Le Fonds monétaire international (FMI), organisme basé à Washington né des accords de Bretton Woods en 1944, qui a largement contribué à bâtir le système financier actuel, tire la sonnette d’alarme. Généralement rassurante, l’institution sort de ses habitudes pour mettre le doigt sur ce qui « accentue les tensions » dans l’économie mondiale. Bien sûr, le discours tenu par le FMI reste sobre et évite soigneusement les formules catégoriques et trop explicites. Néanmoins, après avoir déjà consacré son avant-dernier1 rapport régulier – biannuel ou trimestriel – sur la stabilité financière aux « risques » encourus par les acteurs publics et privés de la finance internationale, l’édition d’avril 2015 du document franchit une marche supplémentaire2.
La prochaine crise est inévitable.
Note du Conseil Pontifical "Justice et Paix", 24 octobre 2011. Préface « L’actuelle situation du monde exige une action d’ensemble à partir d’une vision claire de tous les aspects économiques, sociaux, culturels et spirituels. Experte en humanité, l’Eglise, sans prétendre aucunement s’immiscer dans la politique des Etats, “ne vise qu’un seul but : continuer, sous l’impulsion de l’Esprit consolateur, l’œuvre même du Christ venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité, pour sauver, non pour condamner, pour servir, non pour être servi” ». (1) Dans l’encyclique Populorum progressio de 1967, prophétique et toujours actuelle, Paul VI traçait avec clarté « les trajectoires » du rapport intime de l’Eglise avec le monde : des trajectoires qui s’entrecoupent dans la valeur profonde de la dignité de l’homme et dans la recherche du bien commun, et qui rendent aussi les peuples responsables et libres d’agir selon leurs aspirations les plus élevées. 1.
Développement économique et inégalités Avant tout un libéralisme économique sans règles ni contrôles. 2. Causes et conséquences de la deuxième crise mondiale - Baromètre de Gestion Stratégique. Etats-Unis : de la crise financière à la crise de leadership ? « Le succès de ce modèle de capitalisme reposait sur des fondations et des institutions économiques qui se révèlent aberrantes, y compris pour ses partisans les plus acharnés. Ainsi, la crise impose, par son ampleur, de repenser des modalités d’organisation économique plus cohérentes. Au-delà de la remise en cause de la philosophie économique dominante, elle interroge aussi l’avenir de l’ordre économique mondial dominé par les États-Unis et sa puissante industrie financière. » 12 septembre 2009 La Revue Géopolitique Obama veut la fin des "excès incontrôlés" de la finance « C'est une défaillance collective du sens des responsabilités à Washington, à Wall Street et dans toute l'Amérique qui a conduit au quasi-effondrement de notre système financier il y a un an. » 14.09.09 LeMonde "Nous sommes toujours dans la crise économique et sociale", Dominique Strauss-Kahn, directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Avril 2009.
Comment les banques ont profité de la crise grâce aux garanties d'Etat. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Marie Charrel Entre 200 et 300 milliards d'euros par an : c'est l'avantage financier que les banques européennes ont tiré des garanties implicites que leur ont fournies les Etats pendant la crise, selon une étude réalisée par l'expert financier indépendant Alexander Kloeck à la demande des eurodéputés du groupe écologiste. « C'est l'un des graves dysfonctionnements révélés par la crise et il n'a pas encore été traité », s'alarme le député européen belge (Groupe les Verts-Alliance libre européenne), Philippe Lamberts.
Publiée lundi 27 janvier, cette étude pourrait relancer les débats sur le sujet, alors que Michel Barnier, le commissaire européen au marché intérieur, s'apprête à présenter, mercredi 29 janvier, son projet de séparation des activités bancaires, visant à mieux réguler le secteur. En 2010 et 2011, la question de ces garanties implicites agitait la classe politique européenne. Ensuite, la garantie implicite crée des distorsions de concurrence. Vers une nouvelle crise économique mondiale ? Economie URL courte Le monde est confronté à des risques croissants de crise économique. Les dirigeants mondiaux doivent prendre des mesures stimulant la demande afin d'éviter une catastrophe, selon le premier adjoint du directeur administratif du Fond monétaire international, David Lipton. L'économie globale se trouve dans une "situation vraiment difficile", cite le quotidien britannique Financial Times, reprenant les propos de M.
Lipton. Le dirigeant du FMI appelle les hommes politiques à prendre immédiatement des mesures afin de doper la croissance économique et la demande, et ainsi se préparer à faire face aux nouvelles menaces apparues du fait de la volatilité des marchés financiers et de ceux des matières premières. "Le temps est venu de soutenir l'activité économique et de restaurer la stabilité de l'économie mondiale", souligne David Lipton. Selon le Financial Times, cette intervention de M. . © Fotolia/ Angelika Bentin M.
Les nouvelles stratégies internationales de lutte contre la pauvreté. « La pauvreté doit être un de ces rares domaines où les médicaments sont prescrits avant de connaître la maladie ». Else Øyen « Notre rêve est un monde sans pauvreté ». Par sa devise, la Banque mondiale affiche ostensiblement sa préoccupation pour la thématique de la lutte contre la pauvreté. Dès la fin des années quatre-vingt, cette institution, au côté du Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD), fit entrer la lutte contre la pauvreté dans son discours et ses pratiques de développement. De cette centralité discursive de la problématique de la pauvreté dans le développement proposé par les organisations internationales, deux interrogations majeures en découlent. D’autre part, par rapport à la décennie nonante, les nouvelles stratégies de lutte contre la pauvreté impliquent des ouvertures politiques en intégrant les critiques réalisées à leur égard.
De quoi parle-t-on ? Tout le monde en parle sans savoir ce qu’elle recouvre exactement dans la réalité. EI 59 2. Selon le FMI, la plus grosse bulle financière de l’Histoire va bientôt exploser | LE BILAN. Dans son dernier rapport sur la stabilité financière, le Fonds monétaire international sonne l’alarme. Son propos, sur la retenue comme d’ordinaire, n’est pas aussi explicite que le nôtre. LE BILAN ajoute, aux aspects conjoncturels relevés par le FMI, une analyse structurelle du système financier.
Par Benoit Delrue. 7 100 mots environ. Temps de lecture estimé : 35 minutes. C’est un événement planétaire. Le Fonds monétaire international (FMI), organisme basé à Washington né des accords de Bretton Woods en 1944, qui a largement contribué à bâtir le système financier actuel, tire la sonnette d’alarme. Généralement rassurante, l’institution sort de ses habitudes pour mettre le doigt sur ce qui « accentue les tensions » dans l’économie mondiale. La prochaine crise est inévitable. Le printemps des crises Le FMI fait état d’une conjoncture qui, mois après mois, « intensifie les risques » de survenue d’une nouvelle crise financière.
Taux d’intérêt records en France et en Allemagne Le tas d’or.