Le risque de réputation, le mal du siècle : un dossier de la revue Risques n° 97. Le secteur du luxe sensible aux risques réputation et supply chain (étude Ace) – Digest argusdelassurance.com. Par THOMAS BAUME Publié le : 23/06/2014 Document paru le : 22/06/2014 prévention des risques | ACE | Environnement Le secteur du luxe sensible aux risques réputation et supply chain (étude Ace) L’assureur Ace vient de présenter une étude menée auprès de 45 risk-managers intervenant dans des entreprises du secteur du luxe enregistrant un chiffre d’affaires annuel allant de 180 M€ à plus de 730 M€.
Ces derniers sont basés dans neuf pays européens : Royaume-Uni, France, Espagne, Suisse, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Belgique et Luxembourg. Le risque réputationnel en tête Alors que les risk-managers interrogés sont 75% à estimer que la réputation est l’actif le plus important de leur entreprise, 80% d’entre eux pensent que ce risque est plus difficile à gérer que les risques traditionnels. La supply chain au centre des préoccupations Autre risque identifié comme critique par le panel de répondants : celui de la rupture de la chaîne d’approvisionnement. Axa vidéo e réputation du professionnel. Agroalimentaire : Gras Savoye s'attaque à la couverture du risque réputation. Swiss Life couvre les atteintes à la réputation sur Internet. Protection juridique : Swiss Life défend la réputation des internautes.
L'assureur met à la disposition des particuliers un arsenal jurique et technique pour les aider à supprimer des données privées publiées sur Internet sans leur consentement.
Soigner sa réputation sur Internet est de plus en plus important : pour un recruteur, les photos d'une soirée trop arrosée ne sont pas du meilleur effet... SwissLife s'engouffre dans la brèche avec son contrat E-Réputation. Attaquer et noyer Pour 9,90€ par mois, l'assuré et sa famille sont couverts en cas de dénigrement, injure, diffamation, ou si des informations sont publiées sur Internet sans leur consentement. « Nous aurions pu ajouter une garantie à notre protection juridique, mais nous avons préféré créer un contrat dédié. Cela donne à cette offre davantage de visibilité et permet de régler le plus efficacement possible le problème de l'assuré », explique Pierre François, directeur général de Swiss Life assurances de biens.
DAS enrichit son contrat de protection juridique. La e-réputation pour fidéliser et conquérir. Afin d'avoir une image attrayante sur Internet, il vaut mieux mener de front une stratégie défensive pour contrer les avis négatifs et une stratégie offensive pour créer des contenus positifs.
Bien maîtrisée, l'image sur le Web peut devenir un réel outil de fidélisation. Tous les médias sociaux mettent sur la place publique et amplifient les dysfonctionnements et les désaccords qui peuvent exister entre une entreprise et ses clients. Jean-Louis Delpérié, directeur au sein du cabinet Exton Consulting, estime que le secteur de l'assurance est encore relativement épargné, car « la majorité des consommateurs n'ont pas encore le réflexe d'aller voir les avis laissés sur les assureurs ou leurs contrats avant de souscrire. Ils ont confiance dans les marques, et peuvent aller en agence en cas de doute ».
Rattraper les clients Réagir permet de conserver un client, mais également de montrer aux internautes qui liront le message que l'entreprise sait être à l'écoute et réactif. Ils témoignent... Swiss Life nettoie la Toile. L'assureur protège la réputation des internautes grâce à des moyens techniques et juridiques pour lutter contre la diffusion d'informations malveillantes sur le Web.
Selon une enquête de Harris Interactive réalisée en 2011, pas moins de 7 internautes sur 10 ignorent de quelle manière ils pourraient faire supprimer des données négatives les concernant qui seraient diffusées à leur insu sur internet. Et ce, alors que 60% des personnes interrogées ont conscience que des informations mises en ligne sans leur accord pourraient gravement affecter leur vie professionnelle.
Le contrat lancé en juin 2011 par la compagnie Swiss Life, pionnier sur ce créneau, entend apporter des réponses à ces préoccupations. Les entreprises s’estiment insuffisamment couvertes contre le risque de réputation. Les entreprises s'estiment insuffisamment couvertes. La Maif et la Mairie de Paris sensibilisent les jeunes à l’e-réputation sur Twitter. Après Facebook, la Maif et la Mairie de Paris étendent cette année leur plate-forme de prévention des risques liés à l’usage des réseaux sociaux à Twitter.
Lancé en 2013, le site «Soyez net sur le Net» permet d’évaluer son e-réputation sur Facebook à travers un système de notation et propose d’apprendre à paramétrer les critères de confidentialité de son compte grâce à des tutoriels ludiques. Plus de 450 000 personnes se sont déjà connectées pour faire le test. Depuis le 17 avril, un nouveau module accessible aux internautes permettra également d’apprécier son e-réputation sur le site de microblogging Twitter.
Et ce, alors que plus de 4,5 millions de Français utilisent Twitter, dont 1,1 million en Ile-de-France. Parmi ces utilisateurs franciliens, 61% ont moins de 35 ans. Un test pour définir son e-comportement Réalisé en partenariat avec l'agence spécialisée Reputation Squad, le test consiste en une série de questions adressées aux internautes. Réassurance : la preuve par l'innovation (RVS) April veut faciliter le quotidien de ses assurés avec son produit Confort de Vie + La e-réputation pour fidéliser et conquérir.