Castagniccia : l'incroyable découverte de deux cercueils de l'âge du Bronze. C'est le type de chantier qui marque forcément la carrière d'un archéologue. " Franck Leandri, conservateur régional de l'archéologie à la direction des affaires culturelles, en a les yeux qui brillent encore. Le week-end dernier, lui et ses confrères ont mené à bien la récupération des restes de deux cercueils en bois remontant à l'âge du Bronze final - soit aux alentours de 1200 av.
J. -C. - dans une cavité située à flanc de falaise, sur la commune de Lano, en Castagniccia. C'est grâce au matériel et aux compétences des spéléologues d'I Topi Pinnuti, que les archéologues ont pu accéder au site. En début d'année, lorsqu'ils sont contactés par les spéléologues Jean-Claude La Milza et Jean-Yves Courtois (lire page ci-contre), les archéologues sont loin d'imaginer la portée de la découverte réalisée par ces derniers. Un dispositif impressionnant et très technique a été mis en place pour sortir les vestiges de la cavité dans laquelle ils dormaient depuis plus de 3 000 ans.
Des dents de 400 000 ans révèlent la pollution préhistorique. Une série de dents vieilles de 400 000 ans, découvertes dans une grotte aux alentours de Tel Aviv, a révélé des nouvelles informations sur la vie quotidienne de l’homme préhistorique, ont annoncé des scientifiques israéliens mercredi. Recevez gratuitement notre édition quotidienne par mail pour ne rien manquer du meilleur de l'info Inscription gratuite! Une équipe de chercheurs de l’Université de Tel Aviv, avec des collègues d’Espagne, du Royaume-Uni et de l’Australie, ont trouvé des traces minuscules de nourriture, des polluants et peut-être des restes d’instruments d’hygiène dentaire rudimentaire dans la plaque des dents, donnant ainsi un aperçu rare sur le style de vie des permiers humains, a noté un communiqué de presse de l’université.
Les dents ont été découvertes dans une grotte en dehors de Tel Aviv, où elles étaient restées sans être dérangées pendant des centaines de milliers d’années jusqu’à ce qu’une équipe les retire de la terre en 2011. Et si les premiers outils n'étaient pas l'oeuvre du genre humain ? C’est une découverte majeure dévoilée aujourd’hui dans la célèbre revue Nature. Une équipe scientifique franco-américano-kenyane a mis au jour des pierres taillées bien plus anciennes que tout ce qui était connu jusqu’ici. De quoi remettre potentiellement en cause la paternité des premiers outils taillés dans la pierre et ainsi bouleverser peut-être l’histoire des hominidés. Hélène Roche, directrice de recherche émérite au CNRS et coauteur de ces travaux, nous explique cette découverte en détail. Le Point.fr : À quoi ressemblent les lieux où ces outils ont été retrouvés ?
Hélène Roche : Ces objets ont été mis au jour tout à fait au nord du Kenya, sur la rive ouest du lac Turkana. Une région semi-aride, désertique, où l’on trouve des formations sédimentaires, c’est-à-dire des empilements de couches de sédiments permettant de remonter dans le temps. De quel type d’outils parle-t-on et comment parvient-on à savoir qu’ils ont été façonnés par la main d’un être, quel qu’il soit ? Bien sûr. Kenya. Une découverte qui fera date - Histoire. Les plus vieux outils du monde. Menée par une archéologue française, une équipe vient de découvrir les plus anciens outils du monde. Ils datent d’avant l’apparition du genre humain. Les archéologues à la recherche du site − MPK-WTAP C’est un scénario qui avait survécu à bien des vicissitudes.
Il vient d’être mis à mal par un article très attendu de la revue Nature. Jusqu’ici, pour les outils, tout commençait il y a entre 3 et 2 millions d’années. Cette lignée, le genre Homo, aurait alors quitté définitivement les arbres pour devenir, de plus en plus, un fabricant d’outils. Curieusement, les premiers tailleurs d’outils semblaient déjà assez expérimentés. La découverte Celle-ci a une idée derrière la tête. « Et s’il existait des sites encore plus vieux que Lokalalei au Kenya ?
Vue générale de la zone où ont été découverts les outils − MPK-WTAP L’équipe, munie de talkie-walkies, se disperse. Les géologues confirment que les sédiments où se trouvent les pierres sont bien ces couches anciennes que recherchait l’équipe. Lokiarchaeota, le chaînon manquant de l'évolution vient d'être découvert. Sciences - Santé Loki's Castle est le nom d'une célèbre fissure géothermique, entre le Groenland et la Norvège. C'est là, dans les sédiments marins de l'Arctique, qu'une forme inédite de vie a été découverte.
Elle ne rentre dans aucune des classifications établies pour identifier la vie sur Terre. Et, d'après les chercheurs qui l'ont découverte, elle pourrait bien être le chaînon manquant de l'évolution. Son nom: Lokiarchaeota. Tous les êtres vivants terrestres sont classés en deux catégories fondamentales, explique Slate. Les premiers procaryotes seraient apparus sur Terre il y a quatre milliards d'années, et les eucaryotes, évolution des procaryotes, sont arrivés ensuite. La pièce manquante du puzzle Le Lokiarchaeota pourrait apporter la réponse. Outre la présence d'un noyau chez l'un et non chez l'autre, il faut relever la présence chez les eucaryotes de mitochondries, sorte de "batteries", qui donne l'énergie nécessaire à la survie des eucaryotes. Comprendre l'évolution. Les Découvertes Archéologiques: La civilisation de l'ile de Pâques n'aurait pas connu un simple effondrement. Les scientifiques semblent s'approcher un peu plus près de la vérité concernant ce qui est arrivé aux habitants de l'Ile de Pâques, dans le sud-est du Pacifique.
