Ouest-france. Près d'un sur deux appartient aux classes sociales élevées de son pays, et un sur cinq à la classe moyenne. Deux tiers ont fui des persécutions ou ont quitté leur terre par crainte de devenir à leur tour victimes... Qui sont-ils ? Les migrants calaisiens, tels que les décrivait récemment une enquête du Secours catholique. Vous quittez Facebook... Se guérir de l’obsession identitaire. L’espace politique, l’actualité éditoriale, les controverses intellectuelles sont rythmés par une production inquiétante.
D’Alain Finkielkraut jusqu’à Michel Houellebecq en passant par Eric Zemmour, la même complainte est reprise à l’infini : nous ne sommes plus «chez nous». Depuis les années 70 (la Nouvelle Droite), la droite française est parvenue à imposer l’idée que le conflit n’était plus entre les classes, mais entre les «cultures», les «civilisations» ou les «identités».
Au bout de ce chemin, Renaud Camus : l’immigration a fait du peuple la victime du «grand remplacement» ; le moment est venu de penser le «grand retour». La «guerre des civilisations» est depuis 1991 le paradigme central ; l’ennemi n’est plus le communisme mais l’islam ; vu de droite, la laïcité émancipatrice peut même devenir un instrument de l’ordre social. Le problème est qu’une fraction de la gauche est engagée sur un terrain voisin. Article offert : Benoît Hamon: «Nous avons fait l'erreur de croire que Manuel Valls modifierait le cap» Suite au conflit qui a opposé le député des Yvelines Benoît Hamon au ministre de l'économie Emmanuel Macron concernant le « projet de loi pour la croissance », nous avons souhaité questionner l'ancien ministre de l'éducation nationale sur son positionnement politique.
L'entretien s'est logiquement déroulé en trois parties. La première concerne la loi Macron et l'opposition farouche du député des Yvelines au travail du dimanche ; la deuxième revient sur le contexte politique particulier d'union nationale après les attentats du 7 janvier. Dans la troisième partie, nous abordons les questions concernant les élections départementales et le congrès du PS prévu pour juin 2015.
Benoît Hamon revient également sur ses deux ans au gouvernement, son impossibilité de modifier le cap fixé par François Hollande et son erreur d'avoir pensé que le remaniement ministériel permettrait une inflexion de la politique économique. Benoît Hamon.- Pour les salariés, c’est important. Les distributions de dividendes plombent l’investissement des entreprises. Les résultats du CAC 40 pour 2013 soulignent encore une fois combien le coût du capital pèse sur le tissu productif français : avec des profits en baisse de 8 %, les grandes entreprises augmentent leur distribution de dividendes de 6 %, au détriment de l’investissement.
En 2013, les entreprises du CAC 40 ont réalisé 48 milliards d’euros de profits, en diminution de 8 % par rapport à 2012. La croissance en panne dans la zone euro, le ralentissement des pays émergents, l’appréciation de l’euro et des dépréciations d’actifs se combinent pour expliquer ces moins bonnes performances. Pour autant, les actionnaires de ces entreprises vont ressortir gagnants de cette baisse de forme puisque les dividendes progressent de 6 % pour s’établir à 39 milliards d’euros. Ainsi, un peu plus de 80 % des profits du CAC 40 sont utilisés à la distribution de dividendes. 85 % des profits partent en dividendes. Quand les dividendes pèsent sur la compétitivité. La faute au coût du travail ? Coût du capital, la question qui change tout, par Laurent Cordonnier.
Il serait sans doute passionnant de refaire le trajet d’ivrogne, tortueux et chaloupant, parcourant toute l’Europe, qui a finalement abouti à ramener tous nos maux à des questions de compétitivité et, de proche en proche, à des problèmes de coût du travail.
Oubliés la crise des subprime, la crise de liquidité bancaire, les gigantesques dépréciations d’actifs, l’effondrement du crédit, la tétanie de la demande, la transformation des dettes privées en dettes publiques, les politiques d’austérité. Comme nous l’avait bien expliqué dès 2010 M. La cgt. Socialistes, écologistes et altermondialistes - Pour une société du Buen Vivir. Crises économique, sociale, environnementale et démocratique: nous sommes à la fin d’un cycle.
