Emmanuelle Delmas-Glass (Yale Center for British Art) « Si les musées ne choisissent pas l’Open Content, ils deviendront invisibles et inutiles » Après l’annonce de la naissance de l’AAC (American Art Collaborative), un consortium de 14 musées américains qui vont créer ensemble une base de données consacrée à l’art américain, le Clic France a souhaité interroger Emmanuelle Delmas-Glass, responsable de la gestion des données des collections du Yale Center for British Art, qui participe à ce projet. Emmanuelle Delmas-Glass explique la stratégie numérique du musée, les avantages de la technologie LOD et la politique ambitieuse de son institution en matière d’Open Content. Pouvez-vous vous présenter en quelques lignes ? Je suis la Collections Data Manager du Yale Center for British Art où j’ai commencé à travailler en 2006.
Je suis en charge de l’intégrité des données relatives aux collections du musée, quel que soit le format utilisé pour les partager. Par exemple j’ai utilisé le format LIDO XML pour incorporer nos données au Google Art Project. Pouvez-vous nous expliquer ce qu’est le projet « American art collaborative » ? . . . . Avec Google, les châteaux de Versailles et de Vaux-le-Vicomte créent ensemble une exposition virtuelle.
Pour fêter le 400e anniversaire de la naissance de Nicolas Fouquet, ancien surintendant des finances, et le 300e anniversaire de la mort de Louis XIV, les deux monuments français s’associent à l’Institut culturel de Google pour créer une exposition virtuelle. Cette nouvelle exposition virtuelle, dédiée à deux hommes de pouvoir, Nicolas Fouquet et Louis XIV, que l’histoire a toujours opposé est d’ores et déjà disponible sur le site Google Art Project. Cette plongée numérique dans l’histoire du 17e siècle est le fruit d’un partenariat inédit entre le Google Cultural Institute, et les deux institutions culturelles, les châteaux de Vaux-le-Vicomte et de Versailles, qui célèbrent, respectivement, la naissance du Surintendant des Finances, il y a 400 ans, et les 300 ans de la mort du Roi Soleil. « Nous ne sommes pas tributaires du passé.
L’histoire de Fouquet et de Louis XIV a produit deux de nos plus beaux emblèmes culturels. A l’image d’une exposition traditionnelle . . . . . . 04h11 réalise une dataviz géante sur les nanotechnologies. Le Musée de la Civilisation a imaginé une exposition innovante pour faire découvrir au public les nombreuses applications des nanotechnologies dans notre quotidien. Cette exposition propose une expérience interactive au visiteur qui peut, tout au long de son parcours, donner son avis sur le sujet parfois controversé des nanotechnologies. En entrant dans la salle, le visiteur pioche un petit canard en plastique muni d’une puce RFID qui l’accompagnera tout au long de l’exposition. Pour commencer à découvrir l’exposition, le visiteur doit répondre à une première question : êtes-vous pour ou contre les nanotechnologies ? Ensuite, tout au long du parcours, le visiteur est invité à répondre à des questions sur son opinion sur des applications précises des nanotechnologies : santé, électronique, cosmétique… Sur des bornes interactives, il dépose son canard sur la réponse qu’il choisit.
L’équipe du musée nous a contactés avec la problématique suivante : Le musée (5/5) : Un musée pour quoi faire ? Dernier moment de notre semaine passée à déambuler dans le musée. Aujourd'hui, en écho à l'ouverture de la fondation LVMH, nous nous interrogeons avec le muséologue François Mairesse sur les évolutions de la conception de musée. Dernier moment de cette semaine consacrée au musée.
Il fut politique, historique, sociétal, il fut dansé, mouvant, mental, à venir. Il fut numérique et communautaire. Il fut érotique et beau. Bref nous n’avons presque pas parlé d’argent, nous avons peu parlé de collection, et pas évoqué le marché. La dernière définition du musée, donnée par le comité de muséologie date de 2007, et celle d’avant datait de 1974. Notre invité -François Mairesse- est muséologue, professeur d’université à la Sorbonne, président du comité international pour la muséologie.
En fin d’émission nous demandons à quelqu’un de partager des choses précieuses. Programmation musicale: Camélia Jordana , "à l'aveuglette" - ALT-J , Bloodflood, pt. Intervenants. Pour un musée des temps modernes. Luc Debraine Décodage. A la fois sérieux et ludique, patrimonial et artistique, mais peu digital, Chaplin’s World, le musée Chaplin de Corsier-sur-Vevey, pose la question de l’évolution de ce type d’institutions culturelles. Protéger, partager, étudier l’histoire et la créativité humaine ont toujours compté parmi les missions du musée.
