Faciligo, un réseau social qui facilite la mobilité pour tous. L'institut Mines télécom lance un cours en ligne de mobilité 2.0. Bientôt, tous les titres de transport seront stockés dans le smartphone, High tech. Demain, tout le monde va pouvoir voyager en train, métro, RER, vélib... avec l’ensemble de ses billets stockés sur la carte SIM de son téléphone. Quatre entreprises françaises, Gemalto, Orange, la RATP et la SNCF, y travaillent, avec le soutien du ministère de l’Economie et celui des Transports. Dans cette perspective, ils lancent Wizway Solutions, une joint-venture dédiée au développement de la mobilité sans contact. « La plate-forme que nous lançons est ouverte à tous les opérateurs de transports.
Elle permet de combiner tous les moyens de transport et est unique au monde », explique Olivier Piou, directeur général de Gemalto. Concrètement, le voyageur va pouvoir stocker sur son smartphone son billet pour son trajet Paris-Lyon, par exemple, avec un ticket de bus utilisable dans la capitale des Gaules. Plus besoin de se rendre dans la voiture-bar de la SNCF pour acheter ce ticket de bus. Le trajet peut être acheté de bout en bout via l'application SNCF, ou autre RATP. Bordeaux lance une web radio sur la mobilité. La route solaire de Saint-Quentin-en-Yvelines prend vie, Actualité des Marchés Publics. Un site Internet pour recenser les routes en mauvais état. Nids-de-poule, absence de marquage au sol, chaussées non entretenues, affaissements...
Vous en avez assez de ces routes en mauvais état qui empêchent de conduire de façon optimale ? Depuis ce jeudi, vous pouvez recenser ces axes dangereux sur un site Internet dédié, créé par l'association "40 millions d'automobilistes". Les données récoltées serviront à créer une carte de France des routes les plus dégradées. Avec plus de 11 000 kilomètres d'autoroutes, près de 10 000 kilomètres de routes nationales et plus de 970 000 kilomètres de routes départementales et communales, la France possède le plus important réseau routier d'Europe.
Mais tous ces axes ne sont pas forcément en bon état, dénonce l'association "40 millions d'automobilistes". Elle vient de lancer jaimalamaroute.com, une plateforme collaborative visant à "mettre en lumière la dégradation du réseau routier", et à interpeller les pouvoirs publics sur ce problème. Voiture électrique: bientôt des bornes tous les 80 kilomètres. A une semaine du début de la COP 21, Paris entend donner un second souffle à la voiture électrique.
Un impératif car le transport est la première source d’émissions de gaz à effets de serre (20% en Europe et 27% en France). Hier soir à Madrid, l’ambassadeur de France Yves Saint-Geours, qui remplaçait le ministre des Transports Alain Vidalies (retenu à Paris en raison des attentats), a lancé aux côtés des ministres espagnol et portugais de l’Energie le projet de "corridors verts".
L’idée consiste à installer le long des autoroutes des trois pays des bornes de recharge électrique rapides (une demi-heure pour faire le plein d’électricité) et interopérables, afin qu’un utilisateur puisse faire un Paris-Lisbonne avec sa voiture électrique. L’initiative des corridors revient à un groupe de travail franco-espagnol-portugais réunissant des associations pour la promotion de l’électrique et des gestionnaires de réseaux de distribution d’électricité des trois pays.
Parmi ceux ci, le Français ERDF. Enviscope. L'électricité sera de plus en plus l'énergie de la mobilité dans la Métropole de Lyon. Entre énergies renouvelables et nouveaux usagées, les réseaux électriques intelligents devront gérer les connexions entre des demandes et des offres encore mal connues. La mobilité électrique dans la Métropole de Lyon est aujourd'hui essentiellement celle des transports en commun.
Le réseau de transport a misé sur cette énergie avec le métro, les tramways, les funiculaires, les trolley-bus. Une navette fluviale fonctionne, sur la Saône, hors système SYTRAL pour desservir à titre promotionnel le quartier de Confluence. Il est possible qu'un jour, des transports par câbles soient implantés dans la Métropole. Il semble que le SYTRAL n'exclut plus ce mode de transport. La Société des Electriciens et des Electroniciens (SEE) organise d'ailleurs une rencontre sur ce thème le 3 décembre. Mais la grande révolution de la mobilité électrique est attendue avec le déploiement de l'auto électrique.
La Fonderie Car : nouveau prototype de voiture connectée Open Source. Moins de 10 000 euros. Les équipes de La Fonderie, l’agence numérique d'Ile-de-France, sont parvenues à mettre au point un prototype de voiture connectée Open Source avec un budget inférieur à 10 000 euros. Ce projet ambitieux, baptisé Fonderie Car, a été présenté pour la première fois à l’occasion de la première édition parisienne de l’Open Source Summit, qui s’est déroulée le 18 et le 19 novembre derniers à La Plaine Saint-Denis. L'Open Source, au coeur de la stratégie industrielle des géants du web « L’objectif de ce projet est de sensibiliser les constructeurs français sur le numérique dans une voiture. Aujourd’hui, l’open source est au cœur de la stratégie industrielle des géants du web alors que le secteur automobile reste très fermé. Le véhicule, une Citroën Nemo rachetée d’occasion pour 7 500 euros, est ainsi équipé d’un cœur réseau (routeurs Mikrotik, Ubiquiti et Mini PCle d’Huawei) et de serveurs Open Hardware.
Un kit de développement pour voiture connectée. Transdev Explorer - Les Voyageurs Numériques. Le numérique : outil de mobilité urbaine ? Quelle cohabitation pour le numérique et la mobilité ? ; Copyright : Clément Breuille De l’ère des transports à l’ère de la mobilité Aujourd’hui, c’est le concept de « walkability » qui réorganise l’espace urbain.
