Transformation IT : une priorité donnée aux métiers et aux utilisateurs - Intel IT Center Connect. L'État veut développer la facturation électronique. Un portail de télétransmission pour le secteur public local signé Oodrive. 3 référentiels du Clusif sur la sécurité des systèmes industriels. L’emplacement physique des données de moins en moins important? « La localisation physique des données compte toujours à l’heure actuelle, mais elle va perdre progressivement en pertinence au profit de la combinaison de la localisation légale, politique et logique et ce, dans la plupart des organisations d’ici à 2020 », affirment les analystes du Gartner, dans leur dernier rapport. Le cabinet rappelle que ces douze derniers mois, les débats ont été dominés par la souveraineté du stockage, avivée par les révélations d’Edward Snowden sur l’amplitude de la surveillance de la NSA.
En France, des acteurs comme Numergy et Cloudwatt ont clairement communiqué sur la localisation franco-française de leurs datacenters et donc des données, loin du droit de regard américain (Patriot Act). Pour Carsten Casper, vice-président de la recherche Gartner, « les leaders de l’IT ont été empêtrés dans ces discussions mêlant juridique, clients, représentants du personnel, régulateurs et le grand public. Un schéma parfois complexe. L’innovation, avenir des DSI ! | Cabinet de recrutement Paris, digital, web, informatique, télécoms et big data. Par Emmanuel Stanislas, publié le 01 juillet 2014 dans 01 Business Le monde informatique connaît actuellement trois grandes mutations : le Cloud, le Big Data et l’externalisation.
Devant l’industrialisation de ces processus IT, la DSI doit à nouveau évoluer pour conserver sa place et sa légitimité au sein de l’entreprise. Une seule solution : l’innovation. Dans les années 1960, Sema Group fondait la première société de services destinée aux développements de systèmes pour les entreprises, la SACS (Société d’Analyse et de Conception de Systèmes).
L’externalisation informatique ne date donc pas d’hier. En la matière, certaines entreprises ont clairement un profil d’acheteur. Les DSI remises en question ll n’y a que dans Batman Begins que l’innovation est considérée comme un « cul-de-sac ». Dans la vraie vie, l’innovation est cruciale pour la survie des entreprises. Crise identitaire ou guerre d’influence : les deux, mon capitaine ! 20% des sociétés françaises envisagent un système d'information en SaaS. Les entreprises et administrations françaises sont 20% à envisager un système d'information majoritairement externalisé en mode cloud. Seules 5,5% ont déjà franchi le pas. 20% des directeurs informatiques français (incluant DSI, DOSI et directeurs de production) envisagent de basculer, à moyen terme, la majeure partie de leurs systèmes d'information vers des applications en mode SaaS (pour Software as a Service).
Dévoilé dans notre dernière étude menée en partenariat avec le cabinet IT Research et le Club Décision DSI, cet indicateur illustre une tendance de fond en faveur du modèle cloud, à travers lequel les applications deviennent des services distants, externalisées et opérées par un fournisseur. Historiquement, à la question de savoir quelles briques pourraient être éligibles au SaaS, les DSI répondaient les processus de paie, voire la messagerie. Des applications très standard, qui demeurent encore assez loin des systèmes au cœur du métier de l'organisation. Isatech décloisonne l’entreprise | Reportages | MEITO MAG. Avec 11,5 M€ de chiffre d’affaires et une croissance de 20 à 30% par an, Isatech se porte bien. Son métier : elle propose aux PME/PMI, principalement du secteur agroalimentaire, des solutions informatiques intégrées qui collent à leur activité et anticipent leurs futurs besoins. Isatech est devenu partenaire Microsoft sans vraiment l’avoir cherché.
La société, créée en 1983, équipe depuis toujours ses clients en logiciels de gestion. Depuis les années 90, on les appelle ERP (Enterprise Resource Planning) car ils gèrent toutes les ressources de l’entreprise : finances, personnel, machines, matières premières, produits, etc. Elle fait le choix, dans les années 2000, de commercialiser un ERP standard produit par une société danoise qui, finalement, sera rachetée par Microsoft. Lorsqu’il vante les atouts de Dynamics, la gamme d’ERP Microsoft commercialisée par Isatech, Christophe Jourdan sait se montrer convaincant. « D’abord, c’est un investissement sûr en terme de pérennité. Livre blanc ERP - livres blancs classés par thématique. Livre_blanc_dematerialisation.pdf. La simplification des process IT devient une nécessité. Nouveaux rôles de la Fonction SI : Missions, compétences et marketing de la fonction.
Sûreté et risques numériques : scénario d’un serious game. La sécurité numérique est un sujet particulièrement sensible pour les entreprises aujourd’hui, à l’heure où les attaques se font de plus en plus fréquentes et de plus en plus violentes. Face à cela, dans une grande majorité des cas, l’utilisateur est une des lignes de défense les plus importantes, au-delà de l’ensemble des solutions techniques et juridiques que l’entreprise peut déployer. Pourtant, ce sujet reste difficile à aborder, considéré souvent comme technique, contraignant et inintéressant par les collaborateurs. Il est donc primordial de trouver une manière de faire passer les messages clés en matière de sécurité auprès de l’ensemble des employés, par un moyen remportant l’adhésion de tous.
Dans ce contexte, la solution du Serious Game convient parfaitement à la situation. Il comprend un ensemble de situations de la vie courante des collaborateurs de l’entreprise, qui peuvent amener à des risques de sécurité importants pour le patrimoine informationnel de l’entreprise. L'Université de Nantes passe au Software Defined Network. Un décret place le SI de l'Etat sous la responsabilité du Premier Ministre. Le Premier Ministre, Manuel Valls, (crédit : Wikipedia / Jackolan1) Le système d'information et de communication de l'Etat est unifié sous la tutelle du Premier Ministre.
Malgré des dispositions transitoires prises dans un arrêté, le décret du 1er août 2014 implique désormais une gouvernance ferme pour l'ensemble de l'informatique d'Etat. Le décret est paru discrètement, le 1er août 2014, complété par un arrêté qui stipule des dispositions transitoires. Pourtant, c'est bien une petite révolution dont il s'agit. Désormais, tous les systèmes d'information de l'Etat doivent être considérés comme un tout qui est, à partir de maintenant, sous la gouvernance du Premier Ministre. Même si l'arrêté indique que, de manière temporaire, les ministres demeurent aptes à gérer certains systèmes de leur propre initiative, les investissements épars sont terminés.
La première motivation de cette décision est, de toute évidence, budgétaire. Deux instances de gouvernance.