Les fermes verticales ou l'utopie d'une écologie hors sol. Plus économes, plus locales, moins chimiques, les fermes verticales ont le vent en poupe.
Les projets se multiplient à travers le monde, au point de faire de cette approche de l’agriculture une solution crédible pour répondre au défi de l’alimentation urbaine dans un futur proche. Mais entre fascination technologique et éloignement de la terre, les vertus écologiques de ces fermes se révèlent ambivalentes. En 2050, l’humanité devrait compter plus de 9 milliards d’individus, dont les deux tiers vivront en ville, soit 2,5 milliards de nouveaux urbains par rapport à aujourd’hui, selon l’ONU.
Les infographies/agroforesterie. Nature France. Le Dessous des cartes - Un monde de forêts - Regarder le documentaire complet. Nomade des mers, les escales de l'innovation - Japon, Kamikatsu - Regarder le documentaire complet. Les derniers mondes sauvages - Une nature à protéger - Regarder le documentaire complet. Grenoble, la révolution verte est en marche. En 2014, Grenoble est devenue la première grande ville de France à élire un maire écologiste, Éric Piolle.
Depuis, la capitale alpine est devenue la vitrine de l’écologie politique française et le laboratoire de projets pionniers. Si l’attention mondiale se tourne vers Paris, qui accueille la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP21) du 30 novembre au 11 décembre, Grenoble s’est affirmée comme le modèle français de la ville propre qui multiplie les initiatives en vue de réduire la pollution et les émissions de CO2. "Nous en sommes à la 21e conférence internationale sur le climat. À présent, nous savons ce qui doit être fait, mais nous hésitons encore à le faire.
Le temps est venu de changer radicalement les règles du jeu", martèle avec détermination Éric Piolle. Grenoble s’est lancée dans une aventure environnementale inspirante, même si elle reste risquée et remplie d’embûches. L'histoire en marche L’engagement écologiste de Grenoble ne date pas d’hier. Climat et biodiversité : la crise du coronavirus sera-t-elle un électrochoc ? N’ayons pas la mémoire courte : la COP25 sur le climat sous l’égide des Nations unies fin 2019 à Madrid nous avait laissé comme jamais auparavant un terrible sentiment d’irresponsabilité internationale.
Les infographies. 2 notes numberonerebelcandy a ajouté ce billet à ses coups de cœur.
Sol et climat - L'Esprit Sorcier - Cap sur l'agro écologie. Regardez l’émission qui prolonge ce dossier : Sol et climat – 4 pour 1000 Retrouvez toutes nos vidéos sur la chaîne Youtube de l’Esprit Sorcier Suivez-nous sur Facebook et Twitter Soutenez-nous sur Tipeee !
Un dossier préparé par Elodie Barakat. La compensation, un « permis de détruire » la nature ? Comparée à une compensation « à la demande », réalisée au cas par cas après une construction, la compensation par l’offre apparaît plus efficace : elle permet d’anticiper la destruction d’un habitat ; elle peut être planifiée sur des sites plus vastes et mieux connectés aux autres écosystèmes ; et plus facile à contrôler.
Mais cette opération, simple coût à budgéter pour les aménageurs et maîtres d’ouvrage qui en ont les moyens, ne serait-elle pas un peu « trop facile » ? Elle risquerait alors, dénonce Attac, de servir de « dérivatif facile et généralisé aux étapes visant à éviter et réduire les dégradations écologiques », et finalement, de « véritable droit à détruire ». Faux, pense l’économiste Harold Levrel, à condition que les critères de cette compensation écologique soient exigeants et que son prix soit élevé – comme aux Etats-Unis, où il n’y a pas eu « d’appel d’air à la construction » d’après lui. Mieux gérer les ressources naturelles - Interstices. L'exploitation raisonnée des matières premières et des sources d'énergie implique d'en évaluer les stocks et d'en étudier les interactions avec le milieu environnant.
Un banc d’albacores et quelques coryphènes pris au piège dans une senne au large des Seychelles (Océan Indien – 2006). © Ifremer-IRD/Fadio/M. Taquet. La pression sur les ressources naturelles a commencé à s’accentuer dès le début de la révolution industrielle. À partir du XXe siècle, les avancées technologiques ont permis de créer de nouveaux produits, comme les ordinateurs ou les tablettes, très consommateurs de matières premières ayant une empreinte environnementale forte, tels le lithium ou les terres rares. Alimentation - résultats page 1. L’économie circulaire constitue-t-elle une solution viable face au défi environnemental ?
