontières m.
ARCTIQUE, LA FIN DU SANCTUAIRE. L’Arctique, un enjeu global. Thème : l’Arctique, un enjeu global La conférence a eu lieu dans l’Amphithéâtre Foch, un ancien carrousel de cavalerie restauré, avec le mot d’accueil du directeur du CESM le Contre-Amiral Rousseau. Michel ROCARD, ancien premier ministre et aujourd’hui ambassadeur de France pour les pôles, a posé la question « Pourquoi l’Arctique ? » en commençant par comparer Arctique et Antarctique. Les deux pôles sont très différents : l’un est une terre réservée à la science (Traité de Washington en 1959 complété en 1991 par le protocole de Madrid) alors que l’autre est un océan bordé par 5 Etats possédant des ZEE.
Avec le retrait accéléré de la banquise il y aura des possibilités nouvelles de navigation, de pêche, voire de tourisme et surtout d’accès à de nouvelles ressources. Mme Runyo a insisté sur le fait qu’avec le Conseil de l’Arctique (créée en 1996 à la conférence d’Ottawa) les litiges étaient réglés par la voie de la négociation. Corinne RECHER-ORTILLON.