Immigration : Serge Menga réveillera-t-il le national-socialiste qui dort en chaque Allemand ? - Egalite et Réconciliation. Serge Menga.
Inconnu en France, l’homme est considéré en Allemagne comme un redoutable activiste, notamment grâce aux réseaux sociaux, et à un sens de la provocation prononcée. Allemagne : échauffourées et agressions sexuelles impliquant des migrants près de Stuttgart. Émigration : chut, la France se vide... PME ruinées, grandes entreprises redéployées, entrepreneurs expatriés et jeunes qualifiés au chômage.
Le constat est sans appel : des milliers de Français quittent le pays. Je suis démographe, je sais que les Français émigrent massivement. Je suis un ancien dirigeant d'une entreprise internationale, je comprends pourquoi ils le font. Je suis un économiste libéral, je comprends encore mieux pourquoi. La France, ils l'aiment mais ils la quittent. L'accueil des migrants, comment ça marche ? Le business des coopératives. Que ce que l’on qualifie trompeusement de « crise migratoire » soit financé par l’argent public des contribuables de l’Union européenne, cela n’est plus un secret pour personne.
Ce que l’on sait moins, c’est comment le système de l’accueil des clandestins fonctionne concrètement, et donc qui s’en enrichit et comment. Car ce déplacement de populations aux proportions gigantesques est rendu possible autant par le désarmement moral des peuples autochtones que par le colossal détournement de fonds publics – légal ou non – qu’il engendre. Le cas de l’Italie, principale porte d’entrée des clandestins avec la Grèce, est particulièrement intéressant à cet égard.
Migration : à qui profite les naufrages. La tête dans le sable, et l’écume de l’eau qui vient se déposer sur ce petit corps sans vie, tandis qu’un secouriste vient mettre fin à la prise de vue, bien opportune, la photo fait des ravages dans les cœurs.
L’image du petit syrien aura fait le tour du monde, à grand renfort de chialeries journalistiques et d’invectives politiques quant à “l’obligation à l’action”. Autrement dit : “Il faut accueillir les migrants ! C’est comme ça, c’est une obligation, alors ferme ta gueule ! Bisou. ” Bref, le choix est donné camarade ! Migration : à qui profite les naufrages. Les "cerveaux" fuient la France et ne reviennent pas. Fuite des cerveaux © Fotolia - 2016 En exclusivité, France Inter a pu consulter la dernière étude du Conseil d’Analyse Économique, sur la fuite des talents et des sur-diplômés vers l’étranger.
Non seulement les diplômés français partent travailler à l'étranger, mais les diplômés étrangers qui font leurs études qui font leurs études supérieures en France ne restent pas dans notre pays une fois leur diplôme obtenu. La qualité de vie en France n'est pas assez incitative. La France forme-t-elle des élites à perte ? Le Conseil d’Analyse Économique alerte les pouvoirs publics : la lourdeur des démarches administratives françaises pour embaucher un jeune diplômé étranger encourage leur départ. Le nombre d'expatriés a doublé en 30 ans. Le Conseil d’Analyse Économique préconise donc de faciliter la portabilité des points retraites au niveau européen pour faire revenir ces talents. Pour intégrer les réfugiés, l'Allemagne veut créer 100.000 « jobs à un euro » Des blindés à Calais, un CRS témoigne de la jungle aux 10.000 migrants.
Calais : un riverain excédé brandit un fusil en marge de la manifestation pro-migrants. Des migrants de Calais qui s'enculent sur la route. "Une impression de guérilla urbaine" Dossier : Immigration, la gueule de bois de la presse allemande. Début septembre, lorsque l’Allemagne ouvrait grand ses portes aux centaines de milliers de migrants d’Afrique et d’Orient qui arrivaient en Europe, elle se voyait clairement comme le phare de l’humanité.
Sa presse unanime célébrait son humanisme et les Allemands jubilaient : enfin pourraient-ils rompre avec cette image de pays-repoussoir, patrie des panzers et de la dictature nazie ! A peine six semaines plus tard, les voilà qui déchantent en masse. "L'asile est un droit, on n'a pas à réfléchir" "L’asile est un droit, on n’a pas à réfléchir sur pourquoi comment accepter ou pas de quel pays il vient", tonne la cégétiste lors du rassemblement en soutien aux migrants, le 5 septembre 2015 à Paris.
Plusieurs organisations ou associations s’étaient donné rendez-vous place de la République pour demander au gouvernement d’ouvrir les vannes : LICRA, LDH, CGT, Solidaires, Égalité (des féministes)... Le Huffington Post précise l’origine de ce mouvement de solidarité : "Ce rassemblement, intitulé "Pas en notre nom - #RéfugiésMigrantsDignité", "est né d’une discussion sur Facebook, de gens qui se demandaient comment faire pour exprimer quelque chose spontanément (...) dire non aux politiques migratoires répressives qui conduisent à la mort de milliers de personnes et oui à l’accueil", a expliqué à l’AFP l’un des organisateurs, l’auteur et réalisateur Raphaël Glucksmann, fils du philosophe André Glucksmann.
" Ecœurée, une association humanitaire se retire de Calais après avoir vu les migrants brûler nourriture et vêtements. Médias-Presse-Info est une association à but non lucratif.
MPI a besoin de votre aide ! 4.000 combattants de l'EI ont pénétré en Europe en tant que réfugiés. Déferlement de clandestins : Kadhafi avait prévenu l'Europe. La vérité sur l’immigration. Plus de 100 000 clandestins ont franchi les frontières de l'Europe en juillet. Et surtout n’oubliez pas que tous ces migrants, ce sera peut être nous demain.Objectivement, ils sont de note côté Voilà une contradiction logique/discursive.
Des centaines de clandestins prennent d'assaut une gare de Macédoine. Se bousculant et se poussant les uns les autres, des centaines de migrants désirant se rendre en Serbie ont envahi, samedi, le quai de la gare de Guevgueliya, une ville du sud de la Macédoine située près de la frontière du pays avec la Grèce.
Comment la Ville de Paris organise l’hébergement des migrants. Bousculée par l’arrivée massive de migrants et l’installation de campements sauvages en pleine rue ou dans des bâtiments squattés, la Ville de Paris organise l’accueil des clandestins. Un premier centre d’accueil « officiel » a ouvert le 29 juillet dans un ancien hôtel rénové du 14e arrondissement, rue Raymond-Losserand.
Après deux semaines d’occupation par des migrants, la situation semble également se débloquer au lycée Jean-Quarré (19e arrondissement). « Nous souhaitons transformer ce lycée en centre d’accueil temporaire.