Les secrétaire au trésors US. Timothy F. Geithner. Jacob "Jack" Lew. L'Union européenne cède à toutes les exigences des Etats-Unis, même à celles qui sont contraires à ses principes les plus fondamentaux. 'Début 2012, l'UE a abandonné une clause anti-espionnage sous la press. Au début de cette semaine, la Commissaire Européenne à la Justice, Viviane Reding, a fait part de sa colère concernant le programme de surveillance sur une vaste échelle des citoyens américains, PRISM.
Mais selon le Financial Times et Reuters, la Commission Européenne se serait pliée aux pressions du gouvernement américain, et au début de l’année 2012, elle aurait supprimé une mesure de protection des données qui aurait considérablement limité les possibilités offertes à la NSA pour espionner les citoyens européens. Cette mesure, surnommée «clause anti-FISA» (Foreign Intelligence Surveillance Act), avait été rédigée pour empêcher les mises sur écoutes des Etats-Unis des appels internationaux et des emails.
Elle a suscité un intense lobbying de la part de Washington, qui réclamait sa suppression. L'exception culturelle française ne fait pas rire Obama. L’Italie dans le business de guerre du F-35. Il existe trois projets de F-35 : (A) à décollage conventionnel (B) à décollage court (C) à décollage adaptable. Il y a onze ans, le 30 mai 2002, nous exposions dans quelle situation se trouvait amenée l’Italie en adhérant au programme du Joint Strike Fighter , le chasseur construit par la firme Lockheed Martin (rebaptisé ensuite F-35 Lightning parce que « comme la foudre il frappe l’ennemi avec une force destructive et de façon inattendue »).
La veille, on avait annoncé l’entrée des principales industries aérospatiales italiennes dans le programme JSF, en louant les avantages qu’il aurait apportés en termes d’emploi et de gains. Il était clair alors que, dans un secteur à haute-technologie comme celui de l’aérospatiale, l’augmentation de postes de travail aurait été très limitée et que, tandis que l’argent des contrats serait entré dans les caisses de sociétés privées, celui de l’achat des chasseurs serait sorti des caisses publiques.
John Kerry, en tournée européenne, parle avec Cameron de la Syrie. LONDRES (AFP) - Le secrétaire d'Etat américain John Kerry s'entretenait lundi avec le Premier ministre britannique David Cameron et son homologue William Hague, première étape d'une tournée en Europe et dans le monde arabe pour parler des crises internationales syrienne et iranienne. Mais ce premier voyage à l'étranger du nouveau patron de la diplomatie américaine risque d'être gâché par la menace brandie par l'opposition syrienne de boycotter une réunion internationale jeudi à Rome. Arrivé dimanche soir à Londres, M. Kerry a rencontré lundi matin M. Cameron avant des entretiens avec M. Hague et avec le chef des services du renseignement extérieur MI6, John Sawers. Un point de presse des deux ministres des Affaires étrangères est prévu en début d'après-midi.
M. Les étapes européennes de la tournée de M. Des diplomates faisaient état de grandes divisions au sein de l'opposition syrienne, entre les combattants en Syrie et les responsables politiques en exil. M. M. M. "Obama a donné à Cameron l’ordre de rester en Europe" David Cameron a une nouvelle fois repoussé ce vendredi son grand discours sur l’Europe, que l’on attendait déjà avant Noël. Pourquoi selon vous ? Le premier ministre est dans un corner. Son parti est très divisé. 68% des conservateurs sont pour une sortie de l’Union européenne. Le UK Independence Party (UKIP) (ndlr, mouvement nationaliste et anti européen) talonne le parti conservateur dans les sondages.
Cameron ne sait pas quoi faire. Dans ce contexte, il est intéressant de voir que Barack Obama lui a donné l’ordre de rester en Europe. Qu’est-ce qui motive Obama selon vous ? Les Etats-Unis perçoivent la Grande-Bretagne comme l’endroit par lequel on peut entrer en Europe, de la façon la plus profitable. Que peut annoncer Cameron dans le discours sur l'Europe qu'il vient de reporter à cause de la guerre au Mali ? Il avait promis un référendum sur l’Europe avant d’être élu. Cameron aime-t-il l’Europe ? Je ne suis pas dans son cœur ! Il est très fort et il a récemment grandi. L'UE remet au pot pour Kaboul.
Publicité ALLIANCE ATLANTIQUE. Le secrétaire d'État américain, Condoleezza Rice, a indiqué, hier, à ses partenaires de l'Otan, à Bruxelles, que les États-Unis étaient prêts à ajouter 10,6 milliards de dollars de contributions pour l'Afghanistan. Sur cette enveloppe, qui doit encore être approuvée par le Congrès à Washington, une somme de 2 milliards de dollars serait affectée à la reconstruction et 8,6 milliards de dollars à l»entraînement de l'armée et de la police afghane. Mal payée, sous-équipée, l'armée afghane n'est pas capable de relever les défis sécuritaires. Sous la pression des États-Unis, l'Union européenne a annoncé, hier, une nouvelle aide de 600 millions d'euros en faveur du secteur judiciaire afghan. Depuis 2002, les Européens ont consacré un total de 2 milliards d'euros à la reconstruction de l'Afghanistan.
Le secrétaire d'Etat US aux Transports pense que la taxe CO2 de l'Europe est "minable" L'Union européenne élargit les sanctions contre l'Iran. Les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne réunis à Bruxelles ont étendu les sanctions à l'encontre de l'Iran, a annoncé vendredi à RIA Novosti un porte-parole du Conseil de l'UE. "Le décret approuvé aujourd'hui comprend plusieurs mesures concrètes concertées par les chefs des diplomaties des pays membres de l'UE en janvier, dont des restrictions sur la vente de pétrole et de produits pétroliers et le gel des actifs de la Banque centrale iranienne", a fait savoir l'interlocuteur de l'agence.
Selon lui, les nouvelles sanctions entreront en vigueur après la publication du décret le 24 mars. En outre, les autorités de l'UE ont ajouté 17 noms à la "liste noire" des responsables iraniens faisant l'objet de restrictions de visa et de gel d'avoirs. Précédemment, l'Union avait décrété des sanctions à l'encontre de 61 personnalités iraniennes. ONU : Les Etats-Unis et l’Union européenne font obstacle à la justice concernant le conflit de Gaza. (Genève, le 30 septembre 2009) - Le refus des gouvernements des Etats-Unis et de l'Union européenne d'avaliser le rapport de la Mission d'établissement des faits sur le conflit de Gaza adresse un message selon lequel les violations graves des lois de la guerre seront traitées avec mansuétude si elles sont commises par un allié, a déclaré Human Rights Watch aujourd'hui. Le 29 septembre 2009, le juge Richard Goldstone a présenté au Conseil des droits de l'homme de l'ONU le rapport de la mission sur le conflit de Gaza qui s'est déroulé en décembre et janvier dernier.
Le juge Goldstone a appelé les membres du Conseil à approuver les recommandations du rapport, notamment celles qui sont destinées à lutter contre l'impunité pour les violations graves des lois de la guerre au cours du conflit de Gaza en impliquant la stature et l'influence du Conseil de sécurité de l'ONU.