Comment les distributeurs peuvent améliorer leurs ventes au moyen de campagnes d’email marketing optimisées. Prenons l’exemple d’un distributeur fictif, que nous appellerons Les Grands Magasins (LGM).
Ce distributeur souhaite faire évoluer sa stratégie de marketing digital. Actuellement, LGM envoie des newsletters régulières à tous ses clients afin de générer davantage de leads. Il utilise également un formulaire d’inscription à ses newsletters. Ce dont a surtout besoin LGM c’est d’une stratégie plus élaborée qui lui permette de rester régulièrement en contact avec ses consommateurs en utilisant un contenu personnalisé afin de créer une relation de confiance et de proximité avec ses clients.
L’objectif étant de fidéliser le consommateur et d’augmenter les ventes.Voici 10 actions clés que LGM, ou tout autre distributeur dans la même situation, devrait implémenter pour améliorer les performances de sa stratégie marketing digital. Carrefour met fin à sa marque discount. Un exemple de plus que le discount n'a plus bonne presse auprès des français.
Carrefour a annoncé, ce jeudi 10 juillet, que le logo bleu sur les produits Carrefour discount allait disparaître de ses rayons d’ici à 2015. C'est une petite gamme de 350 références seulement, mais la décision est symbolique. Sur l'emballage désormais, aucune marque, aucun logo et surtout plus celui de "Carrefour discount". On appelle cela des produits blancs. Selon l'enseigne, l'idée est de simplifier l'offre, et de répondre aux attentes des clients qui recherchent des produits simples sans marketing superflu.
Privilégier la marque Carrefour classique. Une plateforme de covoiturage libre et low-cost déclare la guerre à BlablaCar. Face aux commissions du leader du covoiturage, Zakaria Al Kabbab a lancé FreeCovoiturage.
La plateforme veut "revenir aux valeurs initiales du secteur" et propose des trajets avec zéro frais prélevés. La Grande distribution, une consommation sans faim. « Je dé-pense, donc je suis » Photographie tirée de Marianne 2 suite à une action contre un hypermarché à Moissac à l’occasion des (f)estives de Moissac (20 août 2011) Texte initialement publié en août 2011 sur le site du PPLD.
Blablacar et Airbnb : le partage est le nouveau stade du capitalisme. L'économie du partage est marchandisée.
Loin des idéaux post-capitalistes de la collaboration entre pairs, Blablacar, Airbnb et consorts ont créé un nouveau modèle ultra-compétitif. Ces plateformes d'économie du partage s'inscrivent ainsi dans la droite ligne de l'histoire du capitalisme.Pour parler en marxiste, cette économie (marchande) du partage accentue encore la profitabilité du capital : un particulier utilise sa propriété personnelle (voiture et logement principalement) pour fournir un service payant à un autre particulier (conduite et hébergement en l'occurrence). Economie. Faillite d’American Apparel : une marque au modèle économique fragile. Le groupe American Apparel a déclaré, le lundi 5 octobre, la faillite de l’entreprise, ainsi que la mise en place d’un plan de restructuration de sa dette.
En juillet, alors que la marque connaissait une nette baisse de ses ventes, le New Yorker consacrait un article au modèle économique fragile de cette marque très médiatique. [Article initialement publié le 30 juillet 2015] La marque American Apparel est connue pour plusieurs raisons. Ses publicités explicites, les dérives sexuelles de son fondateur et ancien dirigeant Dov Charney (licencié en décembre 2014) et son mode de production “sans ateliers clandestins” : tous les vêtements sont fabriqués à Los Angeles. Mais l’entreprise, créée en 1989, traverse actuellement une passe difficile, avec “plusieurs centaines de millions de dollars de dettes, une action et des ventes en chute libre”, pointe le New Yorker. 7,47 dollars de main d’œuvre pour un t-shirt 25 vêtements par an en 1960, 68 en 2015.
Les marques réinventent leurs magasins, version 2.0. Le navire amiral de la marque Burberry sur Regent Street, à Londres, a été inauguré en septembre dernier © DR De plus en plus présents dans les points de vente, écrans tactiles et mobilier intelligent offrent déjà des services susceptibles de faire la différence face au e-commerce.
La distinction entre commerce physique, e-commerce et commerce mobile ne sera bientôt plus qu’un souvenir. Aujourd’hui, les spécialistes de la distribution n’ont qu’un mot à la bouche : le «cross-canal». «Il s’agit de supprimer la notion de canal de distribution unique, explique Denis Kraus, directeur général digital du groupe de prêt-à-porter Beaumanoir (Morgan, Bonobo Jeans, La City…). La Ruche qui dit oui lève 8 millions d’euros et soutient 13 fermes. Pour rapprocher encore plus paysans et consommateurs, la startup va développer sa plateforme et subventionner des exploitations durables partout en France.
Entretien avec Guilhem Cheron, fondateur. Guilhem Cheron, fondateur de La Ruche Qui Dit Oui © LRQDO Vous venez de lever 8 millions d’euros. Quels sont vos objectifs ? On a visé des fonds qui étaient dans notre culture : à la fois technologiques (Union Square Ventures) et environnementaux (Quadia). Tout cet argent va essentiellement être utilisé pour améliorer la plateforme ? D. Piotet, Rebellion Lab : « Le magasin du futur de Zappos a échoué » Distribution.