La guerre de Syrie est encore (et aussi) une guerre pour le pétrole et le gaz : sang contre pétrole, l’ultime guerre du Pipelinestan ! – Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances. Non, la Syrie n’ est pas connue pour avoir beaucoup de pétrole elle-même, mais elle est en travers du chemin du gaz du Moyen-Orient vers l’UE Par Pepe Escobar – Le 8 décembre 2015 – Source Russia Insider / Le Saker Francophone La guerre en Syrie est une guerre pour l’énergie.
Avec, au cœur de la question, une compétition géopolitique vicieuse entre deux projets de gazoducs, il s’agit de la guerre ultime du Pipelinestan, le terme que j’ai forgé il y a longtemps pour désigner les champs de bataille impériaux de de l’énergie au XXIe siècle. Tout a commencé en 2009, lorsque le Qatar a proposé à Damas la construction d’un pipeline à partir de ses gisements de pétrole du Nord – contigus au champ de South Pars, qui appartient à l’Iran – traversant l’Arabie saoudite, la Jordanie et la Syrie jusqu’en Turquie, pour desservir l’UE. Damas, à la place, a choisi en 2010 de privilégier un projet concurrent, Iran-Irak-Syrie, aussi surnommé le gazoducislamique, d’un coût de $10 Mds . Lessons from Libya: How Not to Intervene. In this March 2, 2011 photo, Libyan protesters burn copies of Libyan leader Moammar Gadhafi's "Green Book" during a demonstration against him in Benghazi, eastern Libya.AP Photo/ Kevin Frayer Policy Brief, Belfer Center for Science and International Affairs, Harvard Kennedy School September 2013 Author: Alan Kuperman, Former Research Fellow, International Security Program, 2000–2001 Belfer Center Programs or Projects: Quarterly Journal: International Security This policy brief is based on "A Model Humanitarian Intervention?
Reassessing NATO's Libya Campaign," which appears in the Summer 2013 issue of International Security. • The Conventional Wisdom Is Wrong. . • The Intervention Backfired. . • Three Lessons. Many commentators have praised NATO's 2011 intervention in Libya as a humanitarian success for averting a bloodbath in that country's second largest city, Benghazi, and helping eliminate the dictatorial regime of Muammar al-Qaddafi. Crawford, Timothy W., and Alan J. Kuperman, Alan J. » Le président al-Assad à l’AFP : “Jusqu’à présent, la France soutient politiquement les terroristes” Intéressante interview – à lire bien entendu avec recul et esprit critique pour discerner la propagande syrienne. Source : Sana, AFP, 12-02-2016 Damas / Le président Bachar al-Assad a accordé un entretien à l’AFP sur les développements en Syrie et dans la région. Entretien de Monsieur le Président avec l’AFP Journaliste : Monsieur le Président quels sentiments vous inspire la vue de dizaine de milliers de vos compatriotes affamés sur les routes qui tentent de rejoindre la Turquie pour échapper aux bombardements de vos alliés russes sur Alep, et aussi la vue d’enfants syriens qui sont noyés en tentant de traverser la mère pour rejoindre l’Europe ?
Monsieur le Président : Si vous voulez qu’on parle des sentiments, j’appartiens bien à ce peuple. Il est donc évident que j’éprouve les mêmes sentiments que lui. Tout spectacle douloureux nous fait tous ressentir de la peine en tant que Syriens. Monsieur le Président : bien sûre. Journaliste : Donc pas de négociations avec eux… La course vers Raqqa a commencé. Pour garder son unité et pour son avenir, la Syrie doit gagner la course vers Raqqa Le 11 février 2016 – Source Moon of Alabama La course vers Raqqa a commencé. La Syrie et ses alliés sont en concurrence avec les États-Unis et ses alliés pour arracher l’est de la Syrie à État islamique. Raqqa, dans l’est de la Syrie, est détenue par État islamique, comme le sont les autres villes le long de l’Euphrate vers l’Irak.
Vaincre État islamique à Raqqa, à Deir Ezzor et dans d’autres villes syriennes de l’Est, et les libérer, est le but de tous ses ennemis supposés. Mais cette question doit être considérée dans un contexte plus large. Si les États-Unis et leurs alliés prenaient Raqqa ou Deir Ezzor et, avec ces villes, des parties de l’est de la Syrie, ils pourraient les utiliser comme monnaie d’échange pour acquérir un certain pouvoir de négociation avec la Syrie et ses alliés concernant l’avenir de cette dernière. Selon Southfront, la Syrie vient de réussir une première avancée majeure. Note. » Le « plan B » américain pour la Syrie et la menace d’une guerre mondiale, par Bill Van Auken.