La roue de Tarek. Écrit et illustré par Mathilde Chèvre traduit en arabe par Georges Daaboul Tarek court après sa roue, c’est son jeu préféré.
Un jour pourtant, la roue prend la tangente et s’enfuit dans la pente. Tarek parcourt la grande ville à la recherche de sa roue. Maintes fois il croit la voir, suspendue à l’étal d’un vendeur de pneus, transformée en baignoires par deux gamines espiègles, volée par un chauffeur de taxi… Suivant le chemin de la roue et l’orientation des écritures, le lecteur est invité à tourner le livre dans les sens de lecture du français et de l’arabe. Sept vies. Écrit et illustré par Walid Tahertraduit de l’arabe (Égypte) par Mathilde Chèvre Sept vies relate les joies, les peurs, les doutes, les pensées d’un chat aux multiples visages et aux représentations aussi diverses que ses états d’âmes.
Le chat, métaphore de l’enfant, tente de se définir et de se comprendre : à qui ressemble-t-il ? De qui hérite-t-il ? Qui aime-t-il ? Qui est-il vraiment ? 22 x 22 cm | relié | 56 pages | à double sens | 2014 | 13 € ISBN : 978-2-919511-11-2 Extrait : Personne ne sait qui je suis… Suis-je comme mon père… Celui qui ne rit jamais ? Lecteur audio © Le port a jauni / Catherine Vincent, 2020 enregistrement, création sonore et mixage : Vincent Commaret / Catherine Vincent lecture en arabe : Hala Omrane | lecture en français : Catherine Estrade. Les chaises. Balad, voyage sans bagages. Texte et illustrations de Walid Taher traduit de l’arabe (Égypte) par Mathilde Chèvre Balad, voyage sans bagage est issu de dessins réalisés par l’illustrateur égyptien Walid Taher lors de ses déambulations du Caire à Marseille, de Barcelone à Tétouan, d’Athènes à Clermont-Ferrand… À partir des images, il a écrit une aventure urbaine, loufoque et attentive aux petits riens qui font un quotidien.
Toute l’histoire tourne autour de cette première phrase “J’ai voyagé loin, très loin d’ici, aveugle…” où la cécité est, pour Walid Taher, une métaphore de l’exil. “Après plusieurs années hors d’Égypte, je ne parviens toujours pas à parler la langue des pays que je traverse et où je vis, je me sens comme aveugle”, dit-il. Mais il garde à l’esprit le conseil de son cousin : “Travel light ya Loulou !” Ce grand album est une balade comme une promenade, une ballade comme une chanson, balad signifie aussi « pays » en arabe, ce grand album est un voyage et il peut devenir un coloriage. Poèmes en paysages. Poèmes de Géraldine Hérédia * gravures de Clothilde Staës traduction en arabe par Georges Daaboul Poèmes en paysages est un recueil de poèmes pour enfants écrits à partir de gravures et de gravures peintes à partir de poèmes.
Les poèmes évoquent la sensation des corps dans la nature, les gravures intègrent le corps comme d’un élément naturel. Ici, tout est ludique, tout fait écho au monde de l’enfance et à l’attention particulière portée aux détails du monde. Nous irons au bois. Poème de Raphaële Frier * monotypes de Zeynep Perinçek traduit en arabe par Georges Daaboul À partir de monotypes peints par Zeynep Perinçek (Alifbata, Couleurs), Raphaële Frier a composé un poème de tous ces arbres qui comptent et ont compté dans notre vie :Le premier, je l’ai rencontré dans un parc de mon quartier.
Il lisait par dessus mon épaule. (…) C’est derrière le cinquième que l’on s’était cachés pour s’embrasser (…) J’ai mangé les cerises du septième, les poires du huitième, les figues du neuvième (…). Jusqu’au dernier, qu’elle a planté. Mes idées folles. Texte de Ramona Badescu * illustrations de Walid Taher traduit en arabe par Georges Daaboul mais quel bazar toutes ces idées !