Jusqu'ici, des chercheurs ont théorisé qu'une civilisation entière (les Rapa Nui) s'est effondrée soit en raison d'une forte augmentation de la population, soit d'une mauvaise gestion des terres, soit du rat polynésien, ou encore en raison d'une combinaison de ces trois éléments. D'autres chercheurs ont fait remarquer que la population a pu aussi être décimée par la variole, la syphilis et la tuberculose introduites pas les européens au 18ème siècle.
Les mystérieuses statues Moaï érigées par les Rapa Nui de la préhistoire sur l'ïle de Pâques. Gallor Doval, Wikimedia Commons. Mais, d'après Christopher Stevenson, de la Virginia Commonwealth University, et ses collègues, ce qui s'est passé pourrait être encore plus complexe et subtil. Un jardin de pierres Rapa Nui Rock, avec le volcan Poike en arrière plan. Source: Des vers préhistoriques dévoraient les os des dinosaures marins.
CRÉTACÉ. Il y a 100 millions d'années, les plésiosaures, de gigantesques reptiles marins au cou démesuré, prospéraient dans les océans du crétacé. Et lorsque des cadavres de ces géants des mers tombaient au fond des océans, des vers nécrophage de 3 à 4 cm venaient faire bombance de leurs ossements. C'est ce que relate une équipe de chercheurs de l'université de Plymouth, en Grande-Bretagne, dans un article publié mercredi 15 avril 2015 dans le magazine Biology Letters. En effet, les chercheurs ont découvert sur des fossiles de plésiosaures des marques de forage identiques en tous points à celles que l’on retrouve aujourd’hui sur les os des grands cétacés après que la cohorte des nécrophages a mis les os à nu. Fossile d’humérus de plésiosaure. Les flèches indiquent les endroits où les traces de forage ont été repérées. © Biology Letters / Silvia Danise , Nicholas D.
La même image en vue transversale grâce à un scanner à rayons X. Pourquoi l'archéologie préventive? Faire le tour à 360° et de façon ludique de toutes les questions qui se posent aujourd’hui dans nos sociétés en pleine mutation : Questions de science, de société, de technologie, de psychologie, d’écologie ou d’économie… Le monde évolue vite et nous avec, au nord comme au sud de la planète. Alors comment on s’adapte ? Pourquoi c’est comme ça ? D’où ça vient ? A quoi ça sert ? En quoi ça nous touche ? Pour répondre : chaque jour, un chercheur de tous horizons et une multiplication de points de vue différents, pour comprendre et éclairer notre présent tout en imaginant les scénarios de nos futurs. Autour de la question, une émission interactive quotidienne, présentée par : - Caroline Lachowsky les lundi, mardi, mercredi, jeudi (avec la collaboration de Caroline Filliette et Guillaume Ploquin à la réalisation) - Sophie Joubert, le vendredi (avec la collaboration de Cécile Bonici).
Archeologia.be - L'Abécédaire de l'Archéologie. Brèves archéologiques. Les découvertes archéologiques. Archéologie : Toute l'actualité sur Le Monde.fr. Archaeological News. About Archaeology - The Study of Human History. Current Archaeology. Home | The Archaeology Channel - The Archaeology Channel. ARCHEONIEUWS - Archaeological headlines. Archeographe | Le Webzine de votre patrimoine - ISSN 2257-6045. EurekAlert! - Archaeology.
Proche Orient. Europe. Japon. Chine. Cambodge. Amérique Centrale. Egypte. Paléontologie. Inde - Népal. Les archéologues mettent au jour le plus ancien calendier lunaire au monde. Les archéologues ont mis au jour des preuves de ce qui pourrait être le plus ancien calendrier du monde dans un champ d'Aberdeenshire.
Diagramme montrant comment les fosses sont alignées et la façon dont elles servent à repèrer les phases de la lune. Une nouvelle étude d'un groupe de 12 fosses fouillées à Warren Field, près du château de Crathes, montre qu'elles semblent concorder aux phases de la lune pour suivre les mois lunaires tout au long d'une année. Jusqu'à présent, les premiers appareils de mesure du temps étaient considérés comme ayant été créés en Mésopotamie il y a environ 5000 ans. Mais les experts disent que ce système de fosse pourrait précéder ces découvertes de cinq millénaires !
Ce monument Mésolithique est susceptible d'avoir été créé par les sociétés de chasseurs-cueilleurs il y a près de 10.000 ans. Il a été fouillé entre 2004 et 2006 avant d'être récemment analysé par une équipe dirigée par l'Université de Birmingham. Source: Une nouvelle espèce humaine pourrait avoir été découverte à Taïwan. Repêché au large des îles taïwanaises de Penghu, le fossile d'une mâchoire révèle qu'un groupe inconnu d'hominidés aurait pu côtoyer l'homme moderne il y a encore 10.000 ans.
Ce pêcheur taïwanais opérant au large des îles Penghu, entre Taïwan et la Chine, ne se doutait pas de la portée de sa découverte lorsqu'il a revendu à un antiquaire une énigmatique mandibule remontée en 2008 dans ses filets. Une trouvaille de nature à remettre en question l'histoire de l'évolution de l'homme. Les chercheurs du musée des Sciences naturelles de Taïwan sont formels: ce morceau de mâchoire inférieure droit n'appartiendrait à aucune espèce humaine connue à ce jour. Selon les scientifiques taïwanais, japonais et australiens qui l'ont étudiée pendant quatre ans, la mandibule en bon état de conservation se distingue nettement de celle des autres groupes humains.
Un âge plutôt jeune Plus surprenant, l'analyse du fluor et du sodium indique que le spécimen a probablement vécu il y a 10.000 à 190.000 ans.