Sans titre. 1938 : Naissance de Jean Giraud - qui n'est encore ni Gir, ni Moebius - le 8 mai à Nogent-sur-Marne.
Jean Giraud est dès son plus jeune âge formé à la très efficace école ABC, dont le slogan ("si vous savez écrire, vous savez dessiner") séduit madame Giraud mère. 1954 : Jean Giraud entre aux Arts Appliqués. 1955 : Jean Giraud illustre quelques numéros de la revue Fiction. Sans titre. © Marabulles - 2018 Témoignage One shot 1 59693 Europe Français Discuter de la série dans les forums.
Algériennes 1954-1962. Essence, bd chez Futuropolis de Bernard, Flao. L'histoire : Un homme traverse un hangar désert, qui ressemble plus à un labyrinthe qu'à autre chose.
Il finit par en ressortir, avec un bidon d'essence duquel il ne tire que quelques gouttes. Il prend la route, accompagné d'une belle jeune femme tirée à quatre épingles. Celle-ci n'est étonnée de rien. La bédéthèque idéale #184 : “Essence”, road-movie allumé de Fred Bernard et Benjamin Flao - Livres. Un homme au volant d’une voiture, au côté d’une jeune femme qui l’aide à recouvrer la mémoire.
“Essence” est une bande dessinée fantastique, un voyage à la fois sombre et lumineux, dont les auteurs commentent trois pages. Achille est perdu. Essence, bd chez Futuropolis de Bernard, Flao. Critique Livres : Essence de Benjamin Flao & Fred Bernard. Ne connaissant pas ces deux auteurs, j’ai extrait les éléments ci-dessous du site BDGEST: - Fred Bernard est né à Beaune le 1er septembre 1969.
Il a été maçon et a étudié les sciences naturelles avant d'entrer aux Beaux-arts de Beaune, puis il rejoint l'école Emile Cohl de Lyon où il fait la connaissance d'un ami et futur collaborateur : François Roca. Il est l’auteur de nombreux ouvrages pour la jeunesse réalisés en tandem avec François Roca, publiés chez Albin Michel et au Seuil Jeunesse. Essence, la critique. On a aimé • Un récit surprenant et captivant • Le dessin sublime • Un bel hommage aux classiques du franco-belge On a moins aimé • Un héros auquel on ne s'attache pas trop Futuropolis commence l'année très fort avec le surprenant Essence.
Essence, une BD assez Mœbiusienne de Fred Bernard et Benjamin Flao - Le blog de Li-An. Bon, je ne vais pas couper le fil à poire en quatre.
Je crois que je n’ai rien compris au scénario de Fred Bernard, pas compris où il voulait en venir et pourquoi il a eu envie de raconter ça. Je vais donc éviter de trop gloser là-dessus. Dans Essence (Futuropolis)Achille Antioche est en purge, c’est à dire au purgatoire. Il est mort et en attente de passage à un stade supérieur de son être. Pour l’instant, il est au volant d’une voiture sport avec comme passagère une ange en CDD chargée de l’accompagner dans la recherche de ses souvenirs. Bon, il y a des métaréférences à L’affaire Tournesol (oui, l’album de Hergé) et on se demande un peu pourquoi ce n’est pas Jean Graton qui est invoqué vu l’obsession du personnage pour la mécanique automobile.
Alors, pourquoi que j’en cause de cet album ? Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-moi en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée. Essence. Achille, un jerrican à la main, déambule dans un dédale de couloirs dans un bâtiment immense, étrange… Enfin, il trouve une ouverture.
Ébloui par le soleil, il se dirige vers une Ford Mustang blanche. À côté, une belle femme brune l’attend. Ils vont pouvoir repartir. La femme lui demande de reprendre le cours de ses souvenirs alors qu’ils roulent dans un paysage désertique. Se souvient-il de ce qu’il lui est arrivé avant de se retrouver ici, avec elle ? Essence, c’est la rencontre magique et déjantée de deux auteurs d’exception qui ont partagé leurs univers. Archives Franquin. Comme moi, la BD sous toutes ses formes vous appréciez.
Sous toutes les latitudes, vous les dévorez. Alors plongez dans cette sélection de 12 albums pour tous les âges et tous les goûts, à lire à la plage, sur les sommets ou sous la couette … Essence de Fred Bernard, Benjamin Flao. Essence : à consommer sans modération ⋆ Addict Culture. Les couleurs changeantes comme autant de tableaux d’une époque à venir ou révolue, la qualité du graphisme, le scénario original et touchant… Benjamin Flao au dessin et Fred Bernard à la narration ont réuni leur talent pour une œuvre labyrinthesque où l’on est projeté, avec délice toujours, effroi parfois, au paradis des pilotes automobiles… Bienvenue dans Essence, édité chez Futuropolis.
