Répit pour Ripple ? La SEC autorise (implicitement) les exchanges à re-lister XRP. Quand Ripple (XRP) se défend devant la SEC en convoquant... Bitcoin (BTC) Le rivage approche enfin – Ripple est tourmenté, depuis plusieurs mois, par les nombreuses accusations provenant de la SEC, aux États-Unis.
L’organisme de régulation reproche à l’entreprise d’avoir émis un certain nombre de jetons numériques (XRP), sans autorisation légale. En guise de riposte, Ripple exige d’être tout simplement traité au meme titre que Bitcoin ou Ethereum. Allergique à Bitcoin, la Banque de France choisira-t-elle Ripple pour le futur crypto-euro ?
La Banque de France dans les pas de Ripple – On comprend mieux l’anomosité de la Banque de France pour Bitcoin.
En effet, elle aimerait un projet bien plus centralisé pour sa future monnaie numérique de banque centrale (MNBC). Le modèle à suivre est donc tout trouvé : l’écosystème du XRP, entièrement contrôlé et géré par Ripple Labs. Un seul impératif : la centralisation totale du projet d’e-euro Bien qu’il puisse encore ne s’agit que de rumeurs, l’organisation d’experts comptables CPA Australia semble affirmative. La Banque de France (BdF) serait en train de discuter avec Ripple pour s’inspirer de son XRP, dans le cadre du lancement d’un euro numérique. Dans le rapport de CPA Australia, on apprend ainsi que la BdF aurait rapidement abandonné l’idée de se baser sur les projets Bitcoin et Ethereum :
Les patrons de Ripple (XRP) se défendent face au grand manitou des marchés financiers US. Ripple ne baisse pas les bras – Les dirigeants de Ripple, Chris Larsen et Brad Garlinghouse, ont tous 2 formulé une requête de rejet au sujet de l’accusation de la violation de la réglementation sur les valeurs mobilières.
Dans la demande déposée mercredi, les avocats de Ripple font état de divers axes de défense justifiant l’abandon des poursuites portées personnellement contre les dirigeants de la société. Ce recours ne concerne donc pas la poursuite entière, et notamment le rôle joué (ou non) par Ripple à proprement parler. Tout d’abord, la lettre indique que le SEC ne serait pas en mesure de prouver que les dirigeants ont sciemment aidé à la violation du dispositif sur les valeurs mobilières. MoneyGram fait la grimace à cause du Ripple (XRP) : ils en ont gros sur la patate et attaquent. Dégât collatéral du XRP – Même si MoneyGram a essayé de prendre rapidement ses précautions vis-à-vis du XRP et de sa société émettrice, Ripple Labs, le mal est fait.
Le token interbancaire, accusé d’être une valeur mobilièrepar la Securities and Exchange Commission (SEC), est en effet en train d’entraîner son partenaire commercial dans sa spirale infernale. MoneyGram poursuivi en justice pour ses liens avec le XRP Il y a à peine quelques jours, nous apprenions que le géant des paiements MoneyGram préférait interrompre toute relation commerciale avec Ripple. Et ce, malgré le fait que cette dernière lui avait payé la coquette somme de 50,2 millions de dollars sur l’année 2020, pour développer l’écosystème du jeton XRP. Nous savons maintenant ce que craignait tant MoneyGram pour se priver d’une telle source de revenus : des poursuites judiciaires. Le déroutant Ripple (XRP) mis en pièces par la SEC ? Les investisseurs veulent en savoir plus et l'attaquent en justice. Le XRP en eaux troubles – Avec la plainte de la Securities and Exchange Commission (SEC), c’est un véritable coup de massue qui s’est abattu sur Ripple Labs et son jeton XRP, en décembre dernier.
Les choses pourraient toutefois encore s’aggraver : une des autres plaintes – menée par des investisseurs du XRP – demande désormais de connaître tous les échanges de Ripple avec la SEC, et exige la production de certains documents très sensibles. Ils veulent tout savoir des petits secrets de Ripple Bien avant les accusations de la SEC, Ripples Labs faisait déjà face à de multiples plaintes d’investisseurs de son jeton XRP. Ces plaintes ont été consolidées en un seul recours collectif, regroupé derrière le plaignant principal, Bradley Sostack.
Ce regroupement de plaignants vient de verser un nouveau document à leur dossier d’accusation, qui allègue que la société Ripple et son CEO, Brad Garlinghouse, ont violé les lois américaines sur les valeurs mobilières en vendant leur XRP. Ripple au pied du mur - Son patron a « tout tenté » pour éviter l'humiliation de la SEC. La SEC ne compte pas trembler – Brad Garlinghouse, l’actuel CEO de Ripple a affirmé que l’entreprise avait tout tenté pour résoudre le litige qui l’oppose à la SEC à l’amiable.
Apparemment, les efforts déployés n’ont pas suffi à calmer le régulateur financier bien déterminé à faire condamner Ripple pour avoir commercialisé des titres financiers sans autorisation. Le gendarme financier reste intraitable En réponse aux poursuites menées par la SEC contre Ripple, Brad Garlinghouse s’est exprimé dans une série de tweets et a tenté de répondre aux 5 questions majeures qui entourent l’affaire. Au cours de la discussion, le CEO de Ripple a déclaré avoir tenté de résoudre le litige à l’amiable, mais n’a partagé aucun détail. Delisting and halting are 2 separate things – most are halting trading. Un cadre légal trop flou aux USA Concernant les exchanges, la réponse manque de précision, puisque, selon lui, le XRP est décentralisé. L’avenir s’annonce sombre pour la société émettrice du XRP. Auteur. Ripple et conséquences - Coinbase accusé de vente illégale de XRP.
