Les jeunes générations sont-elles sacrifiées ? Qu’il s’agisse de l’emploi, de la retraite ou des finances publiques, la question de l’équité entre les générations est une question importante.
Des travaux existent, tels que ceux réalisés par Louis Chauvel et l’équipe dirigée par Hippolyte d’Albis, mais ils n’ont pas encore débouché sur la constitution d’indicateurs phares et consensuels qui mettraient un chiffre sur une réalité perçue. Aux obstacles techniques s’ajoutent des difficultés théoriques, qui tiennent à l’absence de définition partagée de ce que serait l’équité entre générations.
À France Stratégie, nous avons souhaité explorer cette thématique. C’est dans ce contexte qu’un débat a été organisé entre Louis Chauvel, qui explore la question du destin comparé des générations depuis une quinzaine d’années, et Hippolyte d’Albis, qui dirige des travaux soutenus par France Stratégie relatifs aux transferts financiers entres les âges et les générations. La réussite des étudiants selon les difficultés financières et la perception d'une allocation d'études.
Jeunes immigrés et jeunes descendants d’immigrés. En 2014, 85 % des jeunes Français de 18 à 24 ans étaient inscrits sur les listes électorales. Imprimer la page Sébastien Durier et Guillaume Touré, division Enquêtes et études démographiques, Insee Résumé En 2014, 85,0 % des jeunes de 18 à 24 ans de nationalité française sont inscrits sur les listes électorales.
Près de neuf sur dix d’entre eux ont bénéficié d’une inscription d’office. Être inscrit est plus fréquent pour les plus diplômés. Sommaire Publication Les jeunes : plus fréquemment inscrits en 2014 qu’en 2004 En 2014, 85,0 % des jeunes de 18 à 24 ans de nationalité française sont inscrits sur les listes électorales, soit 4,7 points de plus qu’en 2004 (figure 1). Figure 1 - Évolution du taux d'inscription des jeunes de 18 à 24 ans résidant en France (*) Le type d'inscription n'est pas disponible pour les jeunes ayant eu 18 ans entre le 1er mars 2000 et le 28 février 2002. (**) Les données 2014 sont provisoires. A cette même date, 88,1 % de l'ensemble de la population française d'âge adulte étaient inscrits sur les listes électorales.
Haut de page. Les 15-30 ans face aux nouveaux enjeux collectifs. Dans le cadre de l’Observatoire Jeunes Attitudes*, mené fin 2013 dans 4 pays-clés (France, Allemagne, Etats-Unis, Chine), Ipsos a décrypté pour l’Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) les valeurs des moins de trente ans et leur relation aux différentes problématiques « collectives » : engagement politique et associatif, comportements en matière d’environnement, pratiques collaboratives, etc.
Il en ressort que l’engagement traditionnel n’a plus la cote auprès des jeunes aujourd’hui, mais que de nouveaux comportements sont en train d’émerger qui mettent au centre de la vie des jeunes le concept fondamental de « réseau ». Ce concept apparaît ainsi comme un levier-clé pour mobiliser la jeunesse dans les années qui viennent. Activité des jeunes et politiques d'emploi - mai 2014. Bilan de 18 mois d’action pour la jeunesse, et les perspectives 2014-2017. "Nous devons poursuivre cette dynamique dont les ressorts font de la Priorité Jeunesse une politique nouvelle et ambitieuse : privilégier le droit commun, favoriser l’autonomie des jeunes, lutter contre les inégalités et les discriminations et encourager la participation des jeunes au débat public.
Notre objectif : avancer, faire toujours mieux, et surtout faire ce qu’on a dit ! ", a déclaré Valérie Fourneyron, ministre en charge de la jeunesse. Ce deuxième comité interministériel de la jeunesse a été l’occasion de réaffirmer que les jeunes restent une priorité du Gouvernement. L’action transversale sera poursuivie : 24 ministères sont engagés dans le plan d’action comportant 47 mesures réparties en 13 grands chantiers. Ces jeunes Européens à la dérive. Il n’a pas été beaucoup question des jeunes dans les récentes élections européennes.
Sacrifiés dans le débat comme sacrifiés dans leur existence. Car jamais leur situation n’a jamais atteint une telle cote d’alerte. La famille, principal soutien financier des jeunes Français. Comment les jeunes subviennent-ils à leurs besoins ?
Une enquête récente passe au crible les ressources des 18-25 ans. Pour beaucoup, les soutiens familiaux restent la ressource majeure. Il semble difficile de dresser un portrait homogène du « jeune Français » d’aujourd’hui. Certains sont étudiants, d’autres travaillent ou sont au chômage. Et qu’en est-il de leurs ressources ? Les enquêteurs ont alors huit profils-types décrivant ainsi toute une palette de situations : • la « dépendance volontaire » des étudiants qui restent au foyer parental ;
Missions locales : de plus en plus de jeunes reçus, de moins en moins de débouchés. Le taux de chômage des jeunes. Les jeunes, premières victimes de la crise en Europe.
En décembre 2015, 4,454 millions jeunes Européens (hors étudiants) n'avaient pas d'emploi en Europe. Un peu partout dans l'Union européenne, du Portugal à l'Europe de l'Est, les taux de chômage des moins de 25 ans demeurent très élevés. 19,7% des jeunes sont ainsi à la recherche d'un emploi dans l'Union européenne. Ce qui laisse présager une génération "perdue" (22% dans la zone euro). Le taux de chômage dans l'UEEn France, le taux de chômage de l'ensemble de la population active s'élèvait à 10,2 % en décembre 2015.
Voir le comparatif En décembre 2015, 4,454 millions de jeunes de moins de 25 ans étaient au chômage dans l'Union européenne, soit 19,7%, dont 3,057 millions (22%) dans la zone euro. Les différences entre les Etats sont énormes. En comparaison, quatre Etats membres voient une grande proportion de leur population jeune au chômage.