Chiffres : Linkedin poursuit sa forte croissance en 2015 ! Alors que Linkedin vient tout juste de dévoiler ses résultats très encourageants pour le troisième trimestre 2015, prenons quelques minutes pour faire le point sur les chiffres clés du réseau social professionnel numéro 1 dans le monde ! Linkedin en quelques mots Linkedin est le réseau social professionnel numéro 1 dans le monde. Créé en Mai 2003, le réseau social professionnel concurrent du Français Viadéo réunit pas moins de 396 millions de membres à l’heure actuelle, une très belle réussite qui marche sur les traces des plus grands réseaux sociaux comme Facebook et Twitter ! Les chiffres clés de Linkedin en 2015 : Les résultats de Linkedin au troisième trimestre 2015 : Le chiffre d’affaires de LinkedIn devrait atteindre les 850 millions de dollars au 4ème trimestre 2015 selon les projections présentées.
En seulement 2 ans, LinkedIn a doublé son nombre total de membres ! Tous les chiffres de LinkedIn pour Q3 2015 via SlideShare A lire aussi : les chiffres clés de Facebook en 2015 ! Créer du contenu sur les réseaux sociaux. Portail baromètre - Réseau Cohérence. Foursquare cherche à qualifier sa base d'utilisateurs pour se repositionner définitivement en City Guide social. C'est un fait, Foursquare peine à décoller en France. Ce n'est, selon l'étude IFOP, que le 25ème réseau social en France en terme de notoriété et le 23ème en terme de fréquentation. Pour autant, sur le plan international, le réseau affiche des chiffres plutôt convaincants. En juin dernier, Foursquare annonçait ainsi : 10 million d'utilisateurs 3 million check-ins par jour 400,000 entreprises utilisant Foursquare comme outil de marketing 358 million de check-ins réalisés à l'extérieur des US Aujourd'hui Foursquare revendique 15 millions d'utilisateurs et doit faire face à une concurrence énorme sur le terrain de la géolocalisation.
Sur le terrain purement applicatif, la concurrence est tout aussi féroce. Pour Foursquare, l'évolution semble aujourd'hui inneluctable. Les badges d'expertise dans Foursquare Un exemple de liste de point d'intérêts avec conseils dans le quartier de Mouffetard Foursquare se positionne donc de plus en plus comme un City Guide social. Thierry Breton fait la guerre aux mails. 01net. le 08/02/11 à 16h08 Après le zéro émission de carbone, voici le zéro e-mail.
Pour lutter contre la « pollution informationnelle », Thierry Breton, PDG d’Atos Origin, veut bannir tout courriel interne dans son entreprise. Une décision à fortes retombées médiatiques, qui part du constat que les managers passent de cinq à vingt heures par semaine à lire ou à écrire des courriels. « Les cadres ne gèrent plus leurs équipes mais leur boîte mail.
Ils doivent retrouver toutes leurs fonctions de management. » Le patron de la SSII française se donne pour cela trois ans « maximum » pour éradiquer tout courriel interne. « Les habitudes sont telles qu’il faut se donner un délai qui soit acceptable. » Business wall façon mur de Facebook version entreprise, messagerie instantanée, microblogs, conférences web, réseaux sociaux internes… Les solutions alternatives existent. Lutter contre le technostress. Jean-Luc Valente (BlueKiwi) : Du bœuf, de l’e-mail et des RSE ! Le marché informatique est peuplé de gourous et de grands penseurs qui se laissent aller à poser leurs idées comme étant des règles invariables. L’informatique d’entreprise n’échappe pas à cette règle et il est une rumeur parmi ces « règles » qui est extrêmement fausse car elle établit en postulat du présent et de l’avenir proche, une vision d’avenir lointain : les RSE vont remplacer les e-mails.
Doit-on lancer une petite guerre entre les outils et leurs usages ou revenir sereinement sur des usages et des habitudes de travail ? Il me semble pour ma part que des usages émergent les outils. Il existe des outils plus performants pour supporter la grande majorité des usages Plaçons-nous quelques siècles en arrière. Il existait un outil à tout faire, source de nourriture avec sa viande, moyen de transport avec sa force, moyen de culture qui tirait les charrues, permettant de faire du cuir avec sa peau et des trompettes avec ses cornes.
Le poste de travail collaboratif - partie 2... point zéro! Dans la première partie de ce billet, et après s'être libéré des 5 contraintes qui l'empêche d'émerger, le poste de travail collaboratif est vu comme un terminal d'accès aux ressources et espaces partagés par les collaborateurs. Il leur permet de développer de nouveau modes de collaboration et notamment ceux portés par "l'entreprise 2.0". Le terminal, fixe ou mobile, n'est finalement qu'un moyen d’accès et non un conteneur. Car ce poste est virtuel, en ligne dans un Cloud public ou privé, utilise des ressources interopérables et est personnalisé par rapport aux activités de chacun. Mais pour commencer, de quelles fonctionnalités a t-on besoin pour collaborer?