Le modèle de l’économie « linéaire », dans lequel les modes de production de biens utilisent les ressources naturelles pour les transformer en produits de consommation à durée de vie limitée qui sont au final « jetés », s’est développé à partir des deux premières révolutions industrielles des 18e et 19e siècles.
Il s’est ensuite généralisé avec l’avènement de la société de consommation après la seconde guerre mondiale puis l’accélération de la mondialisation à partir de la fin des années 1980. Si ce modèle économique s’est révélé très efficace pour accroître les niveaux de vie d’une grande partie de la population mondiale, il est aussi tenu responsable de l’apparition des deux problèmes majeurs que sont la raréfaction des ressources naturelles et la pollution de l’environnement. Le modèle de l’économie circulaire constitue a priori une réponse pertinente pour lutter contre la raréfaction des ressources et le réchauffement climatique. Source : Ademe. Les droits de l’homme et l’environnement. Human Rights and the Environment The salvation of the world lies in the human heart, in the human power to reflect, in human meekness and in human responsibility.
We are still under the sway of the destructive and vain belief that man is the pinnacle of creation and not just a part of it… We still don't know how to put morality ahead of politics, science and economics. We are still incapable of understanding that the only genuine backbone of all our actions – if they are to be moral – is responsibility. Responsibility is something higher than my family, my country, my firm, my success. Vaclav Havel When asked to talk about "the environment", what do you think of first? This widespread concern for the state of the environment is very recent. People realise that we cannot dump our wastes and expect them to disappear. Abeilles, pollinisation et biodiversité. Apis mellifera, l’abeille domestique des apiculteurs est l’espèce la plus répandue et la plus connue.
Près de 1 000 espèces d’abeilles différentes sont recensées en France. Soit plus que le nombre de mammifères, oiseaux et reptiles réunis ! Dans le monde, on ne dénombre pas moins de 20 000 espèces d’abeilles. La Liste rouge des espèces menacées en France. Pour préserver la diversité de la faune et de la flore, il est important de connaître la situation précise de chaque espèce, de surveiller l’évolution des menaces et d’identifier les priorités d’actions : c’est l’objectif de la Liste rouge nationale des espèces menacées. © Fabrice Croset Etablie conformément aux critères internationaux de l’UICN, la Liste rouge nationale dresse un bilan objectif du degré de menace pesant sur les espèces en métropole et en outre-mer.
Elle permet de déterminer le risque de disparition de notre territoire des espèces végétales et animales qui s’y reproduisent en milieu naturel ou qui y sont régulièrement présentes. Conservation de la nature. Déforestation : tout savoir sur la déforestation. Déforestation : la forêt du bassin du Congo en danger. Comment mesurer la valeur économique des services rendus par la biodiversité ? La biodiversité : un concept récent. La biodiversité, contraction de biologique et de diversité, c’est tout le tissu vivant de notre planète. Étudier la biodiversité, c’est chercher à mieux comprendre les liens et les interactions existant entre les espèces et avec leurs milieux de vie. 21 décembre 2010 (mis à jour le 25 janvier 2016) Sagascience - Modes de gestion agricole et influences sur la biodiversité du sol. Sagascience - Effet retour sur l'espèce humaine des perturbations qu'elle fait subir à la biodiversité.
Depuis des milliers d'années, nous vivons plus ou moins consciemment en interaction avec la biodiversité, qui nous rend de nombreux services, vitaux ou de « bien-être » : apport de matières premières pour l'alimentation, la santé et l'économie, bon fonctionnement des milieux permettant par exemple l'agriculture et l'accès à l'eau potable, protection naturelle contre les intempéries et les maladies, régulation du climat local et global, apport de biens immatériels tels que la beauté des paysages, la connaissance que nous tirons de la biodiversité, la culture, etc.
Or, ces services, indispensables à l'espèce humaine, sont extrêmement fragiles.© Inra Photothèque / RIGAUDIERE Jean-Paul.