Vous savez, ce temple des muses où l’on accède en montant des marches, où l’on fait silence et l’on se recueille devant les chefs que sont les œuvres. Longtemps, au moins depuis le XIXe siècle, ce sanctuaire profane n’a pas changé d’esprit ni de fonction. «Le musée est en train de changer sous nos yeux, mais nous ne savons pas encore quelle direction il va prendre», admet le Neuchâtelois Marc-Olivier Wahler, ex-directeur du Palais de Tokyo à Paris, bientôt en charge du Broad Art Museum dans l’Etat américain du Michigan.
Immersion et storytelling Il sera intéressant de visiter ce laboratoire des musées de demain. Selfies encouragés L’inerte et l’animé. Co-construire une muséographie : exemple du musée Résistance/Déportation. La participation des habitants à la vie artistique et culturelle Co-construire une muséographie. L’exemple du Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Isère olivier cogne Pionnier dans les expérimentations participatives au sein des musées, le Musée dauphinois et le Musée de la Résistance et de la Déportation à Grenoble associent, depuis plusieurs décennies, les acteurs de la société civile pour élaborer leur programme muséographique.
Recherche - Musée et numérique. Quelles visions du participatif ? PDF - Présentation du concept de musée LEGO. Blog de Nina Simon - Museum 2.0. Livre – The Participatory Museum par Nina Simon. The Participatory Museum A book by Nina Simon Skip to content Read Online Welcome to the online version of The Participatory Museum.
This is the complete text of the book, but it lacks the attractive formatting of the paperback and the PDF. Also, you can comment on it. This book is licensed under a Creative Commons Attribution-Noncommercial license. And now, onto the show. Table of Contents Preface: Why Participate? Part 1: Design for Participation Chapter 1: Principles of ParticipationChapter 2: Participation Begins with MeChapter 3: From Me to We Chapter 4: Social Objects Part 2: Participation in PracticeChapter 5: Defining Participation at Your InstitutionChapter 6: Contributing to InstitutionsChapter 7: Collaborating with VisitorsChapter 8: Co-creating with VisitorsChapter 9: Hosting Participants Chapter 10: Evaluating Participatory Projects Chapter 11: Managing and Sustaining Participation Imagining the Participatory Museum Acknowledgements Bibliography About the Author.
Blog de Sébastien Magro - étude sur le musée participatif. En raison de mes engagements pour l’année universitaire 2011-12, j’ai du renoncer au projet de commencer une thèse en muséologie. J’ai donc décidé de publier ma note d’intention – très peu diffusée jusqu’à présent – en trois billets distincts. Le titre complet de mon projet est « Le musée participatif : dimensions sociales, collaboratives et participatives de la médiation culturelle à travers les outils numériques ». J’espère que ces quelques éléments de réflexion permettront de nourrir le débat sur le numérique au musée et les formes émergentes de médiation qui y sont liées.
CFA Berlin Alors qu’internet et les réseaux sociaux ont pénétré la majorité des domaines professionnels, l’ensemble des couches sociales et modifié en profondeur nos rapports sociaux, les musées et les institutions culturelles ne font pas exception. Les institutions culturelles sont confrontées à l’impératif d’un changement dont on ne mesure pas encore toute l’ampleur. État des lieux Aquarium de La Rochelle. Mémoire Museum 2.0 - La construction de la participation sociale. Webzine - Musée 2.0 ou la visite de musée connecté. In order to enhance the museum experience, professionals are constantly experimenting with new technologies. We sat down with Armelle Pasco, director of Orange’s cultural partnerships program, to discuss recent innovations. POPOUT: In terms of guided visits, where do things stand at the moment? Armelle Pasco: These days, most museums offer multimedia guided tours to enhance the museum-goer’s experience. These options are much more interactive than the old-school audio guides and allow visitors to access contextual information on demand or compare related artworks.
We’re moving towards a newer type of museum experience, the 3.0 era. PO: What do you see as the next big thing in the digital museum experience? AP: Cultural institutions are integrating more and more new technology, even as debate continues on the role digital technologies should play in museums and the public’s direct interaction with art.
The eBeacon, the future of indoor geolocation © estimote.com.