En 2033, je ne travaille plus… je transfère. Carrière Le 14/09/2016 Recrutés à la carte selon les projets, les travailleurs de demain enchaîneront les missions et les employeurs. Bienvenue dans l’ère du « transfert ». Nous sommes le 15 mai 2033. Il est 10h27. En 2033, les transferts, ça se passe sur Linkedin, qui est devenue la plateforme de référence, gèrant quasiment l’ensemble du marché de l’emploi.
La première demande de transfert vient d’Airbus. La seconde demande de transfert émane d’une jeune femme, Saharawi, pour un projet d’entrepreneuriat social. La troisième demande de transfert vient de la startup iLand, qui vient de lever une coquette une somme de Bitcoins, et qui a besoin de compétences en marketing stratégique. Après le « Slide to accept transfer », la plateforme numérique s’occupe de tout : le contrat de prestation est automatiquement établi. Convergence des tendances Comment en sommes-nous arrivés là ?
La seconde tendance est venue des réseaux sociaux professionnels. Révolution du monde du travail. "Il ne faut pas tuer les managers de proximité, ils ont un rôle majeur à jouer à l'ère numérique" L’usine digitale : Pourquoi écrire aujourd’hui un article sur la proximité managériale ? Frédéric Petitbon : Il y a au moins deux bonnes raisons. La première vient d’une certaine lassitude que je ressens en entendant les discours convenus entendus dans les entreprises, notamment dans les comités de direction, où j’interviens. On y critique les managers et les RH de proximité, qui seraient incompétents ou inefficaces, voire les deux. Ceci expliquerait les mauvais résultats observés dans les baromètres sociaux, par exemple la mauvaise image de l’entreprise auprès des salariés, toujours selon ses discours.
La deuxième raison vient d’un constat. A l’heure du numérique émergent de nouvelles formes d’organisation et de communication qui ne sont pas assez prises en compte par les dirigeants. Pour eux, la cause et le levier d’action c’est le manager de proximité et seulement lui. En quoi la proximité est-elle nécessaire ? Oui, ni de rapidité dans les évolutions. Oui on entend ce discours. La nouvelle grammaire du succès : la transformation numérique de l'économie française - Rapport au gouvernement. How Technology Is Destroying Jobs. Given his calm and reasoned academic demeanor, it is easy to miss just how provocative Erik Brynjolfsson’s contention really is. Brynjolfsson, a professor at the MIT Sloan School of Management, and his collaborator and coauthor Andrew McAfee have been arguing for the last year and a half that impressive advances in computer technology—from improved industrial robotics to automated translation services—are largely behind the sluggish employment growth of the last 10 to 15 years.
Even more ominous for workers, the MIT academics foresee dismal prospects for many types of jobs as these powerful new technologies are increasingly adopted not only in manufacturing, clerical, and retail work but in professions such as law, financial services, education, and medicine. That robots, automation, and software can replace people might seem obvious to anyone who’s worked in automotive manufacturing or as a travel agent. But Brynjolfsson and McAfee’s claim is more troubling and controversial.
Dr. Accélérer la mutation numérique des entreprises : un gisement de croissance et de compétitivité pour la France | McKinsey en France. Synthèse Alors que le basculement de l’économie française dans l’ère numérique produit chaque jour des effets plus sensibles, enrichissant de manière radicale l’expérience client et révolutionnant les organisations, cette étude s’attache à quantifier et à comprendre finement l’incidence du numérique sur la croissance et la compétitivité de notre pays. Elle évalue également la valeur économique potentielle qui résulterait du plein déploiement des technologies numériques auprès des citoyens, des consommateurs, des pouvoirs publics et des entreprises.
Les comparaisons internationales sur lesquelles elle s’appuie font notamment apparaître un paradoxe : en France, alors que les usages numériques sont largement répandus chez les consommateurs, ils tardent à s’imposer dans les entreprises. Saisir ce potentiel nécessite un environnement socio-économique propice à la mutation numérique. Race Against the Machine: Andrew McAfee at TEDxBoston. Brynjolfsson McAfee Race Against the Machine. Roland Berger Du rattrapage a la transformation 20140929. The second economy. Digitization is creating a second economy that’s vast, automatic, and invisible—thereby bringing the biggest change since the Industrial Revolution.
In 1850, a decade before the Civil War, the United States’ economy was small—it wasn’t much bigger than Italy’s. Forty years later, it was the largest economy in the world. What happened in-between was the railroads. They linked the east of the country to the west, and the interior to both. They gave access to the east’s industrial goods; they made possible economies of scale; they stimulated steel and manufacturing—and the economy was never the same.
Deep changes like this are not unusual. Every so often—every 60 years or so—a body of technology comes along and over several decades, quietly, almost unnoticeably, transforms the economy: it brings new social classes to the fore and creates a different world for business. We could look for one in the genetic technologies, or in nanotech, but their time hasn’t fully come. Aspen root systems. Le modèle "collaboratif" va détruire des emplois. La culture collaborative accroît la productivité, et après ? La collaboration est désormais la nouvelle norme de nos sociétés et de nos entreprises. Le processus est en cours d’affinement, mais il est amené à se poursuivre. De plus en plus de gens en perçoivent les bénéfices évidents : il est tout simplement plus facile de collaborer et de coopérer – souvent de façon virtuelle – que d’être enfermé dans des systèmes et hiérarchies.
Collaboration, intelligence collective et les concepts qui y sont liés, aident à gagner du temps, à mieux résoudre les problèmes, à raccourcir l’accès à des experts ou à des solutions. En bref, cela nous permet d’obtenir de réels gains de productivité au niveau de l’individu, de la société et de l’entreprise. Les activités reposant sur l’arbitrage des imperfections du marché vont se réduire. Une partie des postes de cadres moyens vont disparaître. Le phénomène est parallèle à celui de la "seconde économie" Pourquoi c’est en fait une opportunité pour tous ? The Future of Employment. LES CLASSES MOYENNES FACE À LA TRANSFORMATION DIGITALE | Actualités. A l'horizon 2025, le numérique pourrait supprimer jusqu'à 3 millions d'emplois. Et pour la première fois, la production de biens matériels n’est plus la seule concernée. Les services le sont aussi : big data, digitalisation, machine apprenante, autant de tendances susceptibles de transformer profondément des activités de service, intellectuelles, qu’on croyait jusqu’ici protégées de l’automatisation.
Les classes moyennes des services seraient durement touchées par ce mouvement. Certes la digitalisation de l’économie ouvre de nouvelles perspectives de création d’emplois, notamment dans les domaines de l’environnement, de la performance des entreprises, de la relation client et – bien sûr – des nouvelles technologies elles-mêmes, qui sous-tendent cette évolution. Industry 4.0 building your digital enterprise april 2016.