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Action sur le cerveau (neurotransmetteurs)

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Comment les drogues influencent le cerveau. La chimie de la perception - Réviser le cours - Sciences - Première ES. La perception met en jeu des capteurs, les récepteurs sensoriels.

La chimie de la perception - Réviser le cours - Sciences - Première ES

Ces capteurs sont des cellules nerveuses capables de transformer l'information reçue (lumineuse, tactile, etc.) en message nerveux. Celui-ci doit être transmis aux autres neurones puis au(x) centre(s) nerveux adapté(s) avec une fiabilité optimale. De plus, une information nerveuse ne doit arriver qu'une seule fois aux centres nerveux. LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Plusieurs structures spécialisées permettent de reconnaître le neurone pré- du neurone post-synaptique: Dans le bouton terminal de l'axone pré-synaptique, on peut observer des mitochondries ainsi que des microtubules qui permettent le transport des neurotransmetteurs du corps cellulaire (où ils sont produits) jusqu'au bout de l'axone.

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(cliquez sur 2. Axonal Transport) On peut aussi y voir des vésicules sphériques remplies de neurotransmetteurs. Ces derniers seront excrétés par fusion de la membrane des vésicules avec celle du bouton pré-synaptique, un processus appelé exocytose. LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Mecanisme synaptique de l'addiction: Dopamine et glutamate. Complexité du cerveau humain.avi. LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Le cannabis La sensation d’euphorie légère, de relaxation et de perceptions auditives et visuelles amplifiées que produit la marijuana s’explique presque entièrement par son action sur les récepteurs cannabinoïdes.

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Ces récepteurs sont présents un peu partout dans le cerveau et une molécule endogène qui s’y lie naturellement, l’anandamide, a été identifiée. On est donc en présence du même cas de figure qu’avec les opiacés qui se lient directement sur les récepteurs aux endorphines, nos morphines naturelles. L’anandamide participe à la régulation de l’humeur, de la mémoire, de l’appétit, de la douleur, de la cognition et des émotions. Lorsqu’on introduit du cannabis dans l’organisme, son ingrédient actif, le Delta-9-tetrahydrocannabinol (ou THC), peut donc perturber toutes ces fonctions. LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Près de 15 % des hommes et de 30 % des femmes avouent avoir des envies compulsives de chocolat.

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On connaît plus de 300 substances qui composent le chocolat. Parmi celles-ci, on en a effectivement identifié certaines qui pourraient provoquer des effets de dépendance comme la caféine et la théobromine, un autre stimulant un peu moins puissant. Mais ces substances se retrouveraient en trop faible quantité pour avoir vraiment un effet. Même chose pour la présence de phényléthylamine, une substance reliée à une famille de stimulants appelés amphétamines.

A titre d'exemple, le chocolat contient moins de phényléthylamine que le fromage de chèvre. Enfin, récemment, un neurotransmetteur naturellement produit par le cerveau, l'anandamide, a été isolé dans le chocolat. Quoi qu'il en soit, plusieurs scientifiques s'accordent pour dire que la dépendance au chocolat pourrait être simplement due à son bon goût qui entraîne une sensation de plaisir intense qu'on veut renouveler. LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! La dépendance physique est une réaction physiologique de l'organisme à l'absence du produit.

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C’est un état de manque qui s’accompagne de symptômes physiques incommodants appelés le sevrage (voir encadré). La dépendance physique survient lors de la privation de plusieurs drogues tels que les opiacés (dérivés de l'opium), le tabac, l'alcool et certains . Celle-ci engendre des malaises physiques qui varient selon le produit : douleurs avec les opiacés, tremblements majeurs avec l'alcool, convulsions avec les barbituriques et les benzodiazépines. En fait, la plupart des symptômes de sevrage sont les opposés de ceux observés en cas d'intoxication avec la même substance.

Ceci s’explique par les voies compensatoires développées par le cerveau et qui se révèlent soudainement en trop. Il peut être très dangereux, voire mortel, d'arrêter brusquement la consommation de certains psychotropes consommés régulièrement . Présentation "Les drogues et le cerveau. Marijuana Nom scientifique: Cannabis sativa Il contient une chimique sappelle THC (delta 9 tetrahydrocannabinol)" Complexité du cerveau humain.avi. L'action des drogues sur le cerveau. Les stupéfiants qui influencent le plus fortement l’humeur sont les opiacés et les psychostimulants.

L'action des drogues sur le cerveau

Les psychostimulants ont pour effet d’accroitre la vigilance et réduisent les sensations de fatigue. A l’inverse, les opiacés ont un effet sédatif. En dépit des effets radicalement opposés de ces deux types de substances, elles ont la propriété commune d’augmenter la libération de dopamine, un neuromédiateur synthétisé par les cellules nerveuses du cerveau. En réalité, l’ensemble des drogues comme le tabac, l’alcool, l’ecstasy, l’héroïne, les médicaments psychoactifs ou bien encore le cannabis possèdent la même propriété et c’est précisément cette dernière qui rend les consommateurs « accros ». La dopamine est le neuromédiateur du plaisir. Synapse L’influx nerveux est un message de nature électrique qui se transmet de proche en proche le long des cellules nerveuses ou neurones.

R devenir chimique. Connexion entre deux neurones.