Le journalisme doit-il trouver des solutions? Benoit Bouscarel, Eric Dupin, Isabelle Veyrat-Masson, Christian de Boisredon, François Siegel © Radio C'est une nouvelle façon de penser le journalisme : ne pas s'arrêter aux problèmes mais rendre aussi compte des solutions, susciter l'intérêt pas seulement avec les drames du monde mais aussi avec tout ce qui fonctionne et fait avancer.
On en parle avec : - François Siegel, cofondateur du site We demain - Christian de Boisredon, fondateur de Sparknews - Eric Dupin, journaliste indépendant - Isabelle Veyrat-Masson, historienne des médias L'actualité à l'étranger : cette semaine avec Cyril Sauvageot, correspondant à Berlin Et comme chaque semaine, le clin d'oeil de Yassine Bouzar. À l’heure du « journalisme de solution » Les médias s’interrogent sur leur capacité à gagner des lecteurs en leur donnant envie d’agir.
Une journée sera même consacrée à cette forme de journalisme le 20 septembre 2014. Et si les médias parlaient des trains qui arrivent à l’heure ? La Révolution Intérieure — journalisme positif. Par Sandra C. « Aucun journaliste ne sait plus ce qu’est une bonne nouvelle. » Le Dalaï Lama C’est un fait.
C’est même devenu une ligne éditoriale. Nos journaux TV nous abreuvent au quotidien de ce qu’il y a de pire en ce monde. Loin de moi l’idée de dire qu’il ne faudrait plus traiter ni les guerres, ni les faits- divers, ni les scandales politico-financiers. Le site de vos initiatives positives, journalisme positif. Les crispations alarmantes de la société française. Un sondage exclusif pour "Le Monde" met en évidence la très forte demande d'autorité et la tentation du repli national.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gérard Courtois On savait les Français pessimistes, inquiets de l'avenir et persuadés du déclin du pays. On avait bien compris que la France est "une société de défiance", après les travaux d'Algan et Cahuc en 2007 ou les enquêtes décennales sur les valeurs conduites sous la direction de Pierre Bréchon depuis 1981. Enfin, maints sondages ont témoigné du jugement sans pitié des Français sur la politique, de leur réticence croissante envers l'Europe ou de leur crainte de la mondialisation. ENP SJN report. Solutions Journalism Network. Transformational Media Initiative. One of the pillars of the Transformational Media Initiative (TMI) is its work to develop the field of constructive journalism.
Constructive journalism involves using positive and solution-focused approaches within classical reporting. It is rigorous, compelling journalism that presents a fuller picture of truth while upholding journalism’s core functions and ethics. To learn more visit The Constructive Journalism Project. How is TMI promoting constructive journalism? TMI is supporting the research, development, practice and recognition of constructive journalism. • Training is being delivered internationally to journalism students, freelance journalists, newsrooms and media organisations by The Constructive Journalism Project (based in the UK) and The Goldensted Group (based in Denmark). Engaging News Project. The Engaging News Project provides research-based techniques for engaging online audiences in commercially viable and democratically beneficial ways.
The project tests web-based strategies for informing audiences, promoting substantive discourse, and helping citizens to understand diverse views. At the same time, we analyze business outcomes, such as clicks and time on page. Systematic testing provides valuable information about what works, and what doesn’t. And by advancing both journalistic and business goals, the techniques are designed with contemporary newsrooms in mind. Le journalisme de solutions. Le « journalisme de solutions » ou « journalisme d’impact » est présenté comme une alternative au traitement traditionnel de l’information, souvent axé principalement sur les problèmes, soit une conception du travail journalistique à même de susciter l’engagement des citoyens.
Autrement dit, ne plus seulement monopoliser l’attention des lecteurs avec ce qui ne marche pas, mais éveiller sa curiosité et son engagement à travers des projets constructifs. Les mauvaises nouvelles font vendre, proposer des solutions renvoie chacun à ses responsabilités. Le journalisme de solutions revient à changer de point de vue. Une réflexion s’engage pour promouvoir une approche différente dans le traitement journalistique des problèmes de la société, en déterminant une ligne éditoriale axée sur les solutions alternatives plutôt que de suivre le courant dominant en ne faisant qu’exploiter les données du problème.
Qui sommes-nous. Nous vivons dans une société où l’information est immédiate et mondialisée.
Chaque jour, les événements et drames touchant 7 milliards d’habitants sont connus partout, tout de suite. L’information, si elle ne montre que les trains qui déraillent, contribue à la propagation de la peur et de l’immobilisme. Mais lorsqu’elle dévoile la face constructive de l’activité humaine, c’est une autre histoire qui commence… Car chaque problème, chaque difficulté, mettent en mouvement des femmes et des hommes qui font face et prennent l’initiative. Ces bâtisseurs de l’avenir sont à l’origine d’innovations et de changements profonds. Information positive. On ne peut pas demander à M.
Lagardère ou M. Dassault dont le fond de commerce est la destruction et la mort de comprendre ce que sont humour, rigolade, sourire et plaisir. Au son d’un pétard ils sortent missiles, à l’odeur d’une boule puante, un masque à gaz et combinaison immunisante. Mais l’avantage qu’on a lorsqu’on sort de chez nous avec nos deuch sans vitre teintée et au milieu de nos verdoyants jardins, c’est de voir le soleil qu’ils ne voient jamais. Ca me rappelle une petite histoire : Un consultant en management, en vacances dans un village de pêcheurs africains, regardait un petit bateau de pêche amarré au quai.