L'Homo naledi, nouvelle espèce du genre humain. Le reportage de Normand Grondin Une nouvelle espèce du genre humain pouvant avoir existé il y a un à deux millions d'années a été mise au jour dans une grotte appelée Rising Star, en Afrique du Sud, où des fouilles ont permis d'exhumer le plus important « échantillon » d'ossements fossilisés humains trouvé à ce jour sur le continent africain.
La découverte, dont les détails sont publiés dans la revue scientifique en libre accès eLife, a été faite par une équipe de chercheurs que dirigeait le professeur Lee Berger, de l'Université du Witwatersrand de Johannesburg, et dont faisait partie Michelle Drapeau, professeure au Département d'anthropologie de l'Université de Montréal. Au cours de deux expéditions de fouilles qui ont eu lieu en novembre 2013 et en mars 2014, les chercheurs ont déterré plus de 1550 ossements fossilisés partiels ou complets, appartenant à au moins 15 individus adultes ou juvéniles qui ont tous une « morphologie remarquablement homogène ».
Plein écran. This Face Changes the Human Story. But How? A trove of bones hidden deep within a South African cave represents a new species of human ancestor, scientists announced Thursday in the journal eLife.
Homo naledi, as they call it, appears very primitive in some respects—it had a tiny brain, for instance, and apelike shoulders for climbing. But in other ways it looks remarkably like modern humans. When did it live? Where does it fit in the human family tree? And how did its bones get into the deepest hidden chamber of the cave—could such a primitive creature have been disposing of its dead intentionally? This is the story of one of the greatest fossil discoveries of the past half century, and of what it might mean for our understanding of human evolution.
Chance Favors the Slender Caver Two years ago, a pair of recreational cavers entered a cave called Rising Star, some 30 miles northwest of Johannesburg. In the back of their minds was another mission. Construis ta cité grecque. Portrait de la misère quotidienne à Montréal. Vue aérienne de la ville de Montréal Photo : Istock Des dizaines de milliers de Montréalais doivent s'affamer pour payer leur loyer ou sont contraints de vivre dans des logements insalubres, deux situations susceptibles d'entraîner des problèmes de santé physique et mentale.
C'est du moins ce que révèle le rapport Pour des logements salubres et abordables révélé lundi par la Direction de la santé publique (DSP) de Montréal dans le cadre du Forum montréalais sur le logement et la santé. Selon le rapport, 210 000 ménages montréalais consacraient plus de 30 % de leur revenu à payer leur logement en 2014; 95 000 d'entre eux ont souffert d'insécurité alimentaire, et plus de 50 000 ont manqué de nourriture en raison d'un manque d'argent. Qui plus est, 30 % des ménages montréalais avaient au moins un problème d'insalubrité dans leur logement en 2014, qu'il s'agisse de moisissure apparente ou d'infiltration d'eau (20 %), de rongeurs (9 %), de punaises de lits (3,4 %) ou de coquerelles (3,3 %).
L'eau, un enjeu majeur pour plusieurs villes en 2016. 1000 résidents de Langara Gardens ont eu la vie difficile après que la ville ait coupé leur alimentation en eau le 2 janvier à 15h.
Photo : CBC Plusieurs villes du Grand Montréal auront des défis importants à relever, en ce qui concerne l'eau, en 2016. Parmi ces villes, on retrouve plusieurs championnes de la croissance démographique des dernières années. Un texte de Francis Labbé Nous avons contacté plusieurs de ces villes « championnes » de la croissance démographique afin de vérifier si l'eau représentait un défi particulier. Vaudreuil-Dorion En ce moment, à Vaudreuil-Dorion, 200 foyers doivent faire bouillir l'eau avant de la consommer. « Ce sont des secteurs où l'on retrouve des puits artésiens qui ont été contaminés par des bactéries », explique Christian Gendron, directeur du service des eaux à la Ville. Pour le secteur du Domaine-en-Haut, un parc de maisons mobiles, les discussions entre la ville et les résidents sont au neutre.