Ce qui pourrait bien donner en partie raison au patron de Ripple, Brad Garlinghouse.
Ce dernier criant à qui veut bien l’entendre à une répression de la part des régulateurs à l’encontre de l’univers des cryptomonnaies dans son ensemble, sauf pour le Bitcoin et Ethereum. Mais avec cette manière de faire qui ne le rend solidaire que quand il est la cible des attaques qu’il condamne. Un fait confirmé par cette publication officielle de la plateforme Coinbase sur son compte Twitter hier soir. Et qui fait état d’une volonté de surveillance accrue et extrême des opérations concernant les cryptomonnaies. La fin des haricots pour Ripple ? Coinbase, Crypto.com et les géants crypto se débarrassent du XRP.
Le XRP bientôt banni ?
– En accusant Ripple Labs d’avoir mené une vente illégale de valeurs mobilières avec ses XRP, la Securities and Exchange Commission (SEC) semble avoir condamné à mort le jeton interbancaire. Les unes après les autres, les plateformes stoppent les échanges de XRP, et cela ne semble être que le début. La Securities and Exchange Commission, principal gendarme financier étasunien, a annoncé juste avant Noël qu’elle déposait une plainte contre Ripple et 2 de ses plus hauts dirigeants – Christian Larsen et Bradley Garlinghouse. Ils sont en effet accusés d’avoir violé les lois US sur les valeurs mobilières (securities), en n’enregistrant pas leurs ventes de XRP auprès de la SEC. Depuis, c’est le déluge de mauvaises nouvelles pour Ripple et son jeton. Le gendarme financier US atomise Ripple - Les poursuites sont lancées, le XRP s'écroule de 40 % L’avenir du XRP menacé ?
Le gendarme financier américain veut se payer le catastrophique Ripple - Que la bataille commence ! Ça va chauffer pour Ripple !
– Il y aura eu plusieurs années de suspens, mais ça y est : la Securities and Exchange Commission (SEC) a pris une décision et va poursuivre la société Ripple Labs pour l’émission de ses XRP. En effet, ces jetons interbancaires sont perçus comme des valeurs mobilières (securities) aux yeux du régulateur US. Ripple (XRP) voit grand : une tête pensante de JPMorgan rejoint le mal-aimé des cryptomonnaies - Journal du Coin. O’Connor changera-t-elle la donne ? – La société Ripple (XRP) a annoncé l’arrivée d’une pointure de la finance, qui rejoindra le conseil d’administration de la firme. Sandra O’Connor fera ainsi profiter la société de son expertise en termes de régulation. Une vétérante au parcours riche Sandra « Sandie » O’Connor a récemment pris sa retraite en tant que responsable des Affaires réglementaires de JP Morgan Chase & Co., après 30 ans de carrière au sein de l’organisation. Selon CoinTelegraph, elle est une experte reconnue du secteur financier, avec des connaissances uniques en la manière. « Son vaste réseau et sa compréhension approfondie des marchés, des flux de capitaux et du secteur bancaire lui confèrent des connaissances précieuses et uniques à mesure que de nouvelles politiques et réglementations prendront forme aux États-Unis. »Brad Garlinghouse, CEO de Ripple Aujourd’hui, Sandra O’Connor rejoint donc l’aventure Ripple en tant que membre du CA.
Ce milliardaire liquide sa fortune en Ripple (XRP) à une vitesse hallucinante, et rien ne l'en empêchera - Journal du Coin. Ses XRP lui brûlent les mains – L’un des principaux problèmes du XRP est que la société Ripple Labs et ses fondateurs en détiennent des quantités astronomiques. Cela est devenu d’autant plus problématique depuis que Jed McCaleb, ancien fondateur de Ripple, a décidé de se débarrasser de ses jetons aussi vite que possible. Des milliards de XRP à revendre En juillet 2013, Jed McCaleb a définitivement claqué la porte de Ripple (qui s’appelait alors OpenCoin), dont il était pourtant un des principaux initiateurs. Une crytomonnaie qui en désespère plus d'un - Ripple rachète la bagatelle de 46 millions de $ de XRP. Quand ça veut pas, ça veut pas – La hausse des prix du XRP de Ripple a eu beaucoup de mal à suivre celle du Bitcoin (BTC) et du marché crypto en général. Pour essayer de booster un peu les cours de son jeton interbancaire, Ripple a pourtant racheté des XRP au marché durant le troisième trimestre de cette année.
XRP a du mal à décoller, malgré un soutien appuyé Cela fait plus d’un an que le XRP de Ripple est coincé en dessous de 0,30 dollar, bien loin de son bref ATH (plus haut historique) de 3,8 dollars de début janvier 2018. Pourtant, la société dirigée par Brad Garlinghouse n’a pas ménagé ses efforts pour essayer de relever un peu les cours du XRP, comme on le découvre en parcourant son dernier rapport trimestriel. Ripple et XRP : les deux faces d’une même pièce de fausse monnaie. RIPPLE : ARNAQUE bancaire ou réelle REVOLUTION ? RED FLAGS CRYPTO n°2 : Dans le brouillard de Ripple. Quand le Ripple n’assume plus son nom. XRP. Sanctions de la SEC.