Nous sommes entrés dans le monde de la mobilité douce, un monde dans lequel l’activité physique est au centre des préoccupations de notre mobilité. Ce changement de paradigme revient à se demander : qu’est-ce qu’une ville agréable ? Le numérique : une réponse absolue ? Le numérique : un outil de mobilité urbaine ; Copyright : Clément Breuille Les TIC créent de nouvelles opportunités entre citoyens, et de nouveaux défis pour les transports publics. Par Clément Breuille étudiant en cinquième année à l’Ecole de Design Nantes Atlantique option Nouvelles Mobilités, et Zélia Darnault, enseignante. Communautez ! Les citoyens connectés peuvent-ils vraiment redéfinir la mobilité urbaine ? Date de publication : 28/11/2014 Format : Fil d'info L'équipe de Mobilité Durable était présente au débat "Communautez !
" organisé par l'agence La Netscouade, le 19 novembre 2014. Retour sur cette soirée en tweets et en images ! Avec le numérique, l’espace urbain se révèle être un immense vivier de données. Au micro Stéphane Savouré (@stephanesavoure), fondateur et président de la start-up Koolicar. Pour le directeur du programme Villes 2.0, Thierry Marcou, nous sommes dans un monde de plus en plus numérique où la ville capte et diffuse de la data. Qu'on se le dise, la mobilité du futur sera une mobilité partagée. Selon le fondateur de Koolicar,Stéphane Savouré, tout l'enjeu est de comprendre la mécanique de l'offre et de la demande. L'espace physique de la ville s'hybride avec le numérique et de nouvelles perspectives s'offrent à nous. Et si l'avenir était dans l'hyper-personnalisation ? Mobilités et numérique : vers un nouvel intérêt collectif. La révolution numérique bouleverse nos usages des transports. Lors du congrès ITS de Bordeaux, l'association ATEC ITS France a présenté les résultats du livre vert sur la mobilité intelligente.
Un programme national d'actions devrait être initié. Précisions avec Denis Aubron, président d'ATEC ITS France. Denis AubronPrésident d’ATEC ITS France Actu-environnement : La feuille de route 2015 pour la transition écologique prévoyait la création d'une filière de la mobilité intelligente. Quand sera-t-elle mise en place ? Denis Aubron : La filière de la mobilité intelligente est en train de se transformer en un programme d'actions national. Les résultats de nos travaux du projet de livre vert montrent que cette filière s'imbrique de manière complétement transversale sur les filières industrielles type automobile, ferroviaire, numérique qui sont elles très verticales. AE : Pourquoi avoir initié des travaux sur la création d'une filière ou un programme d'actions de la mobilité intelligente ? AE : Quels sont les deux derniers volets ? La voiture du futur volera, avec ou sans nous. Des voitures volantes, des tubes reliant notre maison à notre lieu de travail, des skateboards planants… C’est ainsi que l’on imaginait le futur dans le passé.
Mais comment nous déplacerons nous dans 50 ans ? A lire dans Néoplanète n°38 Oubliez les jets packs et la téléportation, l’avenir des transports est dans l’amélioration et la combinaison de technologies existantes. Sans oublier l’intégration d’Internet à nos voitures, qui seront interconnectées. Elles communiqueront en permanence les unes avec les autres. « Après la ceinture de sécurité et l’airbag, la technologie du «véhicule à véhicule» représente la prochaine génération dans l’amélioration de la sécurité au volant », selon le secrétaire aux Transports des Etats-Unis, Anthony Foxx. Le « vehicule to vehicule (V2V) » et le « vehicule to infrastructure (V2I) » joueront en effet un rôle majeur dans la conduite de demain et pourraient éviter jusqu’à 80% des accidents non causés par un conducteur ivre ou une défaillance mécanique. Aquitaine - L'Aquitaine aura son "living lab" dédié aux transports intelligents.
L'Aquitaine aura son "living lab" dédié aux transports intelligents Un laboratoire des usages verra le jour dans les prochains mois dans plusieurs villes de la grande Aquitaine, notamment à Bordeaux et La Rochelle. La dynamique née du congrès mondial ITS doit se poursuivre. C’est en partant de ce postulat que sept institutions ou entreprises aquitaines (1) ont signé, le 7 octobre, un protocole d’accord pour la création d’un « living lab » dans le domaine des systèmes de transports intelligents. « Il s’agit d’un pas supplémentaire pour la Région, à côté de sa compétence transport, explique Alain Rousset, président du conseil régional d’Aquitaine.
Nous avons trois préoccupations : accélérer de nouveaux usages, développer des technologies, et donc des emplois, et animer un lieu de réflexion ». A lire également :Transports intelligents. Comment nous déplacerons-nous dans 10 ans? Intérêt des voitures autonomes et bêtise des services de relations publiques.
J'ai eu la chance de croiser par hasard un jeune ingénieur assez ouvert et intelligent pour m'expliquer en termes simples et clairs le bénéfice que la société peut tirer des voitures intelligentes. Mais toutes les pendules de l'entreprise pour laquelle il travaille ne sont pas réglées sur la même heure. Tout commence dans le train qui me conduisait le 6 octobre au Congrès mondial des Systèmes de transports intelligents. Nous sommes assis face à face sans personne autour de nous.
Il ouvre son ordinateur sur lequel je peux voir un sticker de startup que je ne connais pas. Sourire timide. Voici l'essentiel de sa réponse : Premier point, les véhicules autonomes existent. Mais « à quoi ça sert » ? D'abord c'est plus confortable, moins stressant, par exemple dans la gestion des bouchons sur autoroute. Nous arrêtons. Se déplacer à l'ère numérique.