2040e6265aa2c729e5c1844f732854fb9c49. La charge cognitive dans l'enseignement. Plusieurs articles du RIRE parlent d’un outil central à la réussite scolaire : les fonctions exécutives.
Le développement de la mémoire de travail, du contrôle de l’inhibition et de la flexibilité cognitive est essentiel aux apprentissages des élèves et à la gestion de leurs comportements. Il est donc très intéressant pour un enseignant de maitriser ces concepts pour comprendre le fonctionnement du cerveau de leurs élèves et d’adapter leur enseignement de manière à favoriser leur réussite éducative. Les chercheurs de l’Université Grenoble Alpes Christophe Charroud et Philippe Dessus ont publié un article qui résume une théorie touchant la mémoire de travail, une fonction exécutive cruciale dans la planification de l’enseignement et de l’apprentissage des élèves.
[Des idées d’activités pour favoriser le développement des fonctions exécutives chez l’enfant] La redondance Toutefois, multiplier les formes de présentation ne garantit pas forcément un meilleur apprentissage. La charge cognitive dans l’apprentissage. Information Auteurs : Christophe Charroud, Espé, univ. Grenoble Alpes & Philippe Dessus, LSE & Espé, Univ.
Grenoble Alpes. Le quizz a été réalisé par Emilie Besse, projet ReflexPro. Date de création : 2003, refondu en Janvier 2016. Date de modification : 16 octobre 2017. Statut du document : Terminé. Voir aussi : Doc. Résumé : La théorie de Sweller et Chandler est présentée. Note : Le précédent titre de ce document était “L’apprentissage de notions scientifiques : TP ou documents ?”. Licence : Document placé sous licence Creative Commons : BY-NC-SA. Introduction¶ Il est communément admis que les élèves apprennent mieux lorsqu’ils ont à manipuler un matériel dans une situation réelle. Ce que l’on sait¶ La théorie de la charge cognitive : Attention partagée et redondance¶ Nous présentons d’abord ici la théorie de la charge cognitive, élaborée par Sweller et Chandler [22] (voir les présentations en français : [16][6]). Complexité de l’information¶ Moravec. Episode 4 − Intuition and Rationality: Conversation with Daniel Kahneman (Part 1)
Webinaire 3 du MOOC "Apprendre et faire apprendre" : Q&R autour de la métacognition.
Conférence Jean Luc berthier. Neurosciences et pédagogie, une interview de Jean-Luc Berthier. Plaidoyer pour tenir compte de l’apport des neurosciences en pédagogie L’évolution récente des neurosciences oblige à faire le point et à nous débarrasser de nombreuses idées fausses.
Qu’apportent les sciences cognitives au domaine de la pédagogie aujourd’hui en 2014 ? Que sait-on ? Que peuvent en tirer les enseignants dans leurs pratiques professionnelles ? Dire que l’on a une bonne ou une mauvaise mémoire, prétendre que tout se joue avant six ans, parler de profil auditif ou visuel, font partie des rumeurs communes qui entravent les représentations correctes que tout un chacun élabore sur le fonctionnement du cerveau. Lycée Clément Ader, Tournan-en-Brie (77), CARDIE Créteil © 03/12/2014 Après sa conférence, Jean-Luc Berthier, nous a accordé l’interview que vous pouvez écouter ou télécharger en cliquant cette fois, sur le lien en bas de cet article dont voici un court résumé. Le Canada et les pays anglo-saxons reconnaissent davantage l’innovation. Pour ne savoir plus.
Olivier Houdé : « Se développer, c'est apprendre à inhiber. Mind, Brain, and Education. The master's program in Mind, Brain, and Education is designed for students interested in connecting cognition, neuroscience, and educational practice, especially involving learning, teaching, and cognitive and emotional development. This intersection of biology and cognitive science with pedagogy has become a new focus in education and public policy in the current Age of Biology. Linked to the Harvard Initiative on Mind, Brain, and Behavior (MBB), the program is strongly interdisciplinary, including not only psychology, pedagogy, and neuroscience, but also philosophy, anthropology, linguistics, computer science, and other relevant disciplines. L'erreur est le meilleur professeur. Afin de mieux comprendre ce qui se passe dans le cerveau d’une personne qui apprend, des chercheurs ont observé les régions cérébrales activées chez des individus faisant face à l’erreur.
Cet article rapporte les résultats d’une recherche menée auprès de 28 sujets par des chercheurs de l’Université de Southern California en collaboration avec un groupe international de chercheurs. Selon ces chercheurs, le cerveau apprendrait de deux façons : L’apprentissage par évitement (« avoidance learning »); une expérience négative qui conditionne le cerveau à éviter de se retrouver de nouveau dans cette situation.L’apprentissage basé sur la récompense (« reward-based learning »); une expérience positive que le cerveau traite comme une récompense. En partant de cette prémisse, l’étude consistait à poser des questions aux participants en leur offrant une récompense monétaire pour chaque question répondue correctement.
À l’inverse, une mauvaise réponse leur faisait perdre de l’argent. matter.