Ce qui est en bleu est plutôt fortement structuré 1.0, alors que ce qui est en vert est plus déstructuré et porteur d'une approche 2.0. Sur l'axe vertical du partage de l'information, on a tout en haut ce qui concerne la communication au sens, communication descendante dans l'entreprise. Est-ce que cet outil complet existe? Le poste de travail collaboratif en mode agile - Partie 1. Le 16 Mai je suis intervenu à la conférence Webcom à Montréal pour aborder l'évolution du poste de travail en entreprise, tirée par les outils collaboratifs et le développement de l'entreprise 2.0.
Un débat intéressant dont je reprends ici en deux parties, les principales idées de ruptures qui ont été discutées. Partant du constat qu'en quelques années, les principaux outils collaboratifs mis a disposition du grand public comme Facebook (réseau social), Youtube (vidéos), Flickr (photos), Slideshare (présentations), Foursquare (check-in géolocalisés)... atteignent des centaines de millions d'utilisateurs, pourquoi les mêmes partages sociaux, de vidéos, de photos, de document, d'applications géolocalisées demandent, une fois dans l'entreprise, des efforts important d'adoption et parfois échouent tout simplement? C'est souvent là d'ailleurs que la DSI est perçue comme un empêcheur d'avancer, en ne prenant pas en compte ce nécessaire changement d'habitude qui concerne toute l'entreprise:
Marc Devillard (Motivation Factory) : Pourquoi l'email va survivre et les réseaux sociaux sont déjà morts. Depuis plusieurs années, les acteurs des réseaux sociaux décrètent régulièrement la mort de l’email. Ceci me rappelle le fameux graffiti du métro disant « Dieu est mort. Signé Nietzsche » auquel un autre auteur avait répondu fort justement « Nietzsche est mort. Signé Dieu ». Dans le cas des réseaux sociaux, pour être honnête, on constate bien l’émergence de nouveaux modes de communication, qui viennent se surimposer au courrier électronique. Mais ils ne le remplacent pas, pas plus que ce dernier n’a « tué » les communications téléphoniques. Des outils pour pallier les défauts de l’email On constate une adoption rapide dans le grand public, comme au sein des organisations, de nouveaux canaux de communication. Avec ce dernier, il devient rapidement très laborieux de suivre les ajouts et modifications des uns et des autres, de garder trace des versions successives, de faire émerger une vision cohérente commune.
Les réseaux sociaux sont morts. Facebook développerait un réseau social professionnel. 'Facebook for Work' : pourquoi ça pourrait marcher. Rien n'est encore officiel mais il semble bien que Facebook parte à l'assaut des professionnels, domaine où le géant est en retrait, notamment face à LinkedIn. Selon le Financial Times,le groupe serait sur le point de lancer "Facebook at Work" proposant un outil de conversation entre collègues qui faciliterait les échanges et le stockage de documents de travail. L'approche serait donc de proposer un outil de travail collaboratif.
"Facebook for Work" permettrait également de se mettre en relation avec d'autres pros, à la manière de LinkedIn. Une telle évolution aurait du sens. Elle accompagne d'abord un mouvement de fond visant à séparer de plus en plus les activités personnelles et professionnels au long de la journée, comme sur les smartphones avec les solutions de conteneurisation. Elle permettrait surtout de renforcer le leadership du réseau social : A lire - Et si les Réseaux Sociaux d’Entreprise fonctionnaient un jour ? Et si les Réseaux Sociaux d’Entreprise fonctionnaient un jour ? Outils révolutionnaires cherchent utilisateurs ! Le raisonnement à l’origine du lancement des Réseaux Sociaux d’Entreprise (ou RSE) est séduisant.
De manière somme toute caricaturale, il peut se résumer ainsi : dans un contexte de complexité croissante des organisations et du développement massif du mode projet, un RSE doit permettre de gagner en efficacité et de stimuler l’innovation en fluidifiant la transmission d’information et en dépassant les cloisonnements organisationnels ou hiérarchiques. Toutes les démarches menées jusqu’à présent pour favoriser la capitalisation, développer la productivité et impliquer les salariés pourraient ainsi être mises au placard : le réseau social d’entreprise serait en effet la "recette miracle" qui permettrait la nécessaire transformation de l’organisation. La révolution n’a en fait jamais eu lieu, ou dans de très rares cas de figure : seuls 10% des déploiements de RSE lancés dans le monde sont réussis (Gartner Group – 2013). Marc Devillard, Motivation Factory : "Gartner dégonfle la bulle des RSE" Nous l'avons indiqué déjà à de multiples reprises, le Réseau Social d'Entreprise tel qu'il est présenté dans la plupart des cas est selon nous l'équivalent d'un cautère sur une jambe de bois.
Prise de position qui nous a valu les foudres des responsables de réseaux sociaux d'entreprise, des éditeurs de logiciels spécialisés, et des médias dédiés à ce sujet. Inutile de rappeler que ces personnes effarouchées ont autant d'intérêt à une discussion franche et ouverte qu'un patron d'abattoir à défendre les végétariens, c’est ce qu’on appelle un conflit d’intérêts. Depuis peu, le groupe Gartner a lancé lui aussi un gros pavé dans la mare en dressant le constat public que la plupart des réseaux sociaux d'entreprise déployés dans les grands groupes ne servent pas à grand-chose.
L'étude se trouve ici. L'auteur observe que, si 70% des grandes entreprises recensées ont déployé un RSE, seuls 10% de cette population ont observé un impact positif qui pouvait lui être attribué. "Déployez puis priez"