Cinematography Tips & Tricks for Lighting Various Skin Tones. Keeping ‘Insecure’ lit: HBO cinematographer Ava Berkofsky on properly lighting black faces. The actors on HBO’s Insecure are hotter than you.
They’re hotter than your friends, they’re hotter than me and they’re even hotter than the ex the show won’t let you forget about. It’s lit! How film finally learned to light black skin. Insecure, the HBO series currently in its terrific second season (#TeamMolly), has been garnering attention since its pilot for its refreshing look at the lives of a small group of black women in Los Angeles.
Broadcast in the same slot as its precursor Girls, which showed women as their “real” messy selves, and before that Sex and the City, a fantasia of skipping round New York in Manolos, Insecure sits somewhere between the two. Its storylines are all too real, but it looks stylish and glamorous. Previous incarnations of black characters on television have mainly been overlit sitcoms or overly gloomy slices of realism. Insecure is neither – and its actors look like bonafide movie stars. Why is Scarlett Johansson’s Ghost in the Shell casting so problematic? - Opus. Transgender Women and Men Representation In Media Issue. From Laverne Cox to Caitlyn Jenner, trans voices are leading today's fight for LGBTQ visibility.
Though the past few years have marked incredible progress, we know we've still got a long way to go before the trans community feels safe and accepted in schools, hospitals, and bathrooms across the nation. In partnership with MAC Cosmetics, Refinery29 teamed up with writer and trans activist Jen Richards to present "Trans 102" — a series aimed at amplifying their courageous stories and educating viewers on the issues that continue to threaten our movement towards a more inclusive, equal world. Directed by Transparent's Silas Howard, "Trans 102" is all about generating awareness for transgender rights by promoting a dialogue around gender fluidity. One of the most effective ways to create empathy? Increase the number of trans narratives featured in books, movies, and television— because when audiences see characters that represent a diverse array of real-life stories, understanding follows.
Blackface : pourquoi se "déguiser" en Noir est un problème ? #1 A cause de ses origines Populaire au XIXème siècle aux Etats-Unis, le plus célèbre blackface est sans doute celui de Thomas Rice.
En 1828, ce chanteur blanc peint son visage pour jouer un esclave handicapé nommé Jim Crow. Le succès est tel que Rice devient la star des "minstrel shows" – des spectacles où des Blancs grimés incarnent des Noirs feignants, idiots et voleurs. En 1876, Jim Crow donnera même son nom aux lois de ségrégation raciale, en vigueur dans les Etats du Sud jusqu’en 1964. Une histoire américaine, mais pas que. Vous pensez quoi du geste de Griezmann ? - The Washington Post. L’hommage touchant de Leslie Jones à Whoopi Goldberg prouve l’importance de la représentation. Nous devons tous remercier Whoopi Goldberg parce que sans elle Leslie Jones ne serait peut-être pas devenue la star qu'elle est aujourd'hui.
La star du reboot de S.O.S. Fantômes a rendu hommage à son idole de toujours jeudi, dans le talk-show matinal américain The View, en disant en larmes à Whoopi que l'avoir vue à la télé enfant avait eu un énorme impact sur la perception d'elle-même et sur sa capacité à poursuivre une carrière de comique. "Quand j'étais jeune, mon père me laissait toujours écouter des disques de comédie. J'ai toujours baigné dans l'univers de la comédie, et j'ai toujours adoré ça", se souvient l'humoriste. How Transgender Representation Differs On Cable And Streaming Vs. Network TV. Chronique de la lesbophobie ordinaire.
Contrecarrer les assignations à l’invisibilité, résister au dénigrement et à la négation de nos identités par les tenant-es zélé-es de la norme dominante hétérosexiste, c’est le sort commun aux Lesbiennes, Gays, Bi-es et Trans.
Quelles que soient nos vies, nous partageons cette expérience : qu’à n’importe quel moment la domination hétéropatriarcale peut se rappeler à nous avec toute sa violence. Il suffit par exemple d’une banale séance de cinéma. La danseuse est le premier film de Stéphanie di Giusto. Il s’attache au personnage de Loïe Fuller, icône de la Belle Epoque, admirée de l’avant-garde pour son audace et son inventivité (réussir le tour de force de tout à la fois révolutionner la danse, breveter ses propres dispositifs scéniques de lumière et de costume, fonder sa compagnie). L’audace de Loïe Fuller était aussi de vivre ouvertement son homosexualité, notamment auprès de Gabrielle Bloch, qui a été sa compagne pendant de longues années.
Que reste-t-il de cette séance ? «Le bleu d’Adèle», par Julie Maroh. Nous reproduisons ci-dessous, avec l’accord de Julie Maroh, le texte qu’elle vient de publier sur son blog, après l’attribution de la Palme d’Or à La vie d’Adèle, adapté de sa bande dessinée Le Bleu est une couleur chaude.
LA COULEUR D’ORIGINE Voilà bientôt deux semaines que je repousse ma prise de parole quant à La vie d’Adèle. Et pour cause, étant l’auteure du livre adapté, je traverse un processus trop immense et intense pour être décrit correctement. Ce n’est pas seulement à propos de ce que Kechiche a fait. C’est un processus à propos de l’idée de la répercussion de nos actes, d’écrire une ridicule histoire l’été de mes 19 ans et d’arriver à… «ça» aujourd’hui. C’est un processus à propos de l’idée de prendre la parole et transmettre sur la Vie, l’Amour, l’Humanité en tant qu’artiste, de manière générale.
Moi ce qui m’intéresse c’est la banalisation de l’homosexualité. Petite histoire du blackface (comme ça, vous savez) First Time I Saw Me: Trans Voices. Chimamanda Adichie: The danger of a single story. Toutes ces fois où Hollywood n'a pas vraiment respecté la diversité ! Ce n'est plus surprenant : à Hollywood, les femmes, les gens de couleurs et les LGBT sont sous-représentés.