Pédagogie : l'innovation tous azimuts. Le Tamagocours, un serious game pour les futurs enseignants (juin 2014) Former les futurs enseignants au Certificat Informatique et Internet de Niveau 2 Enseignant.
Tel est l'objectif du Tamagocours. Un "serious game" directement inspiré des fameux Tamagotchi. Développé par une équipe d'EducTice, le jeu Tamagocours devrait être accessible aux différentes Espé dans le courant de l'année 2015. Présentation à l'occasion des Journées du e-learning, les 26 et 27 juin à Lyon. Lire l'article L'INP Toulouse forme ses enseignants aux pédagogies actives (juin 2014) À l'INP Toulouse, les pédagogies innovantes cherchent leur voie mais obtiennent leurs premiers résultats. Lire l'article Quand les écoles passent en mode design (juin 2014) Échelle multi-usage, 21 pi. EDIF%202014. Ecole 42 : témoignage d’un étudiant. Avant 42 Jean-Jacques, 30 ans, rêve de devenir analyste-programmeur depuis le collège.
A l’époque, ses profs lui ont expliqué qu’il ne pourrait pas réaliser son rêve à moins de faire de longues et dures études. Découragé par le système scolaire, il abandonne le lycée et entre dans la vie professionnelle. Mais l’année dernière, il entend parler de la création d’une nouvelle école, étrangement nommée « 42 » (seuls les fans de Douglas Adams, auteur de science-fiction, comprendront la référence), dont l’ambition affichée est de devenir la meilleure école d’informatique de France. L’entrée à 42 Pour intégrer cette école, nul besoin de présenter un diplôme, car à 42, on pense que « le système éducatif traditionnel est globalement inapte à dénicher les talents[1] ». Cela a achevé de convaincre Jean-Jacques qui a passé les tests de sélection avec succès. Apprendre à apprendre En effet, le fonctionnement de l’école repose entièrement sur l’autonomie des élèves : Littératie numérique. Episodes vidéo de la série. Les défis de l’école d’aujourd’hui.
Internet, nouveau Far West ? Morale et numérique ?
J’en vois venir certains qui penseraient aussitôt risques, dérives, harcèlement voire pédophilie et nazisme ! Ne comptez pas sur moi pour nourrir ces diabolisations et vouloir moraliser internet. Je ne nie pas ces risques, à relativiser cependant, et crois profondément qu’internet n’est qu’un vecteur de questions morales qui préexistaient et qu’il n’a pas créées. Tout au plus en modifie-t-il parfois les conséquences. Il me semble plus intéressant de tenter de déterminer si internet et la culture numérique, qui font partie intégrante de notre société, modifient, réinterrogent ou remettent au gout du jour certaines de nos valeurs morales. En effet, les valeurs auxquelles on se réfère pour se forger un jugement moral n’ont de sens qu’en contexte. Copier, est-ce forcément voler ? Voilà un thème intéressant et à l’ordre du jour pour tous. Les modèles d’appropriation des TIC : une question de doigté pédagogique. « On n’est jamais à l’outil d’abord. » (Lucie Pearson) « On n’a pas encore réalisé l’ampleur de l’impact des TIC en éducation. » (@zecool) Les enseignants qui explorent les technologies pour enseigner et apprendre auront probablement croisé le modèle SAMR, …le modèle TPACK …ou plus récemment le modèle ASPID.
Ces représentations visuelles contribuent grandement aux éducateurs de se faire une tête autour de la démarche d’appropriation des TIC et de leur intégration judicieuse en enseignement et apprentissage. Cet article de Matt Miller, Rethinking SAMR, TPACK and using technology well, m’amène à cogiter un peu plus sur le sujet… Chose promise, chose due : Tout comme cet éducateur, je voyais avant tout ces modèles comme un projet d’ascension d’une montagne, avec tous les efforts nécessaires pour en arriver au sommet (le R de SAMR ou la zone centrée de TPACK). Je m’explique. Tout en saisissant la portée d’une redéfinition de tâches auparavant inconcevables, le R de SAMR reste une référence. Baromètre Inria 2014 : les français à la conquête du numérique. « Déconnecté », « distant » ou total « homo numericus » : quel genre d'usager du numérique êtes-vous ?
Réponse avec l’Inria et TNS Sofres, qui viennent de publier la deuxième édition de leur baromètre sur les rapports qu’entretiennent les Français vis-à-vis des nouvelles technologies. Souvenez-vous : la précédente étude, publiée en 2011, définissait six comportements-types face à la révolution en cours. Un test en ligne vous permettait de savoir si vous étiez plutôt grand explorateur, baroudeur pragmatique, randonneur vigilant ou révolté du numérique...
Cette année encore, les résultats de l'étude sont racontés dans une infographie plutôt ludique. Anglée sous le titre « Le pouvoir d’agir », elle révèle une intéressante évolution des usages. Le français, un Homo Numericus convaincu ? Sans surprise, on découvre en premier lieu que l’ "Homo Numericus" - à savoir l’homme pour qui les outils numériques sont devenus indispensables, se porte bien. L’ère de l’empowerment.