Essence / BD de Benjamin Flao / Futuropolis Achille sort de nulle part. Essence, - Livres. Achille est mort, mais il ne le sait pas encore. Comme tous ceux qui ne sont pas partis en paix, il se réveille au purgatoire sans se rappeler le moins du monde ses derniers instants. Accompagné de « Mademoiselle », une ange gardienne « à l’essai », aussi charmante qu’énigmatique, l’ancien mécano part à la recherche de son passé dans un univers où souvenirs, rêves et inconscient s’interpénètrent. Road-movie métaphysique, Essence n’a rien cependant d’une lecture aride ou désincarnée. Cosigné par Fred Bernard (Les Aventures de Jeanne Picquigny) et Benjamin Flao (Kililana Song), ce récit consacre la rencontre de deux grands fondus de sports mécaniques.
Le purgatoire d’Achille sent le paddock, l’huile de moteur, la gomme brûlée, le cambouis et la sueur. Il lui faudra pourtant près de deux cents pages pour atteindre son but ! | Ed. Essence Essence. Achille roule dans sa Ford Mustang blanche. À côté de lui, une belle femme brune l’interroge sur ses souvenirs, sur ce qui a bien pu l'amener là ou il est à cet instant.
Essence - Fred Bernard et Benjamin Flao. « Essence » par Benjamin Flao et Fred Bernard. On s’aventure dans cette histoire par des bâtiments glauques, délabrés, dans les pas d’un individu qui se demande lui aussi où il est, par où il est venu et comment il va s’en sortir. Mais il ne s’en sortira pas, on le comprend vite, car Monsieur est mort – on ne dévoile rien, c’est écrit en quatrième de couverture ! On y apprend même qu’il va rencontrer un ange gardien débutant, en CDD, ou plutôt une ange (une angèle ?) Fort jolie, qui sait tout de lui évidemment, mais qui s’en tient à sa mission : faire comprendre à ce pilote automobile pourquoi il est là et ce lui est arrivé. Elle ne pas lui dire mais lui faire découvrir la vérité. Lors d’un road-movie infernal (mais « paradisiaque » !) Bande dessinée : que lire en janvier ? Que lire en bande dessinée en ce début d’année 2018 ? Un road trip psychanalytique d’outre-tombe ? Un thriller historico-fantastique au féminin ?
Un faux polar américain ? Un coming-out culinaire d’un intellectuel de la BD ? L’adaptation d’un grand roman sur fond de révolte irlandaise ? Faites votre choix. Un polar fantastique au féminin : L’Homme gribouillé. Essence : Direction Le Purgatoire Pour Une Virée Totalement Déjantée Avec Fred Bernard Et Benjamin Flao. Il suffit parfois de quelques lettres apposées sur une couverture pour avoir la garantie d’un grand moment de lecture. Et lorsque ces quelques lettres forment les noms de Fred Bernard et Benjamin Flao, alors le paradis n’est plus très loin… En tout cas pour nous lecteurs. Car pour le personnage principal de ce récit, Achille Antioche, c’est une toute autre histoire. Pour connaître le paradis, cet amoureux de la belle mécanique va d’abord devoir passer par le purgatoire des pilotes et comprendre les raisons de sa mort.
Le Porteur d'histoire, bd chez Les arènes de Michalik, Gaultier. L'histoire : Le Porteur d’Histoire - Par C. Gaultier - Les Arènes. De quoi s’agit-il ? Tout d’abord d’une pièce de théâtre à succès, écrite par Alexis Michalik, couronnée de deux Molières en 2014 (meilleur auteur et meilleure mise en scène) et adaptée en bande dessinée par Christophe Gaultier. Ce dernier, également auteur de nombreux albums sur des scénarios de Sylvain Ricard (Banquise, Kuklos, Guerres civiles), et qui a déjà adapté en bande dessinée Robinson Crusoé ainsi que Le Fantôme de l’Opéra, livre ici sans aucun doute son récit le plus abouti, exemplaire de maîtrise.
Il reste très fidèle au texte d’origine, que ce soit dans la chronologie des faits et leur présentation ou dans les dialogues. « Le Porteur d’histoire » par Christophe Gaultier et Alexis Michalik. Tout individu est porteur d’histoires avec un « s » à la fin du mot, contrairement au héros du récit de Michalik qui semble n’en porter qu’une, une histoire qui commence au fin fond des Ardennes où Martin Martin (choix d’un nom de « héros » volontairement vidé de toute identité) se rend pour l’enterrement de son père. Il pleut à verse et Martin s’égare… Le Porteur d'histoire, bd chez Les arènes de Michalik, Gaultier. Le Porteur d'Histoire.