À peine la nuit tombée elles entrent une à une se bousculent, dansent, se suivent s’installent sur l’accoudoir du canapé couinent, meuglent et hop, c’est parti ! Bienvenue au grand cirque des idées ! À partir de créatures imaginaires dessinées par l’illustrateur égyptien Walid Taher, Ramona Badescu a inventé un grand cirque des idées, la rouge, la simple, celle perdue sur la dernière marche de l’escalier, l’idée neuve et même… oh la merveilleuse idée ! Poèmes du soir. Poèmes de Géraldine Hérédia * dessins et collages de Corinne Dentan traduit en arabe par Georges Daaboul Les Poèmes du soir sont une ritournelle dédiée à ce qui nous fait peur, le minuscule qui grouille sous la terre ou qui farfouille dans le noir… Ce sont des poèmes autour du thème du crépuscule et du mystère, de la nuit, avec pour consigne la comptine, le jeu de mots, les allitérations en –oir et en –uit.
Géraldine Hérédia (auteure de Poèmes en paysages) a travaillé à partir d’illustrations déjà réalisées par Corinne Dentan, des collages méticuleux et humoristiques concoctés en hommage à la couleur noire. 17 x 22 cm | broché | 24 pages | poèmes | 2016 | 9 € isbn : 978-2-919511-22-8 Lecteur audio. Poèmes pour affronter le beau temps. Poèmes de Pierre Soletti * illustrations de Clothilde Staës traduit en arabe par Georges Daaboul Ces Poèmes pour affronter le beau temps & profiter du mauvais sont des considérations humoristiques sur le temps qui passe et la scansion des saisons.
La forme répond au fond du texte : ainsi le mot tunnel devient-il graphique grâce à deux -nn- agrandis. Poèmes de roches et de brumes. Par hasard. Poèmes de Ramona Badescu * illustrations de Benoît Guillaume traduit en arabe par Nada Issa Ce recueil a été créé en résidence artistique à Dar Ben Jelloun, Tétouan, en mai 2018.
Par hasard, Ramona Badescu et Benoît Guillaume ont choisi des lieux et des moments où ils se sont arrêtés ensemble, l’une écrivant, l’autre dessinant ce qui se déroulait devant eux. Un concert de musique où chante Oum Kalsoum pa dim da da da daaaa, un cortège funéraire passe devant la terrasse du café Touristes, l’orage menace, un chat dort près du four à pain… Les poèmes répondent aux dessins qui parlent aux poèmes, par hasard. Le train. Texte et illustrations de Salah Elmour traduit de l’arabe (Soudan) par Mathilde Chèvre Cet album est l’histoire d’un voyage, un train, une nuit, un rêve.
Qui sait quand il commence, qui sait quand il finit ? Le voyage est annoncé par maman Bakhita, un grand voyage pour Mansour qui n’a jamais rencontré sa grand-mère Jidda de la ville de Halfa, au Soudan. Le voyage commencera demain, il faut aller se coucher. Le voyage débute, merveilleux, peuplé d’oiseaux étranges et d’être magnifiques. Le pain (les aventures de Zoé 2) {Les aventures de Zoé n°2} textes et illustrations de Mathilde Chèvre * Nour Azuelos traduit en arabe par Georges Daaboul Les aventures de Zoé sont des histoires de tous les jours : dans sa deuxième aventure, Zoé va acheter Le pain au village. Quand Zoé enfourche son vélo, l’histoire bascule et le livre change de sens de lecture. Des monstres l’accompagnent tandis qu’elle parcourt la campagne et dévorent ses baguettes. La pluie (Les aventures de Zoé 3) {Les aventures de Zoë n°3} textes et illustrations de Mathilde Chèvre, avec des monstres de Nour Azuélos Les aventures de Zoë sont des histoires de tous les jours : dans sa troisième aventure, Zoë obéit à sa maman et sort se promener un peu, même s’il pleut.
Quand Zoë se promène sous la pluie, l’histoire bascule et le livre change de sens de lecture. Des monstres l’accompagnent tandis qu’elle parcourt la campagne, ils dansent, il chantent, puis la pluie s’inverse, alors il est temps de rentrer. Ces petits albums tiennent dans la main, ils se tournent et retournent au gré des aventures de Zoë. ________ 10 x 10 cm | broché | 32 pages | à double sens | novembre 2017 | 5,50 € isbn : 978-2-919511-26-6 Lecteur audio. La nuit (les aventures de Zoé 4) {Les aventures de Zoë n°4} textes et illustrations de Mathilde Chèvre, avec des dragons de Laszlo Lounis Les aventures de Zoë sont des histoires de tous les jours : dans sa quatrième aventure, Zoë est fâchée, elle part sur son rocher. Là-haut, tout est beau. Elle peut respirer. L'arbre (Les aventures de Zoé 5) Chat perché entre amis (Les aventures de Zoé 6)