Internet addiction disorder. Internet addiction disorder (IAD), now more commonly called problematic Internet use (PIU)[1] or compulsive Internet use (CIU).[2] Other overlapping terms include Internet overuse, problematic computer use or pathological computer use – and even iDisorder.[3] These terms avoid the word addiction and are not limited to any single cause, but only reflect a general statement about excessive computer use that interferes with daily life.[4] IAD was originally proposed as a disorder in a satirical hoax by Ivan Goldberg, M.D., in 1995,[5] though some later researchers have taken his essay seriously.
Other habits such as reading, playing computer games, or watching very large numbers of Internet videos or movies are all troubling only to the extent that these activities interfere with normal life. Dépendance à Internet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives.
Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. Dépendance au smartphone. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La dépendance ou l'addiction au smartphone est un phénomène qui apparaît entre 2000 et 2010 avec la large diffusion de l'IPhone puis d'autres types de smartphones. Il relève, au moins en partie, de la cyberaddiction (dépendance à Internet) qui peut se développer, notamment dans le cadre du nomadisme numérique, ou révèle souvent d'autres addictions[1]. Il peut ajouter à la dépendance au téléphone et à l'information disponible sur l'Internet une autre dépendance, à certains des réseaux sociaux qui se sont développés grâce à l'internet. Cette nouvelle addiction semble tendre, pour partie au moins, à se substituer à l'addiction à la télévision. §Histoire[modifier | modifier le code] Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie[8].
§Le cas de l'Asie[modifier | modifier le code] Dépendance au jeu vidéo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La dépendance au jeu vidéo désigne un trouble psychologique caractérisant un besoin irrésistible et obsessionnel de jouer à un jeu vidéo. L'addiction aux jeux vidéo entraînerait chez le joueur des comportements au caractère répétitif et compulsif, comme chez les joueurs pathologiques ou les consommateurs de substances psychoactives. Controverse[modifier | modifier le code] Le 6 mars 2012 l'Académie nationale de Médecine précise qu'il est préférable de parler de « pratique excessive » que d'addiction aux jeux-vidéo et cela pour deux raisons[1] : il n'y a à ce jour aucun consensus scientifique sur l'existence d'une réelle addiction aux jeux vidéo ;le terme « pratique excessive » est plus approprié car moins stigmatisant.
Ainsi, le psychanalyste Yann Leroux affirme pour sa part qu’« Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo[2]. » De même, Keith Baker, spécialiste de l'addiction, a créé en 2006 un centre de désintoxication. Accueil - GameAddict - Addiction au jeu vidéo - Cyberaddiction. :. La Cyberdépendance, cyberaddiction, Net addiction: une addiction aux effets néfastes? .: Internet and Computer Addiction: Signs, Symptoms, and Help for Balancing Your Time Online and Off. Digital Dieting to Prevent Life-Destroying Internet Addiction. This picture, captured at Beijing’s military bootcamp-style Internet Addiction Treatment Center (IATC) by award-winning photographer Fernando Moleres, depicts a heavily disorientated and socially stunted 13-year-old Lu Jun Song, an internet addict having his routine cerebral dysfunction EEG check upon arrival.
The center is among the hundreds of inpatient units found in China, Korea and Taiwan. Coupled with prevention and internet addiction screening programs in schools, it’s an approach to tackling a life, family, community and society-damaging addiction that is only just beginning to be seriously addressed by government initiatives in other countries. Internet addiction in all its guises is essentially a continually growing worldwide pandemic, with studies across multiple countries estimating the prevalence of such addictions to be between 0.7% and 11% of the population, rivaling – and in some cases exceeding – alcohol and drug addiction statistics.
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