background preloader

Le Marais

Facebook Twitter

Wikiwand. Situation et accès Cette rue sépare en partie les 3e et 4e arrondissements de Paris, les numéros impairs appartenant au 4e et les pairs au 3e.

wikiwand

Les velléités d'élargissement de la voirie parisienne au XIXe siècle ont obligé à bâtir les immeubles de cette époque en retrait de l'alignement ancien de la rue. Beaucoup de vieux bâtiments y subsistant, les ruptures d'alignement sont fréquentes au long de la rue, formant des recoins qui servent généralement au stationnement.

Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Ce site est desservi par la ligne Origine du nom Son nom provient de l'ouverture de « maisons d'aumônes » ouvertes dans cette rue pour de pauvres gens qui étaient exemptés de taxes en raison de leur indigence[1]. Historique En 1609, Vassalieu constate la persistance de deux odonymes puisqu'il la nomme dans son entier « rue des Poulies ou Franc Bourgeois ». « Rue du Paradis » est alors toujours le nom de la partie qui s'étend à l'est de la Vieille Rue du Temple. La rue des Rosiers ou la mémoire réappropriée. Jeanne BRODY CIRE/LAU, Université de Toulouse 13, rue de Châteaudun 31000 Toulouse La rue des Rosiers ou la mémoire réappropriée La rue des Rosiers et les autres quartiers «juifs» de Paris La rue des Rosiers est «Le quartier juif» de Paris.

La rue des Rosiers ou la mémoire réappropriée

Même si ce quartier n'est pas le seul à abriter une proportion importante de Juifs (1) et même si tous les Juifs ne s'y identifient pas de la même manière, on n'entend jamais parler des autres - c'est-à-dire Belle- ville, la rue Richer, Sarcelles - en utilisant l'article défini. Cédé d'au moins dix ans leur installation ailleurs. Ensuite, les autres quartiers dits «juifs» sont chacun peuplés principalement par un groupe particulier.

. (1) J'utilise le terme «Juif» dans son sens social le plus simple: tout homme ou femme qui se considère comme Juif. (2) Voir thèse de 3e cycle: J. Siers: Espace urbain et identité juive, E.H.E.S.S., soutenue en juin 1986 sous la direction de Dominique Schnapper; et J. Pletzl. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pletzl

Un quartier typique[modifier | modifier le code] Le jeudi et le vendredi matin, dans les boulangeries-pâtisseries du quartier, on peut acheter des 'hallot (חלות), les brioches tressées servies au moment du shabbat. Le vendredi soir et le samedi, ainsi que les jours de fêtes juives, tout est fermé. En revanche, le dimanche est un jour ouvré ordinaire (d'autant plus fréquenté que le quartier est maintenant piétonnier le dimanche).

Boulangerie-pâtisserie au 27, rue des Rosiers, tenue par la famille Haarscher au XIXe siècle (photo prise en 1895). Les rues du Pletzl[modifier | modifier le code] Dans les environs[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Pletzl, sur Wikimedia Commons Bibliographie[modifier | modifier le code] Jean-Pierre Azéma (dir.), Vivre et survivre dans le Marais, Éditions Le Manuscrit, 2005 (ISBN 2748151321 et 9782748151329). R. des Francs-Bourgeois - Hôtel d'Albret - 1898 : [photographie] / [Atget] Vivre et survivre dans le Marais. - Google Books. Synagogue de la rue Pavée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Synagogue de la rue Pavée

Histoire[modifier | modifier le code] La synagogue, financée entièrement par des fonds privés, fut inaugurée le 7 juin 1914 sans représentant officiel du Consistoire central. Le célèbre Hazzan Gershon Sirota de Varsovie participe à l'inauguration[2],[3]. La synagogue fait partie des œuvres tardives d'Hector Guimard. Avec son propre hôtel dans le XVIe arrondissement de Paris (1910), la synagogue illustrent, par leur rythme vertical simple et calme, le retour à l'ordre de l'architecture française après 1910[4].

Cette synagogue est toujours en activité. Des hazzanim connus ont officié à cette synagogue, dont Elinke Hirschin (1870-1960)[7] avant la guerre, Simon Pessine (déporté à Auschwitz)[8], Tajg et Fleischer[9]. Description[modifier | modifier le code] Entrée de la Synagogue de la rue Pavée, surmontée d'une étoile de David qui n'est pas d'origine Synagogue de la rue Pavée - détail, signature : « Hector Guimard Architecte 1913 »