Générique (cinéma) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Générique des Trois mousquetaires, film de 1933 La première partie du générique présente le plus souvent les acteurs et précise les personnages qu'ils incarnent, elle détaille également l'ensemble du personnel technique ainsi que la musique utilisée. Au fil des décennies, les génériques de cinéma sont devenus de plus en plus longs. Cela tient principalement à la croissance permanente des budgets de production et à une maturation des techniques de réalisation dans le sens d’une plus grande professionnalisation et une plus grande diversification des différents métiers. Par ailleurs, les informations apparaissant au générique sont le plus souvent graphiquement hiérarchisées (taille, graisse, capitales, noms groupés ou isolés, etc.)
Initialement, le générique de début consistait juste en une présentation formelle (titre, participants...). Certains films n'ont pas de générique de début. Certains génériques de fin incluent un bêtisier du film. The Movie title stills collection. GENERIQUE: 1er site dédié au générique de film. Forget the Film, Watch the Titles - Home title sequence. The End : un album. This is the end, my only friend... - Le fil cinéma. GENERIQUE: la mort du mot "Fin" LA MORT DU MOT "FIN" A L'ECRAN Quand la télé pulvérise le nom des hommes par Alexandre Tylski, Université Toulouse II Textes originalement parus dans Les Lettres Françaises (L'Humanité), en novembre 2007 et mars 2008. Chaque cinéphile se souvient peut-être d'une mention à l'écran indiquant le mot « Fin », moment paroxystique qui l'aurait marqué et peut-être fait pleurer.
Comme d'autres « oripeaux » dont s'est débarrassé le cinéma, au long de son industrialisation, le mot écrit « Fin » a fait partie de ces courts instants de cinéma (et même propres au cinéma) capables de rester ancrés dans la mémoire des spectateurs ; d'un certain « âge d'or » classique où la mention « Fin » servait à ponctuer, voire à ponctionner, les films, jusqu'à sa disparition progressive et actuelle - sauf lors de rares emplois récents, parfois teintés de nostalgie ou de parodie. Quand le petit écran pulvérise le nom des hommes Chronique "This is the end, my only friend... "