Il est du devoir et de la responsabilité de notre parti de proposer des éléments de réponse face à ces urgences pour aller vers une société du buen vivir. Soutenue par le Mouvement Utopia « Quand on rêve seul, cela reste un rêve, mais lorsque l’on rêve ensemble, c’est le début de la réalité » (1). Pour signer : www.socialistes-altermondialistes-ecologistes.fr. Socialistes, écologistes et altermondialistes - Pour une société du Buen Vivir. Jaures, discours à la jeunesse, Albi, 1903.
Discours à la jeunesseprésentation et notes de Gilles Candarversion publiée dans : Jean Jaurès, Textes choisies, Encyclopédie du socialisme, 127 p, 7,50 euros (commande à Encyclopédie du socialisme, 86, rue de Lille, 75007 Paris) Au cours de sa carrière universitaire et politique, Jaurès prononça plusieurs discours de distribution des prix.
Celui-ci est non seulement le plus célèbre d’entre eux, mais aussi le texte le plus connu et le plus fréquemment cité de Jaurès. La cérémonie a lieu le 30 juillet 1903, Jaurès s’adresse aux élèves du lycée d’Albi, où il a lui-même été élève, puis professeur quelques décennies plus tôt. Il est alors un personnage officiel : député socialiste de Carmaux certes, mais aussi vice-président de la Chambre des députés et personnage clef de la majorité parlementaire.
Mesdames, Messieurs, Jeunes élèves,C’est une grande joie pour moi de me retrouver en ce lycée d’Albi et d’y reprendre un instant la parole. Les hommes de la Révolution en avaient conscience. "Discours à la jeunesse" de Jean JAURES. Actions Citoyennes [Au cours de sa carrière universitaire et politique, Jaurès prononça plusieurs discours de distribution des prix.
Celui-ci est non seulement le plus célèbre d’entre eux, mais aussi le texte le plus connu et le plus fréquemment cité de Jaurès. La cérémonie a lieu le 30 juillet 1903, Jaurès s’adresse aux élèves du lycée d’Albi, où il a lui-même été élève, puis professeur quelques décennies plus tôt. Il est alors un personnage officiel : député socialiste de Carmaux certes, mais aussi vice-président de la Chambre des députés et personnage clef de la majorité parlementaire.
On le surnomme “ le ministre de la Parole ” ou le “ Saint-Jean Bouche d’Or ” du gouvernement Combes qui mène une vigoureuse politique anticléricale et d’action républicaine dont l’issue sera le 9 décembre 1905 le vote de la loi de séparation des Églises et de l’État] Notre civilisation est condamnée, selon une étude de la Nasa. Comme les Romains ou les Mayas avant nous, notre civilisation moderne et industrielle pourrait bien être condamnée à disparaître.
C’est ce qu’assure une étude du Centre de vols spatiaux Goddard de la Nasa, rapportée par The Guardian. Ce n’est pas la première fois que l’on prédit la fin du monde. Mais cette fois-ci, ce sont des scientifiques qui avancent l’effondrement de la «civilisation industrialisée». La Radio Télévision Belge (RTBF) appuie en outre la «crédibilité» de cette étude sur le fait qu’elle a été publiée par le «très sérieux Elsevier Journal Ecological Economics». publicité. « Maintenant, ça suffit ! » Texte collectif . 200 personnalités, responsables syndicaux, associatifs et politiques, mais aussi acteurs et actrices du monde de la culture, des arts et du sport, ont signé ensemble un appel pour une grande marche nationale le 12 avril prochain à Paris, de République à Nation.
"On a les hommes politiques que l'on mérite", dit le philosophe André Comte-Sponville. Ils ont quitté le secrétariat national du PS et s’expliquent… Mais pourquoi la gauche du PS reste-t-elle au PS ? Licenciements collectifs, prud’hommes : les conséquences de la loi Macron pour les entreprises et les salariés. Le 19 février 2015 à 15h10 , mis à jour le 19 février 2015 à 15h10, par Philippe Mathon Réforme des licenciements collectifs, création d’un barème des indemnités de licenciement, réforme prud’homale… La loi Macron accorde une place de choix au droit du travail.
"De nouveaux droits pour les Français", assurent le ministre de l’Économie et le direction du groupe PS à l’Assemblée.