Mais qu’est-ce que tu fabriques ? FabLabs et makerspaces: état de l’art et perspectives – séance 2 / PARIS DAUPHINE. Cercle-innovation-23sept.jpg Les Fab Labs et makerspaces sont à la mode.
Le concept existe depuis 2001 (Gershenfeld, au MIT) et de très nombreux fab labs et makerspaces se sont créés depuis, tant en entreprise que de façon plus ouverte. Ces « tiers-lieux de l’innovation », laboratoires de fabrication (fab labs), espaces de réalisation (makerspaces) sont très divers, mais ils correspondent tous à l’idée d’un réseau d’équipements, de lieux et de personnes qui veulent produire ensemble des choses et échanger de la connaissance. Ce ne sont pas tant les machines (en particulier digitales) qui sont importantes que la dimension communautaire. Cette deuxième séance, s’est intéressée aux Fab Labs et makerpsaces d’entreprises.
Le Teatro Valle de Rome, lieu de la résistance artistique italienne. Le Teatro Valle à Rome Aude Lavigne © Radio France Déclaré « bien culturel et artistique commun », le théâtre Valle, situé au coeur de la capitale italienne, est devenu le symbole de la résistance culturelle en Italie.
Parce que l’Etat puis la ville de Rome se sont désengagés de son financement et souhaitent sa privatisation en restaurant-théâtre, artistes et techniciens ont décidé de l’occuper jour et nuit. Une occupation débutée le 14 juin 2011 qui se poursuit encore en cette fin décembre. Wikip%C3%A9dia en classe. #NuitDebout : bientôt une bibliothèque et une « PirateBox » Ce samedi 9 avril, une bibliothèque éphémère devrait voir le jour place de la République à Paris (XIe), où est né le 31 mars le mouvement « Nuit debout ».
C’est SavoirsCom1, un collectif consacré aux politiques des « communs de la connaissance », qui a lancé l’idée de créer une « BiblioDebout » sur la place. « Radio Debout » Le mercredi 6 avril, à l'heure de l'assemblée générale (18 heures) Radio Debout a émis pour la première fois place de la République, à l'initiative de passionnés de radio, techniciens, réalisateurs ou reporters. Elle est à écouter tous les soirs de 18 heures jusqu'à minuit sur la plateforme Mixlr. « Tous les grands mouvements de protestation citoyenne par occupation des espaces publics ont eu leur bibliothèque », lit-on dans l’appel du collectif.
Communs : une notion médiévale viendra-t-elle protéger le logiciel libre ? Décroissance, paresse, protectionnisme, oligarchie, nationalisations, sobriété heureuse, gratuité, obsolescence programmée, création monétaire, revenu de base : place à ceux qui osent prononcer les gros mots, tabous dans les médias traditionnels !
Publié le 14/04/2011 Alimenté le 24/02/2016 chroniquedu24/02/2016parAnne-Sophie Jacques Retour sur une occasion manquée de la loi numérique Article gratuit pendant 24 heures. Le commun (3/5) : la mise en commun du savoir sur internet. Troisième temps -numérique- d'une semaine vouée au commun.
Aujourd'hui, avec Lionel Barbe, Maître de conférences en sciences de l'information et de la communication, nous nous interessons à un exemple de mise en commun des connaissances, le portail Wikipédia. C’est le troisième moment d’une semaine consacrée à la notion de commun. Lundi Pierre Dardot en faisait avec Christian Laval le principe central d’un espace politique repensé, qui remet en question la démocratie représentative, sans renoncer à la communauté, et en intégrant la conflictualité à une élaboration de règles par des citoyens égaux. Hier, le commun, c’était à la fois ce lieu commun usé et chahuté par le genre littéraire du polar, mais aussi ce que nous avons en commun, à savoir l’histoire, dont la romancière Elsa Marpeau fait le fond de son dernier livre.
Aujourd’hui, mercredi numérique oblige, nous nous intéressons à ce qu’il se passe sur le web en matière de mise en commun. Stefano Rodotà : pourquoi internet doit devenir un bien commun. Ce que change le numérique en communs, réflexions à partir du film Demain 1/2 - Je suis allé voir le film Demain.
J’espère que vous avez déjà entendu parler de ce film qu’il ne faut pas rater ! Voici le pitch : Et si montrer des solutions, raconter une histoire qui fait du bien, était la meilleure façon de résoudre les crises écologiques, économiques et sociales, que traversent nos pays ? Suite à la publication d’une étude qui annonce la possible disparition d’une partie de l’humanité d’ici 2100, Cyril Dion et Mélanie Laurent sont partis avec une équipe de quatre personnes enquêter dans dix pays pour comprendre ce qui pourrait provoquer cette catastrophe et surtout comment l’éviter.
Durant leur voyage, ils ont rencontré les pionniers qui réinventent l’agriculture, l’énergie, l’économie, la démocratie et l’éducation. Bien sûr ce film est réjouissant et habile dans la manière de présenter des liens entre initiatives innovantes et toutes participatives. Www.etre-et-ecran.net numérique en communs pour reprendre l’expression de Stéphane Vial? Les biens communs numériques. Ce dossier, réalisé par Stéphane Couture et Anne Goldenberg, en collaboration avec Samuel Goëta, s’attache à décrire des pratiques ou des initiatives concrètes autour des biens communs numériques.
La notion de biens communs fait aujourd’hui l’objet d’un intérêt renouvelé, en particulier par les mouvements sociaux et les acteurs et actrices de la société civile. Ainsi, en 2009, le « Manifeste pour la récupération des biens communs » a été lancé dans le cadre du Forum Social Mondial de Belém. Celui-ci se voulait un appel à élaborer un paradigme alternatif à la privatisation et à la marchandisation des biens et des services, dans des domaines aussi divers que l’accès à l’eau, les télécommunications ou la production scientifique.
Ce renouvellement de l’intérêt pour les biens communs trouve notamment son inspiration dans les formes de collaboration et de partage inventées sur Internet, comme la production du logiciel libre ou l’émergence des licences Creative Commons. La pollinisation ou le partage des savoirs. Le commun (3/5) : la mise en commun du savoir sur internet. « Mais en quoi les biens communs concernent-ils les bibliothèques ? Retours… Mardi 6 octobre 2015, l’Espace multimédia gantner, antenne de la Médiathèque départementale du Territoire de Belfort a accueilli la journée d’étude sur les biens communs.
Cette journée s’inscrivait dans la programmation du Festival francophone « Le temps des communs » Comment repenser, remixer la bibliothèque avec les habitants, des bidouilleurs, des designers… ? BiblioDebout : ce qu’on apprend en tenant une bibliothèque éphémère. « Prenez les livres, échangez-les !
Y a qu’une obligation, c’est de les lire ! » Silvère a l’art de la punchline.